Votre plus gros(se) petit(e) ami(e)

Alors là, si l'on parle en termes d'IMC et d'indice en masse graisseuse, du coup la rangée de poids des femmes duquelle j'ai fréquenté diffère légèrement de mon précédent commentaire d'il y a trois ans.


Au lieu qu'il s'agisse de mon ex ayant pesée dans les 77-85 kilos qui fusse la plus grosse femme que j'ai fréquenté à date, il s'agirait plutôt de la femme ayant atteinte les 78 kilos, tout compte fait. La raison pourquoi elle aurait été la plus corpulente d'entre les deux dépend uniquement de leurs différentes tailles : mon ex mesurait un mètre soixante-douze de haut et elle n'était pas encore tout à fait en voie d'achever le stade de l'obésité clinique (quoiqu'encore quelques gavages et kilos en plus et elle y était déjà) . J'ai même longtemps estimé que son IMC tout comme son IMG se situaient tous deux dans les 29% environ.

Cependant, l'autre meuf faisait non seulement dans les un mètre soixante de haut, mais possédait à la fois un somatotype et une répartition de la masse graisseuse corporelle qui faisait en sorte que plus elle prenait davantage du poids par-delà son palier en poids santé, plus son IMG s'élevait davantage plus loin encore que son IMC. Par exemple, dès qu'elle passa de son poids initial de 57 kilos (ce qui, pour une fille comme elle, constituait le seuil limite de son palier en poids santé) à même pas près de 59 kilos, elle se plaignait déjà d'avoir notée que ses mains commençaient par de poteler un petit peu, que sa silhouette svelte était un peu moins fine que d'habitude et à la limite ramollie, puis que ses traits de visage fins étaient un peu moins cisaillés qu'avant. Près d'un mois et trois kilos plus tard, son visage était rendu mou, sa garde-robe en Taille Petite ne lui faisait plus et elle se retrouvait forcée à porter des pantalons jogging bouffants qui se retrouvaient fort ironiquement par ne plus être tout à fait bouffant du tout en raison de ses jambes dodelinées et du fait que l'écart naturel en ses cuisses s'amoindrissait déjà abondamment : le genre d'indices visibles en surplus de poids avancée marqué par des femmes dont leur IMG se situerait vers le milieu au seuil maximum du surplus adipeux (27 à 29 % environ) plutôt qu'au seuil minimum de cette même rangée. À près de 70 kilos, elle était rendue tellement méconnaissable physiquement, j'ai crû qu'elle avait une sœur jumelle secrète qui me jouait une mauvaise blague : le gros bide de patapouf, une totale absence en gainage de taille naturelle, des bourrelets, les grosses jambes, le derrière tout large et flasque, le haut des bras gras, la poitrine élargie et déjà en voie de s'affaisser mollement sous son propre poids, le visage rondouillet et joufflu et un double menton bien garni. La meuf ne pouvait même plus courir : elle se tapait à peine un bon trois ou quatre mètres en pas de course et elle était déjà pulvérisée! Stade avancée de l'obésité clinique à un poids où elle était sensée supposément avoir l'air de ce qu'elle avait tout à fait l'air lorsqu'elle pesait 7 kilos en moins!

Alors rendue à 78 kilos… oh là là.
Elle était rendue obèse morbide, carrément. Ses habits de jogging étaient rendus tellement amples, même moi avec mon gabarit assez costaud, j'y aurais flotté et je porte moi-même habituellement dans du Moyen à Large. D'abord, elle avait quasiment plus de cou (et on parle tout de même d'une meuf qui avait jadis un assez long cou) . Ensuite, son ventre était déjà rendu si large et bedonnant que vous l'auriez crût enceinte de quintuplés à terme puis ses cuisses étaient rendues aussi épaisses que les miennes et l'on parle d'assez fortes cuisses, même pour un homme de mon gabarit (mes cuisses font 73 cm d'épaisseur!) . Elle avait une frousse monstre de monter et descendre les escaliers parce qu'elle était rendue trop grosse pour ne pas se sentir fortement peinée par l'effort et elle emplissait presque toute une chaise avec son séant.

