Pour ceux que cela pourrait choquer, ma relation à la cigarette était tout de même relativement saine. Je devais demander à Sylvie la permission de fumer, permission qui ne m’était pas toujours accordé. Et je n’avais pas un besoin irrépressible de fumer.
Au bout d’un mois de ce régime gastronomique assez intense, Sylvie me proposa que l’on passe la soirée chez elle, plutôt que d’aller dans un restaurant. J’acceptai avec plaisir, me doutant que c’était sans doute un moyen de faire évoluer notre relation, qui était tout de même très chaste.
Le soir venu, Sylvie m’a accueilli dans une magnifique tenue : un chemisier en satin bien décolleté, une jupe droite qui mettait en évidence les rondeurs de ses fesses et de magnifiques bottes en cuir, lacées sur le devant. Nous avons commencé par un petit apéritif : un litre de bière des chips. Ensuite, en guise d’entrée, nous avons dévoré un poulet dégoulinant de sauce et des légumes. Le plat de résistance était un bon petit gigot et ses pommes de terre. Après le fromage, nous avons dévoré un gâteau à la crème.
A la fin de cette orgie, je n’en pouvais plus et Sylvie non plus. Nous sommes donc allé digérer sur le canapé… Et là, j’ai perdu le contrôle de mes mains qui se sont mises à caresser la douce peau de Sylvie. J’ai glissé ma main sous sa jupe pour découvrir que ses jambes étaient gainées dans des bas et non pas des collants […].
Lorsque le soleil a décidé de se lever, je me trouvais allongé dans le lit de Sylvie, celle-ci étant allongée à côté de moi, ses bourrelets étant offerts à mon regard.
En repensant à la soirée, je n’avais que de très bons souvenirs. Même si la soirée n’avait pas été une complète réussite, Sylvie étant allergique au latex (ce qui nous avait poussé à faire preuve d’originalité).
Ce jour-là fut le début d’une nouvelle orientation dans notre relation. Je passai tous les week-ends chez Sylvie, ainsi qu’assez souvent les soirées en semaine.
Le week-end, souvent, nous nous réveillons doucement, puis j’allai chercher une dizaine de croissants. Ensuite si le temps le permettait, on allait se promener, sans oublier d’avoir toujours qq choses à grignoter. Le midi, on se faisait un ou deux restaurants selon notre appétit. Et le soir, c’était une orgie chez Sylvie.
Les mois passèrent, je continuai à grossir sur un rythme intéressant, trois ou quatre kilos par mois. Une fois que j’atteignis les 80 kilos, Sylvie considéra que c’était suffisant, et qu’il suffisait d’entretenir ce poids.
Et puis un jour, tout bascula [...]