Ces ex comme ces connaissances ayant prise du poids

Cela va déjà faire un certain nombre d'années, en particulier depuis que j'ai été invité l'an dernier à cette fête de retrouvailles décennale entre finissants de l'école secondaire duquelle j'avais étudié, que j'ai remarqué qu'un grand nombre de connaissances féminines et de femmes que j'ai connu à l'école secondaire comme au cégep/collège se sont vraiment laissées aller vers la mi-vingtaine à l'approche ou au seuil de la trentaine.

Rien que parmi mes ex-fréquentations comme ex tout court, un bon deux tiers d'entre elles étaient ou sont encore toutes rendues soit en surplus de poids soit cliniquement obèses, soit encore viennent de perdre tout leur excès de poids, la dernière fois que je me suis fait épier par ces dernières ou épier en retour.

Il y a même pas deux jours, mon storytime sur mon compte Instagram comme mon fil de publications sur TikTok se firent tous épier (et en une bien curieuse et lugubre synchronicité…) par deux ex-fréquentations (dont l'une qui m'épiait en utilisant un compte anonyme. Mais je ne suis pas c*n, je sais comment retracer des comptes réguliers lorsqu'ils me semblent agir de façon suspicieuse) , une influenceuse TikTok qui avait le béguin pour moi dans le temps, ainsi que mon ex d'une situation relationnelle ayant durée pendant pas mal d'années.

J'étais choqué par le changement physique de cette dernière…

Concernant cette dernière, j'étais tout d'abord à la fois surpris et ennuyé de voir sa photo de profil apparaître dans ma liste de profils ayant visionné mon storytime après trois ans à ne plus se contacter (néanmoins, pour cela. Elle m'épiait déjà de temps à autre depuis au moins un an ou deux par des moyens peu conventionnels-- mais j'arrivais toujours à la prendre en plein délit et faite comprendre à ses intermédiaires que si elle désire me contacter, qu'elle le fasse comme une grande personne et non pas de façon louche : elle connaît mes coordonnées) . Puis ensuite, choqué… elle me paraissait différente.

Je cliquais donc sur son profil puis en examinait la page. Son compte Instagram semblait trop peu actif depuis mi-2020 : pendant un temps, elle était en voie de se bâtir son petit blog de foodie amateure explorant périodiquement les délices de la gastronomie antillaise comme hispano-américaine ou extrême-orientale dans des restaurants et rôtisseries métropolitaines du Grand Montréal et ses alentours - une piètre tentative, dirais-je, de dompter et de faire canaliser une énième fois encore ses pulsions adiposexuelles endiablées (endiablées oui! En grande partie à la suite de nos jeux érotiques passées comme de mes aptitudes persuasives) en un hobby gastronomique bien moins sexualisé - puis subitement, à partir de décembre 2020... silence radio.

Elle se remettait donc à nouveau par faire repartir son influx de pubs à partir d'octobre 2021, cette fois-ci semblant instamment obsessive sur la notion de《 manger santé 》.

Pas d'égoportraits ni de prises vidéos de sa petite personne. Une fixation accrue sur son régime alimentaire. Une promotion mal dissimulée d'une campagne en diététique… c'est qu'elle aurait donc vachement grossie, en avais-je déduit lorsque sa vidéo apparût dans mon fil de publications en novembre 2021 : il s'agissait dès lors de la première et dernière fois que je jetais un coup d'œil en son compte depuis qu'on a cessé de se parler.

L'ayant fréquentée durant ce qui me paraît déjà n'être qu'une vie antérieure brumeuse et austère, je la connaissais comme une femme connait par cœur un bouquin de Marc Levy apposé à sa commode de lit. Elle usait toujours de son dernier selfie prise en 2019, lorsqu'elle s'était efforcée par s'affiner de taille par-dessous un poids trop maigre de 120 livres/54 kilos ou moins pour une jeune femme mesurant dans les un mètre soixante-treize de haut puis par renier assez virulemment toute mention ou clin d'œil à son passé de feedee ou au fait qu'elle avait jadis déjà pesée dans un poids abondamment voluptueux et mégapyge de 180 livres/82 kilos ou plus (et songeait à grossir davantage plus encore) .
Même à l'époque, cela lui embarrassait énormément de prendre des prises photographiques auprès de ses copines à toutes les fois qu'elle surpassait par-deçà le seuil des 145 livres/66 kilos… les femmes détestent le moindre rappel prouvant qu'elles seraient devenues la《 grosse de la clique 》.
C'était d'ailleurs à moitié le cas, même en son avant-dernier photo de profil : elle s'y était photographiée de la tête aux genoux, signalant qu'elle était à une corpulence confortable… mais y était totalement revêtue d'habits amples couleur noire sur un filtre en noir et blanc, posant de côté afin de paraître plus mince du faciès. Même au seuil de la sous-pondération, ses traits de visage en forme de cœur avaient déjà maille à perdre tout le cumuls délicat de tissu adipeux s'étant encore un chouïa coussiné le long de ses joues encore à la limite chérubiques jusqu'au contour de ses maxillaires encore affectés par ses dernières problèmes mixtes de poids yo-yo et de l'âge-- faisant disperser puis concentrer son pourcentage de masse adipeuse en d'autres régions de son corps que les zones habituelles. Des lignes commençaient à se creuser de façon plus prononcé sur son cou, indiquant peut-être les prémices prééminents et embryonnaires de ce qui se formera peut-être en un futur proche en un goître bourgeonnant si l'affliction n'était pas déjà traité d'avance. Même avant notre séparation, je commençais déjà par soupçonner des débuts de symptômes d'hyperthyroïdie s'affichant en sa figure comme en ses soucis de santé. Les poids yo-yo de plus en plus incontrôlables, même en période de régime. Ces changements d'humeur plus intenses que jamais. Cette fixation croissante qu'elle arborait de cesse à l'encontre de son propre dessous de son menton-- même une fois après avoir perdue son début persistant de double menton. Ses crises apériodiques de légers visages de lune se manifestant de façon inexpliquée (même lorsque qu'elle n'était pas à son mois, ni ne se trouvait diagnostiquée d'avoir eue une réaction allergène envers quoi que ce soit) . Une vieille connaissance en ligne m'avait une fois avertie, alors que nous discutions d'elle et de certains soucis de santé qu'elle manifestait tout au long de son aventure feedériste il y a des années de cela, qu'il se pourrait qu'elle développe des problèmes de SOP (aussi dite syndrome des ovaires polykystiques) et des soucis d'infertilité dans un très proche avenir. J'ignore tout à fait si ses pronostics s'avérèrent juste et je ne le saurais sans doute jamais-- et pour bien heureuse cause!

Enfin, elle publie une seule et dernière fois une petite mise à jour gastronomique vers décembre 2021. Plus de mantra encourageant à《 manger santé 》dans la légende. Pour être davantage honnête avec vous, elle n'avait absolument rien écrit dans la légende tout court. Sa portion de plat était richement garnie à excès, la présence de légumes et de salade quasi-inexistante, les apéritifs et boissons exotiques faibles en calorie complètement écartés du plan. Cela ne demandait pas d'être un profiler du FBI dans le style "Criminal Minds/Esprits Criminels" pour deviner que quelque chose étant déj à en cours depuis une belle lurette venait tout juste de chambouler sa vie entre les deux photos prises au courant de novembre à décembre de cette année-là. Qu'importe de quoi il s'agissait, cela a eut pour effet de faire éroder à néant tant bien ses efforts superficiels que contre-efforts tous prodigués afin de maintenir sa ligne ou ce qu'il en reste (et lorsque je dis bien superficiel, je pèse mes mots. Je l'ai connue ayant démontrée davantage plus d'auto-discipline lorsqu'il s'agissait de s'amincir comme de tourner le dos au feedérisme) .
Elle venait une nouvelle fois de succomber à l'appel de la sirène… assez ironiquement, puis comme dans un fâcheux concours de hasard ou de synchronicité trop convenante comme l'auraient sans doute expliqués les savants Carl Jung et Wolfgang Pauli, en cette même période charnière de mes aventures adipophiles duquelle je transcendais de toutes nouvelles dimensions encore jamais explorées dans l'art de persuader, séduire et tenter dans le sens biblique du mot un véritable couvent ou harem tout entier de créatrices en contenu et d'influenceuses par dizaines de s'engraisser volontairement et à des prix ridiculement très modiques-- voire parfois gratuitement jusqu'à ce que certaines de ses converties ne soient déjà plus en même de se reconnaître elles-mêmes dans une glace. Peut-être bien hantais-je encore subconsciemment son esprit comme la moindre de ses pulsions les plus animales tel le chuchotis subtil du Serpent dans le Jardin d'Éden : tout comme je hante encore, me dit-on parfois, celles de tant bien d'autres femmes par douzaines, encore marquées encore par mon pouvoir de persuasion et mon charme magnétique longtemps après que nos chemins prirent des direction opposés dans la vie…

… et bon sang, quelle hantise!