Le pire, c'est que ça n'était pas son poids maximal jamais atteint. Des années après que nous cessâmes de nous parler, on se followait sur Instagram. Elle se tapait tellement de régimes minceur express et trop malsains, elle avait finie par ruiner son métabolisme, la pauvre. Un jour, elle faisait publier une photo ou vidéo d'elle dans les 59 kilos, puis le mois suivant à 70 kilos, puis l'autre mois suivant vers par-delà les 80 kilos, puis à nouveau dans la rangée des 63 kilos environ vers les six prochains mois, puis vers les six mois suivants elle publiait une photo d'elle avec le visage si amaigri et creux que ses copines comme ses parentés lui demandaient ce qui lui arrive… puis, encore une année plus tard, elle publie sur son storytime des vidéos d'elle en train de se dandiner comme un pingouin surgavé, le visage rond et joufflu, un cou quasi-absent, les bras de femme ronde et tout, tentant de faire rentrer vainement son bide de la taille d'un ventre de femme enceinte de nonuplés en une grande inspiration, avant de tout relâcher en un retentissant mouvement de choc tout flasque et rebondissant. Elle était rendue tellement grosse, que pratiquement tout l'hémisphère inférieur de son énorme bide était renflée en dedans de ses jeans Taille Plus, mais couvait tout de même son《 FUPA 》comme les anglos disent, de même que son entrejambe (parce qu'elle était rendue par posséder un fichu F.U.P.A. !!!) . Elle devait faire dans les près de 93 kilos environ.

Après ça, elle a cessée de faire publier des photos et vidéos d'elle. Même en son storytime. Elle avait tendance à faire effacer de manière fréquente tout preuve de ses soucis en prise en poids, de toute façon.

Mon ex faisait dans les 77 à 83 kilos environ lorsque nous nous fréquentions, mais même à ce stade élevé en surplus de poids, elle était encore passablement mince ou galbée en raison de sa taille élancée et de sa répartition en masse corporelle graisseuse encore avantageuse. La plupart des gens l'auraient certainement qualifiée davantage de « thick / thicc » (« géchar » en verlan) , de « femme bien en chair » voire d' « un peu chubby » ou « un peu rondouillette » ici, au Canada.


Vu que la dernière fois que j'aperçus sa plus récente photo de profil après qu'elle s'était encore mise par m'épier lugubrement dans mes comptes en réseaux sociaux, je dirais qu'elle a déjà poussée par-delà la barre des 100 kilos, désormais. Elle est rendue méconnaissable, elle aussi. Puis pas dans le bon sens du mot.

https://feedee.1fr1.net/t4652-ces-ex-comme-ces-connaissances-ayant-prise-du-poids

Si l'on aurait inclût des feedees dans l'équation, alors là ce serait une toute autre histoire.

La vaste majorité de mes feedees n'étaient pas toutes impliquées dans une relation amoureuse ou liaison auprès de moi.

Ma cherie actuelle qui me ravie de sa graisse touts les jours depuis 4ans de relation passer de 65kg pour 1m65 (un petit 38) à 110kg actuellement (un bon 50-52) ! evolutifs biensur !!

lolo83 a écrit:

Ma cherie actuelle qui me ravie de sa graisse touts les jours depuis 4ans de relation passer de 65kg pour 1m65 (un petit 38) à 110kg actuellement (un bon 50-52) ! evolutifs biensur !!

Wow quelle chance

Pereo c'était une fille qui faisait presque 105kg mais on c'est séparer a cause de la distance et sa me rend assez triste

[quote="John Smith X"]

fdp46 a écrit:

John Smith X a écrit:

Être en couple se produit encore en 2020?

Nan t'as plus le droit, sinon c'est du harcèlement sexuel

Lol. On en reparlera d'ici 2030, concernant ce genre d'excès socioculturel. :p

John Smith X a écrit:

John Smith X a écrit:

Bof, personnellement je ne me suis jamais casé en couple. Mais côté fréquentations, les plus grosse que j'aurais fréquenté faisaient chacune dans les 77 kilos pour l'une, ou les 77-85 kilos pour la seconde. Tandis que côté flirt, les plus grosses que j'aurais jamais tenté d'aborder faisaient peut-être bien dans la marge des 90 à 108-24 kilos ou plus. La plus grosse femme m'ayant abordée, cependant, faisait dans les 226 kilos ou plus.

Hormis le nombre de fréquentations et d'histoires qui se seraient cumulées, ça n'a pas changé du tout de ce côté, ces trois dernières années. Du coup, je suis un peu déçu MDR. Pas pour la mise en couple, mais plutôt pour les plus gros cas. Aucun record personnel de brisé. XD

John Smith X a écrit:

Alors là, si l'on parle en termes d'IMC et d'indice en masse graisseuse, du coup la rangée de poids des femmes duquelle j'ai fréquenté diffère légèrement de mon précédent commentaire d'il y a trois ans.


