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| Sujet: DelphieBBW [Chapitre 7] Sam 04 Sep 2010, 07:36 | |
| Avec quelques jours de retard : la suite de l'histoire. 7 Dans la chambre vaste et cossue, régnait une atmosphère de création du monde. Dieu venait de bâtir le jardin d’Éden, et Adam et Éve, nus comme des vers, s’apprêtaient à découvrir leurs corps mutuels. Ils s'étaient déshabillés pratiquement après être entrés. Comme une évidence que la nudité était la seule tenue possible pour eux dans la circonstance. La chambre était claire, avec des murs saumons et une moquette fine de couleur beige. Le mobilier, style second empire, offrait des tons roses et dorés. Le lit large et moelleux était recouvert d'un couvre-lit rose, à la texture agréable et douce. Ils étaient assis sur le bord du lit, justement, côte à côte. Delphine, massive et imposante et Hervé, fin comme une allumette. Vu de l'extérieur, la comparaison eût pu faire sourire. 100 kilos les séparaient. Il attrapa le sac en papier bordeaux qui reposait à ses pieds. Il avait pris ce truc dans sa voiture avant d'aller à l'hôtel et l'avait trimballé jusque là, refusant de dévoiler à Delphine de quoi il s'agissait – et ce petit suspens avait, en soi, constitué un début d'excitation. Il en tira une boîte de chocolats. Assortiment de chocolats fourrés, ganaches, pralinés et pâtes d'amande disait l'imprimé du couvercle. Réflexe pavlovien, à la vue des friandises, son estomac se mit à gargouiller. – Il te reste un peu de place après le restaurant ? – Il me reste toujours de la place. Mon appétit n'a pas de limite. Il extirpa un chocolat du coffret et le porta devant elle, au niveau de sa bouche. Mange, dit-il. Et elle engloutit la sucrerie dans sa bouche goulue. Puis il tira un autre bonbon, qu'elle avala de la même manière. Puis un autre, et un autre, etc.... En tout, il prit trois quarts d'heure pour lui faire savourer la totalité de la boîte. Il plaça sa main gauche dans le dos de Delphine, et la droite sur le renflement supérieur de son ventre. Il débuta par une caresse délicate vers le haut, passant entre ses seins qui reposaient paresseusement de chaque côté de son abdomen bombé, tels deux loirs endormis. Puis, il redescendit en décrivant un arc de cercle, qui amena ses doigts sur la mamelle droite, qu'il parcouru encore sur toute sa large surface culminante. Il aboutit enfin au mamelon, dressé et durci par le désir, îlot solitaire au milieu de l'auréole géante du téton dilaté. Après s'y être attardé le temps nécessaire, il reprit son chemin, suivant les rotondités de cette panse modelée par les kilos superflus, et arriva au bourrelet central. Il y enfonça sa main jusqu'au poignet, d'un coup et sans la moindre hésitation. À croire qu'il savait depuis toujours la profondeur qu'il pouvait attendre. Vu d'en haut, la brioche semblait lui avoir mangé la main. C'était assez comique et Delphine sourit. La main ressortit et poursuivit son chemin sur la bouée inférieur, plus grosse et plus molle, jusqu'à la base, là où le monceau de chair venait reposer sur les cuisses gigantesques. Dans cette position, inutile d’aller chercher son vagin, trop de graisse en cachait l'entrée. Il se leva et s'installa face à elle. (Alors qu'il se tournait, au moment où il était encore de profil, elle jeta un coup d’œil à son entre-jambe. Tiens, il est onze heure, pensa-t-elle, et cette remarque la fit rire intérieurement.) Il la bascula en arrière sur le lit, écarta ses jambes autant qu'il le put, tout en repoussant vers l'avant le ventre tombant. Ainsi, il dégagea assez d'espace pour voir apparaître son sexe. Il la pénétra, et ce fut le début d'une nuit d'extase.
Le lendemain, ils se quittèrent en sachant qu'ils se reverraient. Qu'ils se reverraient souvent. Très clairement, il ne pouvait lui offrir de situation différente de celle qu'elle avait avec les autres. Il avait sa fiancée, qu'il finirait par épouser et elle ne serait jamais rien d'autre que la maitresse obèse qu'on cache dans les tiroirs. Mais elle s'en fichait ! Elle était amoureuse d'Hervé et pour lui, elle pouvait supporter cette situation. (À suivre...) |
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