Je clique donc sur une vidéo qu'elle aurait faite publier la semaine passée. Possiblement la première trace d'activité sur son compte depuis moins de deux ans. Que s'était il donc passé durant ce laps de temps??

Emprise par la curiosité, j'entrepris vite fait des recherches croisés sur le moteur de recherche. Son vieil compte Facebook y était toujours souscris sous le même pseudonyme qu'elle usait depuis déjà plus d'une décennie. Même chose que sur Instagram : aucune trace d'activité durant la période d'entre décembre 2021 à la semaine précédente son énième réapparition tentative et épieuse (cette fois-ci moins beaucoup plus notable) dans ma vie. Mais à un détail près qu'elle fit télécharger une nouvelle photo de profil vers l'été de l'an dernier-- cette même photo de profil m'ayant laissé estomaqué.

Comment vous le décrire?? Pour cela, il faudrait que je vous fasse un court portrait de ce qu'en quoi elle avait lors de la dernière fois que nous nous étions vus en chair et en os en novembre 2019 : une attrayante jeune femme à peine plus âgée que moi et à la peau marron claire-- presque mâte, plutôt grandiloquente du haut de ses un mètre soixante-treize en dépit de sa carrure et des proportions e son facières suggérant qu'elle aurait été (effectivement) sept centimètres moins grande-- avant qu'une mystérieuse fièvre, il y a des années de cela, lui fasse passer en travers une poussée de croissance rapide alors qu'elle était déjà âgée de vingt-trois ans et demi. La vingtaine passée et d'ascendance mixte antillaise et hispano-américaine, un visage d'allure mignonne puis en forme de cœur, suggestif d'une elfe ou naïade de légende ; le petit front un peu bombé et bossu, un plus petit nez droit mais délicatement bulbeux et de persuasion hispano-créole (attestant de son ascendance métissée africaine, européenne et indienne) , des joues de chérubin, le menton rond mais un peu fuyant, les lèvres trop fines pour une femme afro-descendante puis en forme de ruban, le cou long et fin comme une ballerine, suivie d'une paire de petits yeux noirs légèrement écartés (yeux qui étaient presque bridés lorsqu'une prise de poids passée avait rendue son visage un peu joufflue, des années auparavant) incrustés d'une brillance enchanteresse contrecarrant son air morne et matronal causé par des traumas passés. Ses longs cheveux noirs frisés étaient greffés de nattes africaines lui retombant le long de son dos, accentuant sa silhouette un peu frêle et elfine mais aux hanches encore avenantes et à la croupière callipyge bien cambrée-- des reliques passées de son corps jadis curviligne, plantureux, un peu grassouillette ou diablement géchar (dépendamment de son poids) , une faible poitrine laissant difficilement imaginer qu'elle portait jadis du bonnet 38 Triple D (du bonnet 100 F en France) et d'une paire de gambettes encore sylphides en dépit de ses 120 livres/54 kilos : le tout emmitouflé dans un pull en laine moulant de taille Petite par-dessous une veste manteau blouson d'automne à la taille sanglée affublée d'une paire de jeans de taille 4 bien ceinturée manquant déjà de lui tomber des reins ne serait-ce que si elle s'évertuait à perdre encore quelques livres en trop. Sa garde-robe se balançait souvent entre le streetwear à la garçonne de la femme Génération Y de classe moyenne bien consciencieuse de mode, des habits un peu plus fifilles et des tenues un peu plus matronales avec un petit espace vestimentaire réservée pour les instants duquelle la parcelle quasi-dissociative de sa personnalité étant plus sensuelle et coquette souhaitait vouloir s'exprimer davantage : exprimant son âge, sa personnalité ambivalente et bipolaire, son charactère parfois indécis et contradictoire comme sa maturité fort sélective.

Néanmoins, rien de tout cela ne semblait affecter son aura comme présence magnétiques allant de pair avec sa beauté nubile, son regard ensorcelant et sa voix raillarde et au débit aîgu mais étrangement hypnotisant : toutes capables de faire fléchir le genou et de rendre fou tout homme ou garçon âgé de sept à soixante-dix-sept ans ayant eu la malencontreuse occurrence de croiser son chemin et de se faire envoûter par la beauté créole. Elle était fortement consciente de son mojo comme de son sex-appeal : tant et si bien qu'elle m'avait admise une fois vouloir perdre du poids en raison du fait que plus ses atouts et son physique se bonifiaient, plus sa volupté physique engendrait du drame plutôt sulfureux dans les alentours et plus des pervers l'approchaient dans l'intention de la violenter. Il était dit que sa famille, tous des chrétiens un peu zélés de foi protestante fréquentant les paroisses d'églises du réveil, pratiquait le vaudou des îles en catimini-- et non pas dans le bon sens religieux (le sens nigéro-béninois, surtout) du mot… avec du recul et de l'expérience, je m'étais pendant un temps mit par me poser pas mal de questions sur la nature de mon ancien attachement envers elle… dénotant certaines choses… me remémorant de certains quiproquos qu'elle-même ainsi que ses copines m'auraient lancé… de la méfiance instinctive et viscérale dont ma mère, ma sœur, de même que mes tantes comme oncles exprimaient à son propos. Il m'aura fallût du temps et pas mal de mésaventures afin de réaliser que j'avais malencontreusement tendance à être attiré par, comme par attirer moi-même tels des aimants un certain, hein… calibre de femmes plutôt lugubres qui pour je-ne-sais quelle raison forcenée qui leur chatouillent toutes, ressentent le besoin prépossessif de tester leurs… machins-trucs envers ma personne. Il se pourrait bien que cette fâcheuse connexion entre nous-- ce lien dont moi-même ainsi que ma famille soupçonnons qu'elle essaierait encore d'en tirer avantage de temps à autre et ce de manière extrêmement sinistre (on parlerait ici de phénomènes étranges et dangereux s'étant manifestés devant des témoins. Certains n'étaient même pas de la famille. Phénomènes poltergeist et hantises à domicile. Des apparitions astrales d'elle ou de multiples femmes à la fois aperçues par tout le monde dans le domicile familial. Des cauchemars et visions collectifs. Une peintre étrangère sexagénaire en mon job un peu trop clairvoyante dont je rencontrais pour la toute première fois pour une affaire mais qui tenterait de me revendre une peinture d'une « muse » ou « beauté créole » lui ayant apparue en tête et dont elle aurait passé un certain temps à tout fraichement peindre et qui ressemblait à s'y méprendre à mon ex, puis ce avant de subitement se mettre par me parler d'elle comme si elle le connaissait du fond de sa poche, à me dire qu'une partie de son esprit émotive chercherait à renouer auprès de moi et se languit tant que tous les autres pratiquantes en ville le présentent à leur tour-- pour me faire comprendre qu'elle serait l'une d'entre elles. Des trucs vraiment bizarres dont je n'aime pas me rappeler-- puis l'une des nombreuses raisons MAJEURES par lesquelles notre relation s'était effrité au fil des ans) .
Enfin, à sa beauté captivante et son charisme séducteur un peu lugubre se rajoutaient sa personnalité semblamment affable et candide au charme superficiel, son humour cynique et sarcastique, sa sagesse pratico-pratique ainsi que son amabilité social-- une mise en scène bien réussie afin de dissimuler tous les aspects plus sombres et attristants de sa nature. Il y aurait davantage beaucoup trop à y décrier en cela-- mais je crois que vous aviez tous déjà bien cernés les bases dès que des mots-clefs tels qu' « épieuse » ,  « m'espionne de tant a autre » , « moyens peu conventionnels » , « mets mon entourage mal a l'aise » , « ambivalente et indécise »  ,  « bipolaire et capricieuse » ,  « irrésolument adipophile » , « marquée par des traumas passés » puis « possiblement une adepte du vaudou pour une pas ainsi dire une sorcière, dotée d'aptitudes paranormaux usées à des fins sinistres envers ses amants et proies masculines » vous suffissent afin d'en déduire que j'avais jadis des choix de sélection en terme de relations horriblement médiocres doublée d'une inaptitude à pouvoir déceler les alertes rouges au sein de la gente féminine lorsque cela s'avérait nécessaire.