Au lieu qu'il s'agisse de mon ex ayant pesée dans les 77-85 kilos qui fusse la plus grosse femme que j'ai fréquenté à date, il s'agirait plutôt de la femme ayant atteinte les 78 kilos, tout compte fait. La raison pourquoi elle aurait été la plus corpulente d'entre les deux dépend uniquement de leurs différentes tailles : mon ex mesurait un mètre soixante-douze de haut et elle n'était pas encore tout à fait en voie d'achever le stade de l'obésité clinique (quoiqu'encore quelques gavages et kilos en plus et elle y était déjà) . J'ai même longtemps estimé que son IMC tout comme son IMG se situaient tous deux dans les 29% environ.

Cependant, l'autre meuf faisait non seulement dans les un mètre soixante de haut, mais possédait à la fois un somatotype et une répartition de la masse graisseuse corporelle qui faisait en sorte que plus elle prenait davantage du poids par-delà son palier en poids santé, plus son IMG s'élevait davantage plus loin encore que son IMC. Par exemple, dès qu'elle passa de son poids initial de 57 kilos (ce qui, pour une fille comme elle, constituait le seuil limite de son palier en poids santé) à même pas près de 59 kilos, elle se plaignait déjà d'avoir notée que ses mains commençaient par de poteler un petit peu, que sa silhouette svelte était un peu moins fine que d'habitude et à la limite ramollie, puis que ses traits de visage fins étaient un peu moins cisaillés qu'avant. Près d'un mois et trois kilos plus tard, son visage était rendu mou, sa garde-robe en Taille Petite ne lui faisait plus et elle se retrouvait forcée à porter des pantalons jogging bouffants qui se retrouvaient fort ironiquement par ne plus être tout à fait bouffant du tout en raison de ses jambes dodelinées et du fait que l'écart naturel en ses cuisses s'amoindrissait déjà abondamment : le genre d'indices visibles en surplus de poids avancée marqué par des femmes dont leur IMG se situerait vers le milieu au seuil maximum du surplus adipeux (27 à 29 % environ) plutôt qu'au seuil minimum de cette même rangée. À près de 70 kilos, elle était rendue tellement méconnaissable physiquement, j'ai crû qu'elle avait une sœur jumelle secrète qui me jouait une mauvaise blague : le gros bide de patapouf, une totale absence en gainage de taille naturelle, des bourrelets, les grosses jambes, le derrière tout large et flasque, le haut des bras gras, la poitrine élargie et déjà en voie de s'affaisser mollement sous son propre poids, le visage rondouillet et joufflu et un double menton bien garni. La meuf ne pouvait même plus courir : elle se tapait à peine un bon trois ou quatre mètres en pas de course et elle était déjà pulvérisée! Stade avancée de l'obésité clinique à un poids où elle était sensée supposément avoir l'air de ce qu'elle avait tout à fait l'air lorsqu'elle pesait 7 kilos en moins!

Alors rendue à 78 kilos… oh là là.
Elle était rendue obèse morbide, carrément. Ses habits de jogging étaient rendus tellement amples, même moi avec mon gabarit assez costaud, j'y aurais flotté et je porte moi-même habituellement dans du Moyen à Large. D'abord, elle avait quasiment plus de cou (et on parle tout de même d'une meuf qui avait jadis un assez long cou) . Ensuite, son ventre était déjà rendu si large et bedonnant que vous l'auriez crût enceinte de quintuplés à terme puis ses cuisses étaient rendues aussi épaisses que les miennes et l'on parle d'assez fortes cuisses, même pour un homme de mon gabarit (mes cuisses font 73 cm d'épaisseur!) . Elle avait une frousse monstre de monter et descendre les escaliers parce qu'elle était rendue trop grosse pour ne pas se sentir fortement peinée par l'effort et elle emplissait presque toute une chaise avec son séant.

