3 kg plus tard, c'était un lundi matin. Carla était encore au lit, en plein dans ses songes. Couchée en chien de fusil, sa main droite reposait sur son ventre, pas loin du nombril. Elle se saisit du bourrelet qu'elle avait maintenant bien en main et ce dit: çà, c'est du bon, et le mec que j'aurai aura intérêt à aimer!
Elle se leva, et se dirigea vers la salle de bain. Carla était nue. Arrivée devant le miroir, elle eut le frisson de sa vie. Son corps tout entier était maintenant douceur, doux bourrelets; tout en maintenant des proportions: fines s'agissant des poignets et chevilles, mais... devenant plus charnu au fur et à mesure que l'on s'approchait du cercle magique autour du pubis. Son ventre commençait à former un bourrelet au dessus du pubis, surmonté par un nombril aussi large que profond. Toujours devant la glace, Carla se caressa le ventre, le nombril, s'approcha de son sexe, et y mit le doigt. Oh.... que c'est bon, fit-elle dans un souffle.
Qelques minutes plus tard, elle enfila un déhabillé pour prendre son petit déjeuner. Prévus étaient bols de café au lait à volonté + 6 croissants sortant directement du four, sur lesquels elle rajouterait une bonne couche de beurre. Ce beurre, elle le regardait avec amour: c'étaient ses cuisses, ses hanches et ses fesses réunies en une prise délicieusement grasses.
Bientôt, il fallut songer à aller au bureau. Zut se dit-elle, il faut que je marche! J'aurais mieux aimé que quelqu'un vienne me chercher en voiture!
***
Gustave, comme tous les jours, attendait son bus. Carla aussi. Gustave eut un choc:
- seigneur dieu se dit-il, c'est la nana que je mate depuis quelques mois! Qu'est ce qu'elle est devenue appétissante!
Leurs regards se croisèrent. De son côté, Carla se dit:
- c'est le mec que j'ai remarqué. Ouhhhh... J'aimerais vraiment qu'il me fasse des choses... J'en ai vraiment besoin.
En montant dans le bus, ses fesses et ses cuisses tremblaient sous son pantalon de tweed...