Bref, c'était il près de quatre ans déjà. La trentenaire qui s'affichait sur cette photographie datant d'il y a moins d'un an n'avait plus rien à voir avec cette charmeuse d'ingénue émotionnellement immature et borderline ayant grandement contribuée par définir, pour le meilleur et pour le pire, les instants les plus charniers de mon développement sexuel, de mes relations auprès des femmes comme de mon initiation à l’âge d’adulte et à la virilité.
Le glamour, la radiance et la prime jeunesse s’étaient désormais tous évanouis, alors que mes yeux d’apposèrent sur le portrait d’un visage qui me semblait à la fois si étranger et familier, prenant une prise photo par l’angle du dessus. Hélas pour elle, plus aucune de ses astucieuses illusions d’optiques ne saurèrent dissimuler tous ces changements physiques dont elle craignait tant et qui finirent toutes par se manifester, de par son visage rond et boursouflé tout le long de son front à son menton enflé. Ses traits faciaux profusément joufflus avaient si tant enflés que ses sourcils semblaient s’être notablement un peu écartés les uns des autres puis que ses joues formaient d’épaisses bajoues un peu tombantes, la donnant l’impression d’avoir la bouche pleine en permanence ; son nez s’était momentanément empâté et un peu élargi des narines, le rendant bien moins défini et délicat tandis que ses yeux semblaient davantage plus ronds de contour et enfoncés en son visage à la fois. La peau de son visage semblait bien moins lisse mais naguère encore marquée de rides, la rendant un chouia déjà plus âgée que ses trente étés fraichement célébrées au temps de la prise : désormais naguère ni véritablement toute jeune d’apparence, ni encore véritablement dans l’entre-deux-âges mais tout de même suffisamment passée par-delà le seuil des années de sa prime beauté pour se garnir d’une couche de maquillage rajeunissant, amincissant et embellissant qui hélas semblaient seulement accentuer davantage son faciès un peu vieillissant, comiquement rondouillet et si dégarni en allure qu’elle était rendue plutôt quelconque en apparence—le tout la rendant si méconnaissable qu’on croirait presqu’elle aurait changée d’ethnicité et semblait davantage avoir l’air d’une Hispanique. Sa lèvre inférieure était un tantinet plus épaisse que la supérieure, accentuant aussi davantage son héritage hispanique tandis qu’elles formaient toutes deux l’expression d’une moue austère. Même son teint de peau ainsi que la ligne de démarcation de ses cheveux semblaient toutes un peu différentes. Puis bien même qu’elle prenait une prise de vue par en haut, rien ne pouvait dissimuler les soupçons d’un double menton prononcé dont elle s’exerçait avec tant de peine de faire dissimuler en dépit de son absence totale de maxillaires. Elle avait fait lisser ses cheveux, retombant désormais au niveau de sa gorge. Son regard pénétrant, incrustée de perles noires scintillant avec une verve presque hors de ce monde, semblait être la seule chose par laquelle son visage n’avait en rien perdue de cette familiarité dont j’étais plus accoutumée… autrement, on aurait autant put me dire à l’instant qu’il s’agissait de sa grande sœur ou d’une étrangère lui ressemblant à s’y méprendre, puis je vous aurais crû!

Le restant de son corps était presqu’entièrement hors-prise : cependant, au vu de son absence totale de clavicule, de la posture un peu ballante et lourdaude de ses épaules rondouillis et la manière dont elle se prenait en photo comme afin d’éviter d’avoir son bras se heurter contre son propre corps, je dirais qu’elle me confie toutes les signes d’une femme de sa stature duquelle son IMC pointillerais dans les 34 à 38 pour environ.
On parle bien ici de 230 à 250 livres (104 à 114 kilos) environ. Peut-être 20 livres/9 kilos en moins, peut-être un peu plus. Puis au vu de la façon dont son visage s’était difformée, je crains fort que mes soupçons portant sur l’hyperthyroïdie ou une affliction hormonale glandulaire quelconque soient désormais quelque peu fondés.

Je méditais longuement sur cette prise photo, me disant combien il est fou à quel point les gens peuvent parfois changer radicalement en si peu de temps, notamment dû aux affres du temps et à la maladie. Cependant, j’ai grandement du mal à éprouver de la tristesse et de la joie pour cette femme. De la tristesse pour ce qui lui arrive… puis de la joie pour le fait qu’elle ait en une certaine manière réalisée son souhait de devenir obèse. J’éprouvais seulement de la pitié et le désir de l’oublier encore. Elle ne mérite pas mon attention : pas après tout ce qu’elle m’a faite subir du début vers la toute fin, allégée comme prouvée et factuelle. La dernière chose impardonnable qu’elle fit il y a trois ans. Les trucs chelous et tant d’autres choses… et davantage encore.
Si elle souhaitait véritablement mon pardon, encore une fois elle possède mes coordonnés… bordel, elle me follow encore toujours sur Instagram! Elle croit pouvoir s’évertuer à me faire des prises de tête en sachant bien que cela ne fonctionne pas avec moi. C’est narcissique et complètement inconscient de sa part. C’est à croire qu’elle ne se souvient plus pour quelles raisons j’ai rompu tout contact auprès d’elle! Elle a peut-être changée de physique puis mûrie en âge, mais au fond elle demeure toujours la même.

Le plus drôle, c’est qu’il y a des chances que j’encours à ce qu’elle passe en revue ce fil de discussions ici même. Elle est familière auprès de tous les forums FA que je fréquente. En fait, de ce que je fais, elle était pas mal familière auprès des moindres recoins de la Toile duquelle j’avais l’habitude… car aurais-je oublié de vous dire qu’elle m’aurait également faite épier en me hackant et traquant durant des années entières??
Maintenant, vous savez pourquoi j’évite comme ignore cette femme.

Lol, la mise en rédaction de cet article m'a davantage inspiré l'envie de jeter un petit coup d'œil nostalgique à quelques-unes de mes ex-fréquentations, flirts et autres femmes que j'aurais connu en cours de route. Puis honnêtement, entre vous et moi, les affres du temps de même que les aléas de la vie et leurs propres choix personnels n'ont pas été gracieux du tout auprès de la plupart d'entre elles… la plupart d'entre elles n'en même pas encore trente années, c'est ouf!

Presque chacune d'entre elles se retrouvent désormais avec leurs apparences et beautés qui se sont toutes un peu gâtées et des problèmes de surpoids. Une untelle ayant commencée par développer des signes de l'âge dès ses vingt-cinq ans (puis c'était il y a déjà près de cinq ans) , mon ancienne professeure en mannequinat maintenant âgée de trente-quatre ans qui est passée de véritable modèle vivant de photo en page couverture de magazine à tenter de faire dissimuler ses traits de visage vieillissants, avilis et un peu rondouillis par-dessous une paire d'épaisses verres fumées tout en arborant des signes navrants d'alopécie de par ses cheveux un peu dégarnis par le haut comme de par le contour de son front, une divorcée en peu en bonne cher puis j'en passe. Je dirais, cependant, que la divorcée est la seule qui demeure toujours aussi attrayante qu'avant, par contre.

John Smith X a écrit:

Concernant cette dernière, j'étais tout d'abord à la fois surpris et ennuyé de voir sa photo de profil apparaître dans ma liste de profils ayant visionné mon storytime après trois ans à ne plus se contacter (néanmoins, pour cela. Elle m'épiait déjà de temps à autre depuis au moins un an ou deux par des moyens peu conventionnels-- mais j'arrivais toujours à la prendre en plein délit et faite comprendre à ses intermédiaires que si elle désire me contacter, qu'elle le fasse comme une grande personne et non pas de façon louche : elle connaît mes coordonnées) . Puis ensuite, choqué… elle me paraissait différente.