Le pire, c'est que ça n'était pas son poids maximal jamais atteint. Des années après que nous cessâmes de nous parler, on se followait sur Instagram. Elle se tapait tellement de régimes minceur express et trop malsains, elle avait finie par ruiner son métabolisme, la pauvre. Un jour, elle faisait publier une photo ou vidéo d'elle dans les 59 kilos, puis le mois suivant à 70 kilos, puis l'autre mois suivant vers par-delà les 80 kilos, puis à nouveau dans la rangée des 63 kilos environ vers les six prochains mois, puis vers les six mois suivants elle publiait une photo d'elle avec le visage si amaigri et creux que ses copines comme ses parentés lui demandaient ce qui lui arrive… puis, encore une année plus tard, elle publie sur son storytime des vidéos d'elle en train de se dandiner comme un pingouin surgavé, le visage rond et joufflu, un cou quasi-absent, les bras de femme ronde et tout, tentant de faire rentrer vainement son bide de la taille d'un ventre de femme enceinte de nonuplés en une grande inspiration, avant de tout relâcher en un retentissant mouvement de choc tout flasque et rebondissant. Elle était rendue tellement grosse, que pratiquement tout l'hémisphère inférieur de son énorme bide était renflée en dedans de ses jeans Taille Plus, mais couvait tout de même son《 FUPA 》comme les anglos disent, de même que son entrejambe (parce qu'elle était rendue par posséder un fichu F.U.P.A. !!!) . Elle devait faire dans les près de 93 kilos environ.

Après ça, elle a cessée de faire publier des photos et vidéos d'elle. Même en son storytime. Elle avait tendance à faire effacer de manière fréquente tout preuve de ses soucis en prise en poids, de toute façon.

John Smith X a écrit:

Alors là, si l'on parle en termes d'IMC et d'indice en masse graisseuse, du coup la rangée de poids des femmes duquelle j'ai fréquenté diffère légèrement de mon précédent commentaire d'il y a trois ans.


Au lieu qu'il s'agisse de mon ex ayant pesée dans les 77-85 kilos qui fusse la plus grosse femme que j'ai fréquenté à date, il s'agirait plutôt de la femme ayant atteinte les 78 kilos, tout compte fait. La raison pourquoi elle aurait été la plus corpulente d'entre les deux dépend uniquement de leurs différentes tailles : mon ex mesurait un mètre soixante-douze de haut et elle n'était pas encore tout à fait en voie d'achever le stade de l'obésité clinique (quoiqu'encore quelques gavages et kilos en plus et elle y était déjà) . J'ai même longtemps estimé que son IMC tout comme son IMG se situaient tous deux dans les 29% environ.

Cependant, l'autre meuf faisait non seulement dans les un mètre soixante de haut, mais possédait à la fois un somatotype et une répartition de la masse graisseuse corporelle qui faisait en sorte que plus elle prenait davantage du poids par-delà son palier en poids santé, plus son IMG s'élevait davantage plus loin encore que son IMC. Par exemple, dès qu'elle passa de son poids initial de 57 kilos (ce qui, pour une fille comme elle, constituait le seuil limite de son palier en poids santé) à même pas près de 59 kilos, elle se plaignait déjà d'avoir notée que ses mains commençaient par de poteler un petit peu, que sa silhouette svelte était un peu moins fine que d'habitude et à la limite ramollie, puis que ses traits de visage fins étaient un peu moins cisaillés qu'avant. Près d'un mois et trois kilos plus tard, son visage était rendu mou, sa garde-robe en Taille Petite ne lui faisait plus et elle se retrouvait forcée à porter des pantalons jogging bouffants qui se retrouvaient fort ironiquement par ne plus être tout à fait bouffant du tout en raison de ses jambes dodelinées et du fait que l'écart naturel en ses cuisses s'amoindrissait déjà abondamment : le genre d'indices visibles en surplus de poids avancée marqué par des femmes dont leur IMG se situerait vers le milieu au seuil maximum du surplus adipeux (27 à 29 % environ) plutôt qu'au seuil minimum de cette même rangée. À près de 70 kilos, elle était rendue tellement méconnaissable physiquement, j'ai crû qu'elle avait une sœur jumelle secrète qui me jouait une mauvaise blague : le gros bide de patapouf, une totale absence en gainage de taille naturelle, des bourrelets, les grosses jambes, le derrière tout large et flasque, le haut des bras gras, la poitrine élargie et déjà en voie de s'affaisser mollement sous son propre poids, le visage rondouillet et joufflu et un double menton bien garni. La meuf ne pouvait même plus courir : elle se tapait à peine un bon trois ou quatre mètres en pas de course et elle était déjà pulvérisée! Stade avancée de l'obésité clinique à un poids où elle était sensée supposément avoir l'air de ce qu'elle avait tout à fait l'air lorsqu'elle pesait 7 kilos en moins!

