En tant que feeder, je dirais que les choses ont plutôt changé au fil de ces derniers mois, quoi que toutefois pas aussi dramatiquement que j'eûs escompté de la part de mon petit sous-réseau de ce que je pourrais qualifier de «
feedees de lien direct » en ligne.
Je n'ai jamais été un grand partisan du
cyber-feedérisme payable. Même une fois après m'être ouvert un compte sur OnlyFans il y a bientôt une quinzaine de mois de cela et me contentait de payer entre dix à quarante dollars par mois pour du contenu adulte exclusif (soit une maigre somme pour mon salaire minimal bi-hebdomadaire, quoiqu'il demeurait que je me sentais fier d'avoir réduit les dépenses à quatre fois moins que cela après une série de bonnes ententes et rabais de tous part par la majorité des créatrices de contenu adulte par lesquelles j'étais abonné) , puis même approché par messagerie chat deux modèles de premier rang - une Européenne dénommée Emira Kowalska,
ainsi qu'une Québécoise dont je ne nommerais pas ci-contre car elle risquerait de nous retomber dessus - dans l'intention de les convoquer et séduire aux tentations comme à cette félicité toutes libératrices que présentent les jouissances de la bonne chère et de devenir incessamment plus en chair en échange de l'admiration et de la révérence continue d'une foulée innombrable d'hommes prêts à payer cher en échange d'une chaîne continue de ces spectacles décadents et de ces formes de plus en plus encombrantes.
De même, avant puis un peu en premier temps au cours de cette présente pandémie mondiale, je n'éprouvais guère de difficulté à rouler ma bosse auprès de différentes femmes, dans le cadre de tout emploi qui nécessitait mes aptitudes au service à la clientèle comme en ventes. Depuis mes dix-sept ans, je m'étais transformé en cette espèce de véritable aimant à
feedees, en
aventureuses (ou «
experimentals ») allégrement prêtes à tester le moindre de mes caprices les plus secrètement enfouis, en
potentielles (NDRL : «
potentials » -- c'est-à-dire une catégorie de personnes - en cedit contexte, de femmes - n'ayant soit guère conscience qu'elles puissent posséder ou nient qu'elles possèdent des inclinaisons à la lipophilie, mais qui présentent toutefois des signes avant-coureurs de ces tendances pouvant entraîner leur phase d' « éveil » au moindre stimulus dé/favorable) , et même en esprits réceptifs qui me semblaient aisées de moudre selon ma volonté («
moulding minds/receptive ones ») . Ce qui, toutes conjuguées auprès de mes habiletés propres à pouvoir déceler ces trois catégories de femmes en usant de ma sagesse et de mon expérience pratiques sur pareilles situations, mes capacités de déduction peaufinées, de mon charisme, mon jeu de séduction ainsi que de mes
hypersensibilités intuitives qu'importe la situation ou l'environnement social auquel je me mêle, me permettait en somme toute de toujours me retrouver comme par convenance - et souvent inconsciemment - dans une situation propice par laque toutes ces ces femmes ressentaient toujours soit le besoin urgent de me confier leurs secrets les plus enfouis un peu comme dans l'espérance que j'exaucerais le souhait de leurs désirs, soit se retrouver sur une pente glissante d'habitudes de vie changeantes et d'hyperphagie rapidement manifeste ou spontanée aux ampleurs de moins en moins subtilement sitophiles, voire en de rares instances en prises de poids qui s'avèrent non seulement énormes mais anormalement ultrarapides…
parfois même encore pire que ce que l'esprit cartésien moderne ne pourrait jamais concevoir que cela puisse exister.Pour la faire court, je prenais mon pied à jouer aux Dieux ou au comte Dracula : à user de mes atouts virils, de ma compréhension pratique en psychologie comme des désirs et vanités de la gente féminine, mon
magnétisme animal ou mes
charmes comme certains pourraient le dénommer, ma force de persuasion, mon habileté inouï à pouvoir convier une sorte d'influence hypnotique sur les gens, ainsi que mes talents de vendeur afin de convaincre des clientes par douzaines, parfois mêmes des collègues me portant leurs avances (ou pis) , afin de les convaincre à se laisser aller-- les rendant au fil du temps - et assez souvent même longtemps après avoir quitté les lieux - presque toutes plus molles, pulpeuses, amplement galbées, rondouillettes, voire pleinement grosses sous le coup. Cela pourrait sembler un peu chelou et relou à lire, mais bon entre cela et les horreurs infectes que l'on puisse lire à gogo sur d'autres plateformes tels que FantasyFeeder ou Feabie... bref, je digresse.