Je cliquais donc sur son profil puis en examinait la page. Son compte Instagram semblait trop peu actif depuis mi-2020 : pendant un temps, elle était en voie de se bâtir son petit blog de foodie amateure explorant périodiquement les délices de la gastronomie antillaise comme hispano-américaine ou extrême-orientale dans des restaurants et rôtisseries métropolitaines du Grand Montréal et ses alentours - une piètre tentative, dirais-je, de dompter et de faire canaliser une énième fois encore ses pulsions adiposexuelles endiablées (endiablées oui! En grande partie à la suite de nos jeux érotiques passées comme de mes aptitudes persuasives) en un hobby gastronomique bien moins sexualisé - puis subitement, à partir de décembre 2020... silence radio.

Elle se remettait donc à nouveau par faire repartir son influx de pubs à partir d'octobre 2021, cette fois-ci semblant instamment obsessive sur la notion de《 manger santé 》.

Pas d'égoportraits ni de prises vidéos de sa petite personne. Une fixation accrue sur son régime alimentaire. Une promotion mal dissimulée d'une campagne en diététique… c'est qu'elle aurait donc vachement grossie, en avais-je déduit lorsque sa vidéo apparût dans mon fil de publications en novembre 2021 : il s'agissait dès lors de la première et dernière fois que je jetais un coup d'œil en son compte depuis qu'on a cessé de se parler.

L'ayant fréquentée durant ce qui me paraît déjà n'être qu'une vie antérieure brumeuse et austère, je la connaissais comme une femme connait par cœur un bouquin de Marc Levy apposé à sa commode de lit. Elle usait toujours de son dernier selfie prise en 2019, lorsqu'elle s'était efforcée par s'affiner de taille par-dessous un poids trop maigre de 120 livres/54 kilos ou moins pour une jeune femme mesurant dans les un mètre soixante-treize de haut puis par renier assez virulemment toute mention ou clin d'œil à son passé de feedee ou au fait qu'elle avait jadis déjà pesée dans un poids abondamment voluptueux et mégapyge de 180 livres/82 kilos ou plus (et songeait à grossir davantage plus encore) .
Même à l'époque, cela lui embarrassait énormément de prendre des prises photographiques auprès de ses copines à toutes les fois qu'elle surpassait par-deçà le seuil des 145 livres/66 kilos… les femmes détestent le moindre rappel prouvant qu'elles seraient devenues la《 grosse de la clique 》.
C'était d'ailleurs à moitié le cas, même en son avant-dernier photo de profil : elle s'y était photographiée de la tête aux genoux, signalant qu'elle était à une corpulence confortable… mais y était totalement revêtue d'habits amples couleur noire sur un filtre en noir et blanc, posant de côté afin de paraître plus mince du faciès. Même au seuil de la sous-pondération, ses traits de visage en forme de cœur avaient déjà maille à perdre tout le cumuls délicat de tissu adipeux s'étant encore un chouïa coussiné le long de ses joues encore à la limite chérubiques jusqu'au contour de ses maxillaires encore affectés par ses dernières problèmes mixtes de poids yo-yo et de l'âge-- faisant disperser puis concentrer son pourcentage de masse adipeuse en d'autres régions de son corps que les zones habituelles. Des lignes commençaient à se creuser de façon plus prononcé sur son cou, indiquant peut-être les prémices prééminents et embryonnaires de ce qui se formera peut-être en un futur proche en un goître bourgeonnant si l'affliction n'était pas déjà traité d'avance. Même avant notre séparation, je commençais déjà par soupçonner des débuts de symptômes d'hyperthyroïdie s'affichant en sa figure comme en ses soucis de santé. Les poids yo-yo de plus en plus incontrôlables, même en période de régime. Ces changements d'humeur plus intenses que jamais. Cette fixation croissante qu'elle arborait de cesse à l'encontre de son propre dessous de son menton-- même une fois après avoir perdue son début persistant de double menton. Ses crises apériodiques de légers visages de lune se manifestant de façon inexpliquée (même lorsque qu'elle n'était pas à son mois, ni ne se trouvait diagnostiquée d'avoir eue une réaction allergène envers quoi que ce soit) . Une vieille connaissance en ligne m'avait une fois avertie, alors que nous discutions d'elle et de certains soucis de santé qu'elle manifestait tout au long de son aventure feedériste il y a des années de cela, qu'il se pourrait qu'elle développe des problèmes de SOP (aussi dite syndrome des ovaires polykystiques) et des soucis d'infertilité dans un très proche avenir. J'ignore tout à fait si ses pronostics s'avérèrent juste et je ne le saurais sans doute jamais-- et pour bien heureuse cause!

Enfin, elle publie une seule et dernière fois une petite mise à jour gastronomique vers décembre 2021. Plus de mantra encourageant à《 manger santé 》dans la légende. Pour être davantage honnête avec vous, elle n'avait absolument rien écrit dans la légende tout court. Sa portion de plat était richement garnie à excès, la présence de légumes et de salade quasi-inexistante, les apéritifs et boissons exotiques faibles en calorie complètement écartés du plan. Cela ne demandait pas d'être un profiler du FBI dans le style "Criminal Minds/Esprits Criminels" pour deviner que quelque chose étant déj à en cours depuis une belle lurette venait tout juste de chambouler sa vie entre les deux photos prises au courant de novembre à décembre de cette année-là. Qu'importe de quoi il s'agissait, cela a eut pour effet de faire éroder à néant tant bien ses efforts superficiels que contre-efforts tous prodigués afin de maintenir sa ligne ou ce qu'il en reste (et lorsque je dis bien superficiel, je pèse mes mots. Je l'ai connue ayant démontrée davantage plus d'auto-discipline lorsqu'il s'agissait de s'amincir comme de tourner le dos au feedérisme) .
Elle venait une nouvelle fois de succomber à l'appel de la sirène… assez ironiquement, puis comme dans un fâcheux concours de hasard ou de synchronicité trop convenante comme l'auraient sans doute expliqués les savants Carl Jung et Wolfgang Pauli, en cette même période charnière de mes aventures adipophiles duquelle je transcendais de toutes nouvelles dimensions encore jamais explorées dans l'art de persuader, séduire et tenter dans le sens biblique du mot un véritable couvent ou harem tout entier de créatrices en contenu et d'influenceuses par dizaines de s'engraisser volontairement et à des prix ridiculement très modiques-- voire parfois gratuitement jusqu'à ce que certaines de ses converties ne soient déjà plus en même de se reconnaître elles-mêmes dans une glace. Peut-être bien hantais-je encore subconsciemment son esprit comme la moindre de ses pulsions les plus animales tel le chuchotis subtil du Serpent dans le Jardin d'Éden : tout comme je hante encore, me dit-on parfois, celles de tant bien d'autres femmes par douzaines, encore marquées encore par mon pouvoir de persuasion et mon charme magnétique longtemps après que nos chemins prirent des direction opposés dans la vie…

… et bon sang, quelle hantise!

John Smith X a écrit:

Je clique donc sur une vidéo qu'elle aurait faite publier la semaine passée. Possiblement la première trace d'activité sur son compte depuis moins de deux ans. Que s'était il donc passé durant ce laps de temps??

Emprise par la curiosité, j'entrepris vite fait des recherches croisés sur le moteur de recherche. Son vieil compte Facebook y était toujours souscris sous le même pseudonyme qu'elle usait depuis déjà plus d'une décennie. Même chose que sur Instagram : aucune trace d'activité durant la période d'entre décembre 2021 à la semaine précédente son énième réapparition tentative et épieuse (cette fois-ci moins beaucoup plus notable) dans ma vie. Mais à un détail près qu'elle fit télécharger une nouvelle photo de profil vers l'été de l'an dernier-- cette même photo de profil m'ayant laissé estomaqué.

