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 une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue

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MessageSujet: une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue    une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue  Icon_minitimeSam 11 Fév 2017, 17:55

Chapitre 5

Valentine rouvrit les yeux sur un plafond voilé de rouge. L’esprit dans le brouillard. Elle se tourna sur le côté. Ferma les yeux. C’est alors que tout lui revint en mémoire. La soirée chez Valérie, la mort d’Emma, Jo, la pomme… LA MORT D’EMMA.

Elle se recroquevilla sur elle-même. Elle voulait effacer ses souvenirs. Elle ne voulait plus penser. C’est alors qu’une odeur vint à lui chatouiller les narines. Elle ouvrit donc à nouveau les yeux et regarda autour d’elle.

Elle était dans un grand lit à baldaquin. Les rideaux rouges était tiré et laissaient filtré une douce lumière. Elle constata par ailleurs sans grand étonnement qu’elle était nue. Elle s’approcha du rebord u lit et tira le rideau.
Elle était dans une grande pièce spacieuse, éclairé par une grande baie vitré qui donné sur un grand balcon. En face du lit se trouvait un salon avec une gigantesque télévision entouré d’une grande bibliothèque chargée de livres, et un tout aussi grand canapé.
Sur le mur en face de la baie vitré, une porte donnait su une grande salle de bain avec jacousie et bien d’autre accessoire. Elle y trouva aussi un placard contenant plusieurs vêtements. Elle put ainsi s’habiller avec un T-shirt trop petit pour lui cacher son ventre, et un short.
Et enfin, juste à côté de la baie vitré se trouvait une longue table garnie de nourriture pour un petit déjeuner tout sauf équilibré. Au centre de la table se trouvé un morceau de papier avec écrit en lettre d’ors « Bienvenue chez nous tout ceci est à toi, bon appétit ». Pas besoins de signature.

Elle sortit ensuite sur la terrasse, elle avait l’impression d’être au-dessus des nuages. En effet, ces derniers c’étendait à perte de vue jusqu’à la ligne d’horizon cachant la Terre. Elle douta cependant si c’était bien des nuages, on aurait plutôt dit une sorte de feuille blanche posé sur l’univers.

Son ventre grogna, elle n’avait jamais eu aussi faim de tout son existence.