Un instant mal convenu s'étant déroulé en ce début de printemps dernier m'empêcha de pouvoir pleinement faire étalage de mon petit jeu au moment où cela commençait à peine par évoluer vers une toute nouvelle étape encore jamais explorée, ce qui me laissa amplement sur ma faim.
En ces moments d'angoisse et de manque, je m'étais d'abord tourné vers deux modèles Taille Plus américaines ayant toutes deux récemment ouvertes des comptes sur OnlyFans, Alexus Danisha et Morgan Louise. Je leur ai révélé ce que moi-même ainsi qu'un assez grand nombre de membres de la portion anglophone de notre communauté fétichiste soupçonnaient et présumaient déjà avec fortes preuves à l'appui depuis quelques années : notamment sur le fait que les portfolios de leurs comptes Instagram respectifs comportent tous de fond en comble des insinuations cryptées aux connotations fétichistes (comme un assez grand lot de modèles et d'influenceuses anglophones et même françaises sur Instagram. Beaucoup plus que moult d'entre vous puissent même soupçonner) . Que nous avions tous dénoté la jouissance et volupté croissantes qu'elles affichaient à mesure qu'elles grossissent. Et que de plus, il s'agissait désormais rien de plus qu'un secret de polichinelle que depuis un certain nombre d'années, de toutes nouvelles pratiques lipophiles n'ayant rien à envier à celles pratiquées par les modèles de BigCuties fussent adoptées au sein de l'industrie du mannequinat professionnel et que des managers somment fortement leurs clientes - en particulier des modèles curvilignes, Taille Moyenne ou Taille Plus - à s'engraisser davantage en échange d'un nombre croissant de
bookings payants. Enfin, je leur ai proposé que plutôt de continuer sur la route des fétichistes dans le placard, le mieux serait de tout simplement produire du contenu feedériste sur leurs comptes OF.
Soit mon assurance ainsi que mon habileté à savoir dialoguer en ligne auprès des femmes un peu mieux que jadis fussent immédiatement récompensées ou soit je ne fus que la dernière de ces nombreuses voix ayant plaidé en faveur de pareille contenu: car Alexus et Morgan acceptèrent toutes deux mes propositions sans la moindre once d'hésitation. Si vous avez dénoté que ces mannequins ont toutes pas mal grossies plus vite que d'habitude depuis fin avril/mai… c'est en bonne partie dû à cet homme ci-présent qui serait en train de vous narrer ses déboires.
Cependant, cela ne me suffisait guère : les effets du manque devenaient de plus en plus incisif chaque jour. Puis pour être honnête avec vous, bien que je me sentais fier d'avoir séduit ces ravissantes demoiselles dans ce fétiche, je n'éprouvais pas de grande satisfaction à l'avoir faite : il s'agissait après tout de persuader deux femmes ayant toutes deux non pas uniquement engraissées d'une cinquantaine de kilos/centaine de livres en l'espace d'à peine deux ou trois années mais aussi firent à peine mine de dissimuler l'effet grisant comme la fierté que cela les procurent. Autant demander à RuPaul d'admettre qu'il préfère les hommes, ou Macron les vieilles bourges éphébophiles.