Alors rendue à 78 kilos… oh là là.
Elle était rendue obèse morbide, carrément. Ses habits de jogging étaient rendus tellement amples, même moi avec mon gabarit assez costaud, j'y aurais flotté et je porte moi-même habituellement dans du Moyen à Large. D'abord, elle avait quasiment plus de cou (et on parle tout de même d'une meuf qui avait jadis un assez long cou) . Ensuite, son ventre était déjà rendu si large et bedonnant que vous l'auriez crût enceinte de quintuplés à terme puis ses cuisses étaient rendues aussi épaisses que les miennes et l'on parle d'assez fortes cuisses, même pour un homme de mon gabarit (mes cuisses font 73 cm d'épaisseur!) . Elle avait une frousse monstre de monter et descendre les escaliers parce qu'elle était rendue trop grosse pour ne pas se sentir fortement peinée par l'effort et elle emplissait presque toute une chaise avec son séant.

Le pire, c'est que ça n'était pas son poids maximal jamais atteint. Des années après que nous cessâmes de nous parler, on se followait sur Instagram. Elle se tapait tellement de régimes minceur express et trop malsains, elle avait finie par ruiner son métabolisme, la pauvre. Un jour, elle faisait publier une photo ou vidéo d'elle dans les 59 kilos, puis le mois suivant à 70 kilos, puis l'autre mois suivant vers par-delà les 80 kilos, puis à nouveau dans la rangée des 63 kilos environ vers les six prochains mois, puis vers les six mois suivants elle publiait une photo d'elle avec le visage si amaigri et creux que ses copines comme ses parentés lui demandaient ce qui lui arrive… puis, encore une année plus tard, elle publie sur son storytime des vidéos d'elle en train de se dandiner comme un pingouin surgavé, le visage rond et joufflu, un cou quasi-absent, les bras de femme ronde et tout, tentant de faire rentrer vainement son bide de la taille d'un ventre de femme enceinte de nonuplés en une grande inspiration, avant de tout relâcher en un retentissant mouvement de choc tout flasque et rebondissant. Elle était rendue tellement grosse, que pratiquement tout l'hémisphère inférieur de son énorme bide était renflée en dedans de ses jeans Taille Plus, mais couvait tout de même son《 FUPA 》comme les anglos disent, de même que son entrejambe (parce qu'elle était rendue par posséder un fichu F.U.P.A. !!!) . Elle devait faire dans les près de 93 kilos environ.

Après ça, elle a cessée de faire publier des photos et vidéos d'elle. Même en son storytime. Elle avait tendance à faire effacer de manière fréquente tout preuve de ses soucis en prise en poids, de toute façon.

John Smith X a écrit:

Mon ex faisait dans les 77 à 83 kilos environ lorsque nous nous fréquentions, mais même à ce stade élevé en surplus de poids, elle était encore passablement mince ou galbée en raison de sa taille élancée et de sa répartition en masse corporelle graisseuse encore avantageuse. La plupart des gens l'auraient certainement qualifiée davantage de « thick / thicc » (« géchar » en verlan) , de « femme bien en chair » voire d' « un peu chubby » ou « un peu rondouillette » ici, au Canada.


Vu que la dernière fois que j'aperçus sa plus récente photo de profil après qu'elle s'était encore mise par m'épier lugubrement dans mes comptes en réseaux sociaux, je dirais qu'elle a déjà poussée par-delà la barre des 100 kilos, désormais. Elle est rendue méconnaissable, elle aussi. Puis pas dans le bon sens du mot.

https://feedee.1fr1.net/t4652-ces-ex-comme-ces-connaissances-ayant-prise-du-poids

John Smith X a écrit:

Si l'on aurait inclût des feedees dans l'équation, alors là ce serait une toute autre histoire.

La vaste majorité de mes feedees n'étaient pas toutes impliquées dans une relation amoureuse ou liaison auprès de moi.

Maintenant que j'y pense, hum... j'ai complètement oublié qu'il y avait cette fréquentation, une fois-- bon, une collègue à l'un de mes anciens jobs, qui s'est retrouvée à prendre énormément de poids au fil des deux derniers mois passés à flirter, prendre connaisance l'un de l'autre, me faire instamment harceler sexuellement puis me faire peloter sans mon consentement une semaine sur deux puis se faire des charades.