Comment vous le décrire?? Pour cela, il faudrait que je vous fasse un court portrait de ce qu'en quoi elle avait lors de la dernière fois que nous nous étions vus en chair et en os en novembre 2019 : une attrayante jeune femme à peine plus âgée que moi et à la peau marron claire-- presque mâte, plutôt grandiloquente du haut de ses un mètre soixante-treize en dépit de sa carrure et des proportions e son facières suggérant qu'elle aurait été (effectivement) sept centimètres moins grande-- avant qu'une mystérieuse fièvre, il y a des années de cela, lui fasse passer en travers une poussée de croissance rapide alors qu'elle était déjà âgée de vingt-trois ans et demi. La vingtaine passée et d'ascendance mixte antillaise et hispano-américaine, un visage d'allure mignonne puis en forme de cœur, suggestif d'une elfe ou naïade de légende ; le petit front un peu bombé et bossu, un plus petit nez droit mais délicatement bulbeux et de persuasion hispano-créole (attestant de son ascendance métissée africaine, européenne et indienne) , des joues de chérubin, le menton rond mais un peu fuyant, les lèvres trop fines pour une femme afro-descendante puis en forme de ruban, le cou long et fin comme une ballerine, suivie d'une paire de petits yeux noirs légèrement écartés (yeux qui étaient presque bridés lorsqu'une prise de poids passée avait rendue son visage un peu joufflue, des années auparavant) incrustés d'une brillance enchanteresse contrecarrant son air morne et matronal causé par des traumas passés. Ses longs cheveux noirs frisés étaient greffés de nattes africaines lui retombant le long de son dos, accentuant sa silhouette un peu frêle et elfine mais aux hanches encore avenantes et à la croupière callipyge bien cambrée-- des reliques passées de son corps jadis curviligne, plantureux, un peu grassouillette ou diablement géchar (dépendamment de son poids) , une faible poitrine laissant difficilement imaginer qu'elle portait jadis du bonnet 38 Triple D (du bonnet 100 F en France) et d'une paire de gambettes encore sylphides en dépit de ses 120 livres/54 kilos : le tout emmitouflé dans un pull en laine moulant de taille Petite par-dessous une veste manteau blouson d'automne à la taille sanglée affublée d'une paire de jeans de taille 4 bien ceinturée manquant déjà de lui tomber des reins ne serait-ce que si elle s'évertuait à perdre encore quelques livres en trop. Sa garde-robe se balançait souvent entre le streetwear à la garçonne de la femme Génération Y de classe moyenne bien consciencieuse de mode, des habits un peu plus fifilles et des tenues un peu plus matronales avec un petit espace vestimentaire réservée pour les instants duquelle la parcelle quasi-dissociative de sa personnalité étant plus sensuelle et coquette souhaitait vouloir s'exprimer davantage : exprimant son âge, sa personnalité ambivalente et bipolaire, son charactère parfois indécis et contradictoire comme sa maturité fort sélective.

Néanmoins, rien de tout cela ne semblait affecter son aura comme présence magnétiques allant de pair avec sa beauté nubile, son regard ensorcelant et sa voix raillarde et au débit aîgu mais étrangement hypnotisant : toutes capables de faire fléchir le genou et de rendre fou tout homme ou garçon âgé de sept à soixante-dix-sept ans ayant eu la malencontreuse occurrence de croiser son chemin et de se faire envoûter par la beauté créole. Elle était fortement consciente de son mojo comme de son sex-appeal : tant et si bien qu'elle m'avait admise une fois vouloir perdre du poids en raison du fait que plus ses atouts et son physique se bonifiaient, plus sa volupté physique engendrait du drame plutôt sulfureux dans les alentours et plus des pervers l'approchaient dans l'intention de la violenter. Il était dit que sa famille, tous des chrétiens un peu zélés de foi protestante fréquentant les paroisses d'églises du réveil, pratiquait le vaudou des îles en catimini-- et non pas dans le bon sens religieux (le sens nigéro-béninois, surtout) du mot… avec du recul et de l'expérience, je m'étais pendant un temps mit par me poser pas mal de questions sur la nature de mon ancien attachement envers elle… dénotant certaines choses… me remémorant de certains quiproquos qu'elle-même ainsi que ses copines m'auraient lancé… de la méfiance instinctive et viscérale dont ma mère, ma sœur, de même que mes tantes comme oncles exprimaient à son propos. Il m'aura fallût du temps et pas mal de mésaventures afin de réaliser que j'avais malencontreusement tendance à être attiré par, comme par attirer moi-même tels des aimants un certain, hein… calibre de femmes plutôt lugubres qui pour je-ne-sais quelle raison forcenée qui leur chatouillent toutes, ressentent le besoin prépossessif de tester leurs… machins-trucs envers ma personne. Il se pourrait bien que cette fâcheuse connexion entre nous-- ce lien dont moi-même ainsi que ma famille soupçonnons qu'elle essaierait encore d'en tirer avantage de temps à autre et ce de manière extrêmement sinistre (on parlerait ici de phénomènes étranges et dangereux s'étant manifestés devant des témoins. Certains n'étaient même pas de la famille. Phénomènes poltergeist et hantises à domicile. Des apparitions astrales d'elle ou de multiples femmes à la fois aperçues par tout le monde dans le domicile familial. Des cauchemars et visions collectifs. Une peintre étrangère sexagénaire en mon job un peu trop clairvoyante dont je rencontrais pour la toute première fois pour une affaire mais qui tenterait de me revendre une peinture d'une « muse » ou « beauté créole » lui ayant apparue en tête et dont elle aurait passé un certain temps à tout fraichement peindre et qui ressemblait à s'y méprendre à mon ex, puis ce avant de subitement se mettre par me parler d'elle comme si elle le connaissait du fond de sa poche, à me dire qu'une partie de son esprit émotive chercherait à renouer auprès de moi et se languit tant que tous les autres pratiquantes en ville le présentent à leur tour-- pour me faire comprendre qu'elle serait l'une d'entre elles. Des trucs vraiment bizarres dont je n'aime pas me rappeler-- puis l'une des nombreuses raisons MAJEURES par lesquelles notre relation s'était effrité au fil des ans) .
Enfin, à sa beauté captivante et son charisme séducteur un peu lugubre se rajoutaient sa personnalité semblamment affable et candide au charme superficiel, son humour cynique et sarcastique, sa sagesse pratico-pratique ainsi que son amabilité social-- une mise en scène bien réussie afin de dissimuler tous les aspects plus sombres et attristants de sa nature. Il y aurait davantage beaucoup trop à y décrier en cela-- mais je crois que vous aviez tous déjà bien cernés les bases dès que des mots-clefs tels qu' « épieuse » ,  « m'espionne de tant a autre » , « moyens peu conventionnels » , « mets mon entourage mal a l'aise » , « ambivalente et indécise »  ,  « bipolaire et capricieuse » ,  « irrésolument adipophile » , « marquée par des traumas passés » puis « possiblement une adepte du vaudou pour une pas ainsi dire une sorcière, dotée d'aptitudes paranormaux usées à des fins sinistres envers ses amants et proies masculines » vous suffissent afin d'en déduire que j'avais jadis des choix de sélection en terme de relations horriblement médiocres doublée d'une inaptitude à pouvoir déceler les alertes rouges au sein de la gente féminine lorsque cela s'avérait nécessaire.