Et c'est alors que cela me cliqua : ce désir brûlant de répéter la même scène non pas uniquement auprès de modèles Taille Plus obèses, mais aussi auprès de modèles plus minces. De combiner ce que j'ai appris de cette expérience auprès de ce que je suis capable de faire faire à des femmes dans ma vie quotidienne en-dehors du cyberespace, jouer encore une fois à cette figure de la petite voix intérieure convoquant aux désirs les plus enfouis, du pseudo-tentateur faustien ou de celle du « serpent au jardin d'Eden » , les faire flipper vers le côté obscur de la Force et les faire succomber. Oui, je sais, je sais c'est encore mon complexe divin qui me reprend, vous me direz. Et bien que certains d'entre vous ne douteraient pas un seul instant de mon « sens d'araignée façon
feeder/
feeder-sens » ni de mes capacités à transformer ne serait-ce même qu'involontairement de parfaites inconnues en des obsédées de l'engraissement et du gavage en face à face... mais de là à pouvoir prodiguer les mêmes résultats de manière anonyme auprès de femmes ne m'ayant jamais rencontrés puis vivant à des bornes à la ronde voire même dans une autre contrée ou à l'autre bout du monde, et ce partir du cyberespace? Ce serait admettre l'une ou l'autre de ces options pus loufoques les unes après les autres : soit je serais si doué dans l'art du mentalisme et de la psychologie pratique que la moindre phrase que je formulerais pas écrit suffirait à rendre une personne saine d'esprit persuadée qu'elle serait une femme à chats célibataire et paralytique de plus de soixante-quinze ans, soit je serais en train d'insinuer que je serais peut-être capable d'influencer ces femmes avec ou sans l'apanage d'une exposition inter-personelle directe et donc que les moyens par lesquels je les influent toutes seraient véhiculés par l'entremise d'une action ou force en mouvement qui ne serait en un rien conventionnellement explicable d'après notre compréhension contemporaine du psyché humain et des sciences. La seule insinuation de cette chose a courroucé des Ricains sur différentes plateformes et enclenché des campagnes de lynchage et de cyber-intimidation gratuites : ces beaufs ont déjà horreur de la différence, de l'intellectuel et de l'inconnu-- tout ce qui serait par-dessus la moyenne ou qui requiert de cogiter par-delà leurs petites bulles de comfort, et de l'inconnu-- donc combien de fois de tout ce qui paraît semblamment « spécial » ?
Et pourtant… c'est ce qui arriva à partir du début du mois de juin. Je me suis vite retrouvé à me rendre compte que j'étais presqu'aussi doué dans l'habileté à présager, deviner et déduire lesquelles parmi ces modèles de faible corpulence à corpulence moyenne seraient en règle de soit même être des
feedees dans le placard, des aventureuses, des potentielles ou des réceptives avec un certain degré de succès. Après seulement trois semaines d'essais et d'effort, j'étais passé à un premier « oui » qui traînait beaucoup trop longtemps que nécessaire de la part d'une modèle OnlyFans française dont j'eûs vite fait d'oublier (vous vous souvenez de cette brunette qui fit la une des journaux sur Konbini, il y a de cela moins de cinq mois?) et un autre « oui » de la part d'une anglophone qui ne s'avéra au fond n'être qu'un cas de balle à blanc, suivie par deux messages ignorés et un « non » sur cinq... trois « oui » , quatre « peut-être » , le premier message ignoré désormais promptement répondu par une modèle de premier rang agressive et insultée qui s'avéra en fin de compte se traduire par un « peut-être/si tu aurais été riche, je serais devenue une vraie baleine pleine de lard pour toi/m*rde, c'est quoi l'effet que tu exerces sur moi, tout d'un coup? Ce truc est super dégueu, mais pourtant je ne peux m'empêcher d'être toute excitée/t'es un cas intéressant » ainsi que le second message ignoré ayant été cette fois-ci lue et snobée sans le moindre mot, sur onze cas… à désormais un « oui » officiel, les deux femmes m'ayant originellement ignorée ayant rapidement gagnée au moins 6 kilos/15 livres en l'espace d'à peine moins d'une semaine après avoir toutes mystérieusement et littéralement subites une crise subite