N… restait chez moi pour le week-end. Cela faisait plus d’un moi que nous ne nous étions pas vus. Entre les études, les amis la famille sachant que personne dans nos entourages respectif ne connaissaient cette liaison, cela a vite fait de retarder notre rencontre.
N… restait chez moi pour le week-end et elle m’avait demandé par sms de prévoir vraiment beaucoup beaucoup beaucoup. Elle voulait qu’on dépasse tout ce qu’on avait pu faire. Je lui répondis toujours par sms de bien s’accrocher à ses bourrelet car ça allait décoiffer.
N… arriva le samedi soir vers 18h (vive les transports en commun). Elle portait un survêtement gris avec un pull à rayure horizontales rouges blanches et oranges qui moulait à la perfection son corps dodus. Nous nous embrassâmes longuement, puis nous discutâmes de tout et de rien. Aux alentours de 19h N… se pencha vers moi et me dit :
« J’ai un petit creux. On commence ?
-Si tu veux, ou si tu peux. Allé direction la cuisine. »
Quand elle rentra dans la pièce elle vit une pyramide de 5 doubles cheese devant sa chaise et un devant la mienne. Nous prîmes place puis nous commençâmes le repas. Je fini mon hamburger quand elle attaqua son deuxième. Je me suis levais et me suis mis derrière elle, posant ma tête à côté de la sienne, sur son épaule. Je l’ai ensuite enlacé par la taille et elle me donna une bouché de son repas. Je lui pris le hamburger des mains je l’engouffrais dans sa bouche. Et tout en mangeant dit :
« -On dirait kali, avec quelques kilo en plus.
-Tenez oh déesse des mac Donald.
-attention jeune arrogant, tu pourrais bien subir ma colère.
-Je voudrais bien voir ça.
-elle surgira au moment propice. »
Nous continuâmes ce manège, elle avait penché la tête en arrière et avalait de façon presque mécanique, jusqu’au dernier double cheese qu’elle attrapa et se retournant me le présenta, je fis 2 pas en arrière elle en fis 2 en avant, je sortis une pièce de ma poche :
« on le joue à pile ou face ?
-dac je prends pile »
Elle savait que la pièce était truqué et qu’elle donnerait face, avant que je tire elle croqua alors dans le sandwich et le fini tandis que moi je nettoyais la table. Elle alla ensuite s’assoir sur le canapé où je la rejoignis. Je lui ai enlevé son pull et son T-shirt et j’ai caressé son ventre, le malacsant, le soulevant un peu puis le laissant retomber. Nous nous embrassâmes puis elle me demanda avec son beau sourire s’il y avait un dessert. Je suis donc allé chercher une assiette de 10 muffins (fait maison s’il vous plait). Elle c’était allongée sur le canapé à la romaine et elle ouvrait grand la bouche afin que j’y mette le premier gâteau. Tandis qu’elle mâchait, je jouais avec son ventre, gros et flasque, faisant disparaitre mon index dans son nombril, lui faisant des papouilles, prenant un bourrelet à pleine main et le malacsant, lui massant le ventre de par des petits cercles fait avec les pousses. Au niveau du dernier muffin j’ai même fait voler un stylo en l’enfonçant dans sa graisse et en le lâchant nous faisant éclater de rire.
Le plat terminé, elle se redressa et je m’assis à côté d’elle. Elle me demanda combien elle paissait en s’asseyant sur mes genoux. Je lui répondis qu’elle devait faire à peu près 105 et elle m’embrassa en me disant que j’avais gagné au jeu du « juste poids ». Entre autre, je venais de gagner le droit, que dis-je, le devoir de dormir avec elle. Et c’est ce qui se passa, nous nous sommes couché et nous nous sommes assoupit l’un dans les bras de l’autre. D’habitude, je dors peu et je fais des cauchemars, sauf quand je dors avec elle. Alors, lorsque vers 8 h elle se mis sur mon ventre, nus m’enfourchant et m’écrasant un peu avec dans les mains, une bombe de chantillit , je dois admettre que je fus un tantiné désorienté. J’ouvris la bouche et elle la remplit de créme en disant :
« Voilà la vengeance de Kali. D’autant plus que c’est moi ou t’as décollé ? »
Entre deux fournées je lui répondis :
« oui un peu, mais attention car moi je suis bien plus fort qu’un schtroumpf croisé avec un poulpe. »
Je dû tout de même finir la bombe avant d’aller chercher les 10 croissants que j’avais prévus pour elle. « Petit déjeuner au lit » me dit-elle.
Cher amis lecteur, la scène ayant était jugé trop choquante par l’auteur et l’acteur de celle-ci (qui par le plus grand des hasards s’avère être moi-même) il a était décidé de ne pas la publier et de la résumer en une seul phrase que voici :
Pour tout raiponce elle dû avaler les dix croissants.
Nous passâmes la matinée chez moi où nous avons joué au feed dames, jeu en tout point identique à celui des dames si ce n’est que les pions sont remplacé par des cookies et des oréos et que lorsqu’on mange un pion, c’est pour de vrais. S’ensuivit plusieurs séances de grignotage puis, nous sommes allez manger dans un restaurant que je connaissais pour servir des repas copieux et peu chère.
Nous rentrâmes vers 14 heures. Une fois rentré, je la fis déshabiller et assoir sur un siège, lui mettant les menottes, attachant pieds et point à la chaise. Comme à son habitude elle blagua :
« suis-je condamné à la chaise électrique ?
-Non à la chaise Milk check. »
Je lui mis l’entonnoir dans la bouche et j’ai commencé à verser le liquide dedans, le remettant à niveau régulièrement. Une fois la bouteille fini je lui retirais l’entonnoir et soulevant son ventre la complimenta. Puis elle écarquilla les yeux quand je sortis une seconde bouteille et que je refis le même manège. Je regardais son ventre qu’elle relâchait de plus en plus. Elle n’en pouvait plus pourtant elle me défia de lui donner une 3eme bouteille. Je le fis sans hésiter et elle avala tout puis je l’ai caressais partout, commençant par ses cuisses rebondit, puis ces mollet charnus que je mordillais, ses poignées d’amour que je saisis à pleine main, son ventre énorme avec le bourrelet du dessous du nombril que je saisis et que je fis jouer entre mes doigts, son nombril que j’ai léché y introduisant ma langue, son bourrelet du dessus que j’ai couvert de bisous, et sur le quelle j’ai légèrement appuyé avec mon index, ses seins entre lesquelles j’ai enfoui ma tête, son coup d’où échappé cette douce odeur fraiche et sucré, son visage aux joues rondes et au double menton couleur café que j’embrassé en partant du dit menton, remontant jusqu’à ses lèvres fines, son nez retroussé, son front puis faisant le tour ses cheveux, et je fini par ses doigt de fée que je détachais.
Elle se mit debout et là, son corps chaud et dous m’enlaça, nous nous embrassâmes, puis, chose des plus inattendu, elle se mit à pleurer
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Ce fut une très belle aventure qui engendra de très beau souvenir.
FIN