Bref, c'était il près de quatre ans déjà. La trentenaire qui s'affichait sur cette photographie datant d'il y a moins d'un an n'avait plus rien à voir avec cette charmeuse d'ingénue émotionnellement immature et borderline ayant grandement contribuée par définir, pour le meilleur et pour le pire, les instants les plus charniers de mon développement sexuel, de mes relations auprès des femmes comme de mon initiation à l’âge d’adulte et à la virilité.
Le glamour, la radiance et la prime jeunesse s’étaient désormais tous évanouis, alors que mes yeux d’apposèrent sur le portrait d’un visage qui me semblait à la fois si étranger et familier, prenant une prise photo par l’angle du dessus. Hélas pour elle, plus aucune de ses astucieuses illusions d’optiques ne saurèrent dissimuler tous ces changements physiques dont elle craignait tant et qui finirent toutes par se manifester, de par son visage rond et boursouflé tout le long de son front à son menton enflé. Ses traits faciaux profusément joufflus avaient si tant enflés que ses sourcils semblaient s’être notablement un peu écartés les uns des autres puis que ses joues formaient d’épaisses bajoues un peu tombantes, la donnant l’impression d’avoir la bouche pleine en permanence ; son nez s’était momentanément empâté et un peu élargi des narines, le rendant bien moins défini et délicat tandis que ses yeux semblaient davantage plus ronds de contour et enfoncés en son visage à la fois. La peau de son visage semblait bien moins lisse mais naguère encore marquée de rides, la rendant un chouia déjà plus âgée que ses trente étés fraichement célébrées au temps de la prise : désormais naguère ni véritablement toute jeune d’apparence, ni encore véritablement dans l’entre-deux-âges mais tout de même suffisamment passée par-delà le seuil des années de sa prime beauté pour se garnir d’une couche de maquillage rajeunissant, amincissant et embellissant qui hélas semblaient seulement accentuer davantage son faciès un peu vieillissant, comiquement rondouillet et si dégarni en allure qu’elle était rendue plutôt quelconque en apparence—le tout la rendant si méconnaissable qu’on croirait presqu’elle aurait changée d’ethnicité et semblait davantage avoir l’air d’une Hispanique. Sa lèvre inférieure était un tantinet plus épaisse que la supérieure, accentuant aussi davantage son héritage hispanique tandis qu’elles formaient toutes deux l’expression d’une moue austère. Même son teint de peau ainsi que la ligne de démarcation de ses cheveux semblaient toutes un peu différentes. Puis bien même qu’elle prenait une prise de vue par en haut, rien ne pouvait dissimuler les soupçons d’un double menton prononcé dont elle s’exerçait avec tant de peine de faire dissimuler en dépit de son absence totale de maxillaires. Elle avait fait lisser ses cheveux, retombant désormais au niveau de sa gorge. Son regard pénétrant, incrustée de perles noires scintillant avec une verve presque hors de ce monde, semblait être la seule chose par laquelle son visage n’avait en rien perdue de cette familiarité dont j’étais plus accoutumée… autrement, on aurait autant put me dire à l’instant qu’il s’agissait de sa grande sœur ou d’une étrangère lui ressemblant à s’y méprendre, puis je vous aurais crû!

Le restant de son corps était presqu’entièrement hors-prise : cependant, au vu de son absence totale de clavicule, de la posture un peu ballante et lourdaude de ses épaules rondouillis et la manière dont elle se prenait en photo comme afin d’éviter d’avoir son bras se heurter contre son propre corps, je dirais qu’elle me confie toutes les signes d’une femme de sa stature duquelle son IMC pointillerais dans les 34 à 38 pour environ.
On parle bien ici de 230 à 250 livres (104 à 114 kilos) environ. Peut-être 20 livres/9 kilos en moins, peut-être un peu plus. Puis au vu de la façon dont son visage s’était difformée, je crains fort que mes soupçons portant sur l’hyperthyroïdie ou une affliction hormonale glandulaire quelconque soient désormais quelque peu fondés.

Je méditais longuement sur cette prise photo, me disant combien il est fou à quel point les gens peuvent parfois changer radicalement en si peu de temps, notamment dû aux affres du temps et à la maladie. Cependant, j’ai grandement du mal à éprouver de la tristesse et de la joie pour cette femme. De la tristesse pour ce qui lui arrive… puis de la joie pour le fait qu’elle ait en une certaine manière réalisée son souhait de devenir obèse. J’éprouvais seulement de la pitié et le désir de l’oublier encore. Elle ne mérite pas mon attention : pas après tout ce qu’elle m’a faite subir du début vers la toute fin, allégée comme prouvée et factuelle. La dernière chose impardonnable qu’elle fit il y a trois ans. Les trucs chelous et tant d’autres choses… et davantage encore.
Si elle souhaitait véritablement mon pardon, encore une fois elle possède mes coordonnés… bordel, elle me follow encore toujours sur Instagram! Elle croit pouvoir s’évertuer à me faire des prises de tête en sachant bien que cela ne fonctionne pas avec moi. C’est narcissique et complètement inconscient de sa part. C’est à croire qu’elle ne se souvient plus pour quelles raisons j’ai rompu tout contact auprès d’elle! Elle a peut-être changée de physique puis mûrie en âge, mais au fond elle demeure toujours la même.

Le plus drôle, c’est qu’il y a des chances que j’encours à ce qu’elle passe en revue ce fil de discussions ici même. Elle est familière auprès de tous les forums FA que je fréquente. En fait, de ce que je fais, elle était pas mal familière auprès des moindres recoins de la Toile duquelle j’avais l’habitude… car aurais-je oublié de vous dire qu’elle m’aurait également faite épier en me hackant et traquant durant des années entières??
Maintenant, vous savez pourquoi j’évite comme ignore cette femme.

Je ne sais pas si je l'ai dis, mais sa photo de profil date d'il y a treize mois.

Puis maintenant que je me rends compte, c'est pas juste la prise de poids. Je crois qu'elle souffre d'une affliction. Son visage en forme de lune est ses boursouflures me semblent toutes plutôt charactéristiques de l'hypothyroïdisme. Peut-être serait-ce donc des effets secondaires dû à l'usage du Prednisolone aussi... ça expliquerait donc la peau tendue, les traits ballonnés, ses yeux qui paraissent plus gros et exorbités, la lueur des yeux qui s'affaiblie, le fait que ses sourcils ont l'air d'avoir été《 étirés 》puis que même son front parait en soi plus rond. En fait... je me rends compte que même sa tête a l'air d'avoir pris en volume! Ses cheveux n'encadrent plus sa tête de manière aussi flatteuse...

Je me souviens effectivement qu'il y a quatre ans de cela (l'année d'avant que nous coupions contact) , je lui avais faite remarqué tout un tas de signes alarmants concernant ses chanfements physiques. Elle avait passée de 63 - 73 à par-dessous les 53 kilos, à l'époque, mais elle souffrait de tout un tas de trucs : elle commençait par avoir un soupçon de début de goitre, démontrait un nombre croissant de signes de vieillissement prématuré (commençait à paraître à peine quelques années plus vieille que son âge, le ventre qui commence à se boudiner comme si elle était en milieu de l'âge) , souffrait de crises d'édème menstruelles violents, devenait sensible de par la peau des jambes à chaque fois qu'elle faisait une rétension d'eau, souffrait de changements d'humeurs volatiles, de fringales encore plus violents qu'elle en avait déjà, et cetera et cetera. Je soupçonnais qu'elle commençait par développer l'hypothyroïdisme, le diabète, un trouble du flux lymphatique, ainsi qu'un déséquilibre métabolique subtantiel, le surstress... on m'a même averti qu'elle pourrait également commencer par developper le SOP.

Je lui avais fortement recommandé de passer en clinique afin d'envisager de se préparer à subir des traitements ou simplement afin d'apaiser sa conscience, mais elle refusa de m'écouter en vraie tête de mule.

Se pourrait-il que j'eusse partiellement, sinon même entièrement vu juste??

Il reste qu'en vérifiiant ses anciens photos de profil datant de 2020 à 2021... il est vraiment étrange que pour une femme étant devenue aussi maigre à l'époque, son visage continuait encore graduellement par rondouillir. Qu'importe ce qui lui arrive commençait déjà par prendre leur effet.

Je soupçonne même qu'elle a déjà outrepassée la barre des 104 à 114 kilos (230 à 250 livres) depuis belle lurette.

Dans la dernière vidéo qu'elle fit publier en juillet dernier, elle filmait des parentés à elle ainsi que des membres de sa paroisse en train de manifester auprès d'un millier d'autres gens dans les rues de la capitale de leur pays d'origine. Ses tantes, l'un de ses oncles ainsi que certains autres membres de la paroisse étaient visiblement en surplus en poids voire modéramment obèses (dans les 86 à 113 kilos ou 190 à 250 livres) ... cependant, même en dépit du fait qu'elle filmait sa marche hors-caméra, elle avait un grand mal à les rattraper en pas de marche.

En fait, elle n'avait pas uniquement grand mal, elle était pas mal lente à la dégaine. Puis sa démarche semblait beaucoup plus ample et laborieuse que celles des paroisiennes les plus rondes.

Combien de kilos a-t-elle encore prise au fil des douze mois qui s'écoulèrent depuis son tout dernier égoportrait...???? Pour se dandiner de la sorte avec autant de difficulté, elle doit faire au moins dans les 124 à 136 kilos (275 à 300 livres) . Voire un peu plus...