Notre amitié ambiguë, à mi-chemin entre une tension sexuelle mutuelle à peine inavouée, des débuts d'une relation de《 couple au travail 》compliquée, d'une forme de prédation tant aussi bien émotionnelle et sentimentale comme érotique obsessivement malsaines enverd ma personne, puis les entourloubes mutuellement refilées, avait très tôt pris une tournure semi-implicitrment feedériste pendant nos tous premières semaines passées à se connaître.

J'ignore comment, mais cette fille, cette cégepienne d'extraction afghane, avait sû aptement déduire, en matière de nos causettes et du genre de femmes que je fréquentais, que j'avais certainement des penchants pour l'adipophilie et les fréquentations auprès de femmes en chair. Le fait que j'avais aussi un don comme talent tous deux persuasifs pour savoir comment faire flipper puis convertir des femmes dans le feedérisme sans même avoir à prononçer un mot (ou même par le souhaiter consciemment) n'arrangeait pas les choses pour cette dernière. Elle s'avérait tellement susceptible à mon charme comme à mon magnétisme animal, ce fût presque comme si on lui avait jetée un sort qui l'avait changée du tout au tout du jour au lendemain.

Elle s'était mise par s'empiffrer dans le but de me plaire. Le hic, c'est que sa prise de poids prenait une tournure de plus en plus glauque : elle grossissait de plus en plus vite puis ce, qu'importe ce qu'elle avalait comme nourriture ou quantité de calories. Même les salades lui garantissait de lui faire prendre des livres.

Lorsqu'elle avait débutée en ce job, elle devait faire dans les 145 livres (66 kilos) du haut de ses 1m75 de haut, si ma mémoire est bonne : elle n'était pas tout à fait svelte déjà, mais pas tout à fait molle non plus. Dix semaines plus tard, elle poussait dans les 209 livres (95 kilos) après avoir prise 24 livres (11 kilos) en l'espace d'à peine une semaine!
À peine deux ou trois jours plus tard, elle nous était revenue avec un poids dans les 220 livres environ (99 kilos) . Elle se forçait à consommer des salades puis à réguler de nouveau son apport calorique à des seuils de consommation décente, mais sans succès : de vulgaires salades l'avaient fait prendre une dizaine de livres (une demi-dizaine de kilos) en seulement quelques jours! Au début, elle croyait qu'il s'agissait d'un effet de rebond de poids causée par l'anxiété mélangée à ses fresques gloutonnes renouvelées et à la décroissance de son temps passé en salle de conditionnement physique, étant donnée qu'elle pesait dans les 400 livres (181 kilos) deux ans avant que je ne la rencontre et se décrivait comme étant jadis《 une bouboule 》lorsqu'elle n'était qu'une enfant puis adolescente.

Mais il paraissait évident qu'il y avait anguille sous roche après qu'elle nous soit revenue à peine das les quelques heures suivants... avec un bide et des bourelets qui débordaient tous de ces habits fraîchement achetés et déjà trop serrés, ouis un visage de plus en plus rond et grassouillet.

Deux jours plus tard, cette vieille bécasse aigrie sociopathe et raciste qui nous servait d'employeure la fit virer pour des raisons complètement bidons, sous prétexte qu'elle ne la sacquait pas en train de faire des avances à moi, un Noir (alors qu'on me disait qu'elle s'acoquinait de même auprès d'un autre collègue de même que la moitié de nos clients de sexe masculin, pour autant qu'ils ne fûssent pas noirs) . Je crois qu'elle nous avait quitté à 240 livres ou plus (108 kilos ou plus) .

240 livres ou plus / 108 kilos ou plus, puis ce après avoir manquée de prendre près de cent livres / quarante-trois kilos en seulement deux mois... c'est tout un record. J'ignore pourquoi ai-je oubliée de la mentionner plus tôt. Bof, de toute façon, même dans le palier des fréquentations, il s'agissait à peine d'une fréquentation telle que l'on entend et ce fût qu'après qu'elle fusse virée que l'autre collègue en question m'avertit que tout ce temps passé s'acoquiner auprès de moi avec ou sans mon gré, elle était en couple avec son petit copain en deux ans de relation.

Mais bon, ça reste tout de même limite une fréquentation et elle devint vers la toute fin la plus grosse d'entre toutes sous mon aile. La pauvre. Elle avait débutée en cette emploi en portant de la taille Moyenne et de la taille 38, puis en ressortit à deux doigts de déborder d'un uniforme de taille XL qu'elle venait à peine de se procurer deux jours plus tôt.

C'était pas normal, sa prise de poids.