de voracité morbide et de pulsions sitophiles incontrôlables (deux phénomènes qui arrivent que beaucoup trop souvent lorsque je suis dans les parages…) avant de m'approcher puis me cajoler les premières par chat de flatteries aguichantes concernant leur changements et manque d'explication rationnelle pour ce qui causa la manifestation de ces pulsions et actions hormis leur fausse présomption que cela arriva « par pur accident » , qu'elles adorent ça et qu'elles en redemandent mais ne peuvent comprendre non plus pourquoi elles ressentent l'impression que leurs déboires seraient connecté à moi ; et au moins une demi-douzaine de « peut-être » sur seize... à la toute première femme m'ayant dite non ayant engraissée d'au moins une bonne dizaine de livres/quatre kilos depuis qu'elle a découverte que sa soi-disante nouvelle copine/rivale serait la feedee qui m'a dite « oui » , une neuvaine de « peut-être » qui s'attardèrent mais qui eurent depuis lors presque toutes gagnées du poids après que ma nouvelle feedee ainsi que sa rivale - qui les connaissent toutes - commencèrent ce jeu plausiblement par esprit de compétition et d'envie ou « effet pom-pom girl » ainsi que six « non » rendu vers la mi-juillet… à désormais me retrouver rendu vers la mi-août à devenir le nœud rassembleur d'un réseau assez important et fort complexe de
feedees, d'orbiteuses et de courtisanes du sexe d'une complexité telle que même le jargon fétichiste n'avait encore à ce jour jamais défini de pareilles magnitudes. Néanmoins, pas avant que je me mette à les dénommer moi-même : une cyber-feedee de rang ou lien direct («
conventional/traditional/direct online feedees ») , trois cyber-feedees satellitaires («
satellitary online feedees ») un peu comme celles que j'entretenais/tiens déjà hors-ligne, une cyber-feedee par attribution («
proxy online feedees ») , une demi-douzaine de balles à blanc et de cas avortés, Alexus et Morgan, ainsi qu'au moins trois douzaines de cyber-feedees de rang/lien indirect toutes subdivisées en différentes sous-catégories : les
balles rétroactives (celles qui s'avéraient n'être que des balles à blanc tout le long de nos entretiens, mais devinrent plus tard ce qu'elles prétendaient s'adonner en train de faire-- le plus souvent par pure ironie du hasard, si vous croyez en cela…) , les
renouvelées (les cas avortées qui rallumèrent plus tard la flamme mais se tiennent toujours à l'écart) , les
semi-escrocs (des modèles ayant soit eu vent de mes penchants ou qui se seraient fait proposer auparavant et auraient décliner, mais se seraient volontairement enrobées afin de m'amadouer à claquer mes économies sur leurs fausses promesses, en partant à tort par préjudice de la notion que leur cible serait un
sycophant simplet ou «
simp » , mais dissimulent mal le fait que le processus les font griser davantage et continuent à s'y adonner longtemps après qu'elles aient échouées à piéger leur cible, et l'eurent bloqué de leurs comptes) , ainsi que les «
feedees-bombes » ou «
victimes de la lubie » (NDLR: «
feedee-bombs » ou «
feedee victims »des femmes ayant tout déclinées ma proposition, mais qui se retrouvèrent à soit se retrouver avec une accélération semblamment spontanée de leur prise de poids pendant une durée de temps indéterminée ou à adopter/se retrouver confrontée/frappée par une suite de déboires leur causant une inexplicable prise de poids, toujours pendant une dite période de temps indéterminée) .
Et depuis lors, ce réseau n'a de cesse d'évoluer-- avec désormais cinq cyber-feedees de rang direct sous mon aile, néanmoins officiellement.
Cette véritable « cabale » de débauche et de gloutonnerie, comme j'eûs préféré définir ce type de groupuscule, me valût les foudres des grands manitous responsables de cette plateforme de contenu adulte payant… suffisamment pour leur attirer des ennuis ainsi que le risque d'encourir des représailles judiciaires, mais ceci est une toute autre histoire.
Je vais publier bientôt un bref sommaire des changement physiques comme psychologiques que subirent les membres officielles comme officieuses de ce groupe. La longueur de cette publication commence à me taper sur le système.