John Smith X a écrit:

Je soupçonne même qu'elle a déjà outrepassée la barre des 104 à 114 kilos (230 à 250 livres) depuis belle lurette.

Dans la dernière vidéo qu'elle fit publier en juillet dernier, elle filmait des parentés à elle ainsi que des membres de sa paroisse en train de manifester auprès d'un millier d'autres gens dans les rues de la capitale de leur pays d'origine. Ses tantes, l'un de ses oncles ainsi que certains autres membres de la paroisse étaient visiblement en surplus en poids voire modéramment obèses (dans les 86 à 113 kilos ou 190 à 250 livres) ... cependant, même en dépit du fait qu'elle filmait sa marche hors-caméra, elle avait un grand mal à les rattraper en pas de marche.

En fait, elle n'avait pas uniquement grand mal, elle était pas mal lente à la dégaine. Puis sa démarche semblait beaucoup plus ample et laborieuse que celles des paroisiennes les plus rondes.

Combien de kilos a-t-elle encore prise au fil des douze mois qui s'écoulèrent depuis son tout dernier égoportrait...???? Pour se dandiner de la sorte avec autant de difficulté, elle doit faire au moins dans les 124 à 136 kilos (275 à 300 livres) . Voire un peu plus...

Je viens de tomber sur une photographie de groupe datant d'il y a deux semaines duquelle elle y était inclûse, juste après que Facebook m'ait recommandé cette paroisse d'église du réveil duquelle elle fréquente et franchement, la barre des 280 à moins de 300 livres (127 à moins de 136 kilos) n'est pas loin. Elle a é-nooooooooo-rmé-ment grossie.

À vue d'oeil, elle doit faire dans de la taille de robe 2X ou 3X/Double À Triple Extra Large, soit peut-être dans du 18 à du 22 (ce qui équivaut à des tailles de robe 50 à 52-54 en France) ???

En dépit du fait qu'elle était dans ses habits du dimanche les plus chics et taillés à la couple ample afin de dissimuler ses courbes rubenesques et rondeurs avenantes, qu'elle portait possiblement un justeaucorps amincissant/raffermissant doublé d'une gaine par-dessous sa tenue afin d'atténuer sa corpulence de même que ses bourrelets, puis qu'elle se positionnait en posture debout forcée de trois-quart de côté tout en rentrant son ventre afin de paraître la moins encombrée et encombrante possible en photo de groupe, tandis que ce qui me semblait sans l'ombre d'un doute n'être que deux de ses copines de paroisse ou subalternes hiérarchiques (car vue la manière dont elle s'habillait de manière aussi distinguée et à la limite coquette par rapport au restant du groupe de femmes, de la façon duquelle le langage verbal des autres paroissiennes l'entourant avec une certaine révérence et familiarité, à la limite de la crainte comme celle ressentie envers une supérieure, couplée par sa position au sein du groupe... j'en conclûs que mon ex aurait gravie les échelons de ce ministère, depuis notre séparation) se positionnaient toutes deux de chaque côté afin de lui laisser de l'espace tout en cachant des parties de son corps ample— dont une petite femme très ronde postrée stratégiquement afin de dissimuler la saillie plausiblement sur-proéminente de sa jupe évasée de par-dessous son dos rendue excessivement cambrée par à la fois la pesanteur de son bide comme par le volume exagéramment surélévé de son bas du corps massif, puis enfin la manière duquelle son maquillage amincissant comme sa coiffure élaborée tentaient d'ôter quelques demi-kilos à son visage... elle ne peut franchement rien me dissimuler à moi.


D'abord, la première chose qui me frappât de plein fouet fût l'aperçu à demi-couvert d'une grosse panse qui poussait contre ses habits et semblait, bien malgré ses efforts tenues afin de le dissimuler, pendouiller en une saillie notable en ce qui me semblait être possiblement la région de son corps proche du haut de ses cuisses— indiquant qu'elle posséderait un pannicule adipeux ou《 ventre en tablier 》désormais (et une recouvrant déjà par-deçà sa région pelvienne, en somme!) .
Sa poitrine gauche... très forte. Surpopulente. De la taille d'un gros melon bien mûr, mais naguère plus aussi ferme et rebondie que durant ses plus jeunes (et plus légères à moyenne de tailles) années. Plausiblement du bonnet 46 H à vue d'œil (du bonnet 120 J en France) , ce qui aurait l'air de ça :



Son semblant de taille, ample et pas très définie. Une très forte corpulence, possiblement dans les alentours d'un indice en masse graiseuse comme indice en masse pondérale dans les environs de 44 à 48. Des hanches
... pachydermiques! Dont même la coupe évasée de la longue jupe lui tombant de par le haut des chevilles ne saurait guère atténuer, de par la façon duquelle le tissu de l'habit seulement s'étirait davantage beaucoup plus que dans le pourtour de son bas de l'abdomen pansu et ventripotent, en cette zone. Des cuisses massives, plausiblement lipédémiques et affublées d'une énorme culotte-de-cheval en dépit du fait que la jupe n'épousait qu'à peine sa mi-cuisse haute. De gros mollets enflés de tantine, en grande partie dissimulés par cette même jupe. Une saillie de croupière— si même le dénommee 《 croupière 》rendue à pareilles proportions s'avèrent juste où si je devrais plus fidèlement le dénommer un cap, une île, une péninsule...! Si massive et survolumineuse, il fallait une petite femme ventrue et bâtie comme Madame Pomme-de-Terre afin d'en couvrir sa vue et même là, la façon duquelle la jupe s'étirait et de plissait de manière plus notable de par endroits de la ligne des hanches, suggérait sans l'ombre d'un doute que la femme obèse était désormais affublée d'une stéatopygie excessivement prononçée— dont je présume atteindre des sommités par-delà même celles observées en la tragique figure historique africaine du XIXe siècle Princesse Sawtche《 Saartje 'Sara' Baartman 》mieux connue sous le surnom de la Vénus Hottentot : si dans le cas de la princesse pygmée khoïkhoï l'on parlerait de stéatopygie extrême, le cas de mon ex pourrait atteindre des niveaux beaucoup plus développés d'hyper-stéatopygie extrême.
Même ses pieds emmitouflés dans une paire de sandales stylisées en talons semblaient être écartés l'un de l'autte d'au moins une trentaine à quarantaine de centimètres, indiquant ô combien ses cuisses volumineuses de même que sa forte corpulence l'encombrait. Elle ferait passer Eudoxie Yao pour une amateure.

Il semblerait, je préssens et SACHE fort bien, qu'elle ait vraiment mal digérée notre séparation de même que vécue je-ne-sais quoi de tragique encore pendant le confinement de 2020-2021, afin de se laisser aller à ce point depuis fin automne 2021. Cependant, elle semblait quelque peu bonhomieuse dans cette photographie, en contraste à la plupart ses photographies des quatre autres années précédentes : quoique que toujours... meurtrie de l'âme comme du corps.

Puis toujours pas de bague à la main. Je me souviens qu'elle m'avait abordée avec une tentative trop peu discrète et maladroite de m'appâter à cette éventualité, tout en me faisant du proxélytisme. Ma réaction quant aux circonstances et contexte duquelle toit cela s'ensuivit, le fait qu'elle m'avait posée en lapin que trop longtemps de même par réponse fûrent toutes trois le catalyse de notre rupture définitive et immédiate par《 ghosting 》mutuel.

C'est bizarre à dire, mais en dépit de nos différends, cela me rend quelque peu attristré et desemparée qu'elle fûsse passée dans tant de choses, tout en me sentant quelque peu reconfortée qu'elle puisse trouvée un certain semblant de paix intérieure ou de bonheur.


Seulement...

Je viens de tomber sur le profil Facebook d'une femme blanche qui me faisait des avances vraiment trop poussées et obsessifs, dans le temps (à la limite, elle frôlait dans le harcèlement sexuel et les attouchements inappropriés, la dégradation sexuelle, la déshumanisation/hypersexualisation de ma personne dans des connotations fétichistes et racistes, les remarques déplacés, les suggestions insistantes à aller coucher ensemble et bien d'autre cas abracadrabrants encore...) . C'était il y a de cela trois à bientôt quatre ans.

Lorsque nous nous étions rencontrés pour la toute première fois (enfin, dans mon cas. Elle m'avait avouée me connaître de visage depuis qu'elle n'était encore qu'une gamine, puis moi un adolescent) , elle faisait dans les 117 livres (53 kilos) pour une taille fine et grandiloquente d'un mètre soixante-quinze environ. Au cours des quatre dernières années précédant cette première rencontre, son poids avait tendence par fluctuer en mouvement de va-et-reviens dans le palier des 103 livres (46.7 kilos) à 138 livres (62.5 kilos) , avant de descendre à 21 livres en moins (9.5 kilos en moins) durant la période en confinement de l'an 2020.

Après seulement quatre semaines passées depuis que je lui avais adressé un mot une toute première fois, son poids monta précipitamment de 117 livres à 128 livres (53 à 58 kilos) . Cela suscitait déjà des questions tant bien de la part d'elle-même comme de ses quasi-beaux-frères (c'est-à-dire les frères de son petit ami en une relation sérieuse pré-nuptiale《 catholique 》) , de sa propre famille à elle sans doute et de ses collègues car tous avaient remarqué que son comportement, ses principes moraux, son éthique de travail comme sa personnalité publique avaient tous changés du tout au tout depuis que nous nous étions développé des liens de communication et de relation.
Elle se vêtait de manière plus coquine et aguichante que d'habitude et dans des thèmes de couleurs comme de style d'habit beaucoup trop éloquamemment suggestifs dans le milieu duquel nous étions (puis davantage l'objet de soupçons, étant donnée qu'elle se proclâmait être une catholique cherchant à vouloir plaire à ses parents et à leurs croyances communes, en dépit de la remise en question de certains aspects de sa propre foi et autres contradictions de nature personnelle et secrète en son éducation familiale comme mode de vie dont je ne souhaite pas en parler ici. Vous ne me croirez pas, de toute façon) . Elle se mettait par négliger un peu à poser des limites à son apport calorique quotidien après avoir passée, dit-on, près d'un an et demi à maintenir son tour de ligne. Elle se pomponnait désormais de façon régulière plutôt qu'occasionnelle– une chose duquelle même son patron plutôt louche n'eût jamais réussie à la presser de s'y conformer en quatre années de job– puis allait même jusqu'à troquer ses mocassins en cuir noir ou espadrilles pour des paires de talons aiguilles ou de chaussures à pompe, toutes censées faire travailler sa posture, corriger la posture de la courbe de son dos tout en mettant en valeur les sinuosités encore filiformes de sa petite croupière de femme blanche comme de ses hanches un peu étroites.

Un soir, cette femme–en vraie extralucide– eût vent de mes préférences éclectiques en matière de physique chez les femmes, de même que de mon tâlon d'Achille à l'enconte les femmes prenant du poids comme de femmes bien en cher voire dodues, replètes, de figure ample ou outrancièrement rondes : rien qu'en menant quelques déductions intrusives et ayant une forte intuition sur ma personne de même que sur quelques petites histoires dont j'échangeais auprès d'autres gars sans pour autant et sciemment fit en sorte de ne pas laisser évoquer le moindre soupçon, quant à mes préférences sexuelles et romantiques. Le fait que je sois un Noir puis que toutes les Blanches assument que nous ayons tous une lubie des rondes, ne m'eût pas aidé non plus. Aussitôt qu'elle obtint les informations qu'elle souhaitait dénicher de ma personne comme de mes propos, elle se mise immédiatement, puis je dis bien immédiatement par se commander un menu familial tout entier pour sa propre personne puis par se gaver avec une passion à demi-refrenée, un sourire mièvre se dessinant sur ses lèvres fines puis le regard enchanteur scintillant de plus en plus brillament d'une diablerie nouvelle– quasi-préternaturelle... c'était tout bonnement comme si elle me'envoyait des suggestions subliminales à l'esprit puis me glissait de ses lèvres tendues tendrement contre mon oreille intérieure avec son accent du terroir québécois à demi-embourgoisé :《 Ça y'est. Désormais je me retrouve enfin au seuil du portail menant tout droit vers ta tête. J'aurais bientôt accès à ton cœur, ton esprit, ton âme, tous tes petits secrets... pis ta qu*ue. Je vais te conquérir pis te croquer tout entier, mon p'tit père! 》.

Si vous, mes très chers lecteurs, aviez déjà visionné des films tels que "GET OUT" , "Midsommer", "Obsédées", "Liaison Fatale", "Basic Instinct", "Dragon Rouge", "Le Silence des Agneaux", "Gone Girl", "The Wicker Man/L'Homme d'Osier/L'Homme de Paille", les personnages de La Femme dans le film-culte "La Neuvième Porte" par l'infâme Roman Polanski ou encore de Alice Harford dans l'autre film-culte rival "Eyes Wide Shut/Les Yeux Grand Ouverts" par feu Stanley Kubrick, la Femme en Robe Rouge dans "Matrix/La Matrice" ou de Perséphone interprétée par l'énigmatique et sublime Monica Belluci dans sa suite en 2002 "Matrix Reloaded/La Matrice Rechargée", voire même encore le thriller policier d'horreur "Éternelle" mettant en vedette Caroline Néron, voire des séries telles que la première saison de "Dirty John", les personnages de Love Quinn-Goldberg dans "YOU/Parfaite" ou de Sheila Carter dans "Les Feux de l'Amour" et "Amour, Gloire & Beauté/Top Modèles", Johan Liebert et sa jumelle Anna dans le manga comme la série animée japonaise "Monster" ou même lu le roman du XVIIIe siècle《 Le Diable amoureux 》par Louis Cazotte, vous comprendrez bien quel effet étrange comme tout bonnement étrange cette toubabe était. Je ne la repoussais pas uniquement qu'en raison de son manque flagrant de respect envers mes limites, qu'elle m'entrevoyait de manière flagrante ey oublieusement colonialiste comme étant un homme-objet ambulant mi sous-humain mi-surhomme mi-magique garnie d'une troisième jambe et de nul sincère humanité à proprement dit (et je dis cela de façon littérale) , que ses avances me ficheraient dans le trouble car je suis l'homme doublé du Noir et elle est une femme, blanche qui plus est, puis qu'elle fit des tas de petites manipulations toutes plus insidieuses les unes après les autres contre ma personne et Dieu sais-je encore... mais aussi parce qu'il y avait un je-ne-sais-quoi d'inquiétant à son propos. Comme si elle n'était pas tout à fait humaine.

Mes très chers lecteurs, prenez conseil de moi : ne mettez jamais en doute votre instinct de même que la voix en votre cœur. Ils vous seront tous deux de bon conseil, tel Phobos et Deimos, du berçeau jusqu'au trépas. N'oubliez pas que qu'importe vos croyances, vous n'avez qu'une seule vie en cet instant présent sur cette terre. Chaque vie est précieuse.

De retour à nos moutons, voilà qu'après une semaine et demi de gavage, son poids monta à 137 livres (62 kilos) . Neuf livres (quatre kilos) en plus, en seulement près d'une dizaine de jours??? C'était ce que je j'appelais de la détermination pour une novice. Vouloir tenter de m'inciter à coucher avec elle tout en trompant émotionnellement et en une certain manière physiquement son quasi-fiancé, lui rendre cocu avant même qu'il ait déjà le temps de lui demander sa main en mariage et risquer de faire non seuleme t partir tout le milieu en vrille mais de se laisser succomber à une pente glissante menant tout doit vers une spirale de tentations charnelles et sensuelles dont elle ainsi que son tour de taille ne s'en relèveront jamais... en valais-je vraiment la peine???

J'entrevoyais déjà l'esprit de la démence vorace lui submerger, petit-à-petit. Elle menait grande peine à rester maître de ses pulsions et de son esprit. Puis cela, avec une volonté sans pareille : ce qui étayait déjà mes soupçons. Sur bien des points et des aspects, elle me rappelait déjà mon ex. Cette Haïtienne qui aurait tentée de faire du vaudou sur moi pendant des années... sauf que dans son cas à cette Caucasienne-ci, j'avais comme un étrange préssentiment qu'elle sera bien pire que cette dernière.

Mais comme les jours passèrent, elle perdit le fil de ses pensées.


[À suivre...]