Elle se dirigea de nouveau vers la table et s’assit dans un fauteuil très confortable situé devant le mot de Jo. Par où commencer ? elle attrapa un beignet au chocolat et y mordit dedans. Et à partir de cet instant tout s’enchaîna, du beignet aux gaufres, puis les crêpes, le fondant au chocolat, la tarte, la crème anglaise, la brioche…
Elle mangea sans se priver et ne s’arrêta qu’après avoir largement comblé sa faim. Elle se leva donc et se dirigea vers le canapé où elle s’y affala. Elle découvrit alors une télécommande et des manettes de jeu vidéo. Cependant elle préféra se saisir d’un des livres qui était posé en évidence sur la table basse. Il s’appelait « à la croisée des monde », c’était un gros pavé mais dont l’histoire était tellement entrainante qu’on se laissait facilement plonger corps et âme dans l’univers.
Cependant, elle ne dépassa pas la moitié et s’assoupit.
Elle se réveilla avec une main chaude qui lui caressait la joue. C’était Jo qui était là, accroupie à côté d’elle. Il avait un air bienveillant et chaleureux. Valentine se redressa lentement, Jo lui souris :
« salut mon amour, il est midi, le ciel est bleu et les oiseaux chantent.
-je crois que je me suis un peu endormit. La pomme était droguée ?
-oui et j’en suis navré, mais voie tu c’étais nécessaire pour t’amener ici.
-et c’est où ici ? »
Il l’embrassa et lui dit :
« non loin du paradis, mais ne pose pas trop de question veux-tu ? bon tu veux passer à table ?
-oui, c’est dingue j’ai encore faim.
-à la bonne heure !!! »
La grande table avait disparue pour laisser place à une table ronde tout simple avec deux plats sous cloches.
Ils prirent place l’un en face de l’autre. Sous la cloche de Jo se trouvait sans grande surprise une pomme. Sous celle de Valentine par contre se trouvait la plus grand pizza 4 fromages (sa pizza préféré par ailleurs) qu’elle n’est jamais vu. Elle en prit une part et commença à manger. Jo la questionna alors :
« c’est bon ?
-c’est délicieux.
-et tu te plais ici ?
-pour le moment oui. »
La conscience est un être vicieux et imprévisible c’est pourquoi elle décida à cette cette instant précis de faire remonter l’image d’Ema, la tête fracassé sur le sol. Valentine ne bougea plus les yeux dans le vague, les larmes commencèrent à lui monter aux yeux.
Jo se leva fit le tour de la table et passa derrière elle. Il posa sa tête sur son épaule, prit une part de pizza et chuchota :
« chuuut, ça va aller, c’est passé et ça n’a aucune importance, tu es ici pour oublier, tu es ici avec moi pour te laisser aller à tous les plaisirs, pour que je m’occupe de toi et seulement et uniquement de toi. Allé ouvre la bouche et fait aaaah. »
Elle s’exécuta et ouvrit la bouche pour la refermer sur la pizza. Elle laissa tomber ses bras, relâcha tout son corps et se contenta d’ouvrir et de fermer la bouche, ne pensant plus à rien.
A la moitié du plat son ventre commençait à la tirer. Mais elle en voulait encore, plus elle grossirait plus Jo l’aimerais et s’occuperais d’elle. Seulement Jo s’arrêta, il fit faire un demi-tour à la chaise de Valentine, et l’embrassa. Il attrapa son ventre avec ses mains chaudes et recula, la tirant légèrement pour qu’elle se lève. Tenant toujours ses bourrelets il la mena jusqu’au canapé où il la fit s’assoir avant de lui expliquer :
« dans un premier temps je serais là tout les après-midi, le matin et la nuit je dois travailler, mais en attendant nous allons jouer à un petit jeu si tu le veux bien, chaque fois que tu perdras tu devras manger une pars de pizza, quand tu l’auras tu devras manger un choux à la crème par défaite.
-et si tu perds ?
-le jeu continue jusqu’à ce que tu gagnes » fini-t-il avec un sourire.
C’était un jeu vidéo de plateforme tout ce qu’il y a de plus basique. Mais Valentine enchaina les défaites finissant très vite la pizza. Son ventre la faisait souffrir, elle n’arrivait plus à se concentrer. Elle se sentait gonflait comme un ballon mais loin d’elle l’idée de se plaindre, au contraire, c’est exactement ce qu’elle voulait.
Elle était complétement avachit sur le canapé la console sur son gros ventre rond, les yeux à demie fermé, les bras ballants quand elle s’avoua vaincu.
Jo posa alors la manette et attrapa le reste du plat de chou à la crème, il en prit un et l’approcha de la bouche entre ouverte de Valentine, elle y croqua sans grand entrain, n’ayant même plus la force de mâcher. Elle grommela sans entrain qu’elle n’avait plus faim. Jo lui sourit et lui dit que ce n’était pas à elle de décider. Il sortit alors un grand biberon d’un litre et demie remplit d’un drôle de liquide rouge et épais.
Valentine crut d’abord que c’était du sang mais lorsqu’il l’introduisit dans sa bouche il s’avéra que c’était la fiesta dans ses papilles, c’était divin !!!! mais c’était vraiment trop, le short de valentine émis un craquement sinistre, son T-shirt faisait plus soutient gorge qu’autre chose. Elle était complétement amorphe.
Jo la souleva dans ses bras comme si elle ne pesait rien, alors que c’était loin d’être le cas. Il la posa sur le lit et lui dit de se reposer un peu. Elle s’endormit aussitôt.


Quand Valentine rouvrit les yeux elle sentait qu’il y avait quelque chose de changé mais elle ne savait pas quoi.
Elle essaya de s’assoir faisant jouer ses abdos, mais elle n’y arriva pas, elle roula sur le côté afin de s’assoir au bord du li et là elle comprit. Elle avait grossis durant sommeille, son ventre rond et flasque s’avançait jusqu’à ses mis cuisses, elle remarqua qu’il formait toujours deux bouées bien distincte et elle chercha à voir et à toucher son nombril en fouillant sa graisse, sans résultat. Elle toucha alors son visage rond, avec un double menton, ses bras qui avaient pris en volume. Elle tenta de se levé mes retomba d’abord lourdement sur son lit. La seconde tentative fut la bonne, elle se dirigea vers la salle de bain, elle sentait ses cuisses frotter.
Elle se regarda alors dans le grand miroir. Son postérieur était rebondit, rallongeant son corps par derrière, ses cuisses se touchaient, son ventre rond retombait mollement sur son entre jambe, ses sains reposaient dessus, comme si ils ne suivaient plus la progression. C’est alors que Jo apparu derrière elle en lui demandant :
« alors, heureuse ? »
Pour tout réponse Valentine sautilla de joie avec un sourire au lèvres faisant trembler tout son corps et sauta au coups de Jo
« oui et c’est pas fini, comment tu as fait ? c’est la mixture rouge de hier ?
-oui en effet, elle a deux trois vertus inattendues. Vien, c’est l’heure du soupé. »
Le repas était très copieux mais pas extraordinaire, mais Valentine se sentait fatigué et ne tarda pas à aller se coucher, non sans avoir fait avant l’amour avec Jo.
Les jours passèrent puis les semaines, Jo s’appliquait à nourrir Valentine, l’attachant à une chaise, la gavant parfois, au plus grand bonheur de celle-ci qui se voyait grossir encore encore et encore ayant de plus en plus de mal à faire des efforts physique. Cependant, Jo ne ressortit pas le liquide rouge.

Puis un matin assez tôt Valentine se réveilla. Elle avait beaucoup changée, son ventre n’était plus vraiment rond, il s’étalait comme une énorme pâte, elle était obligé d’avoir les jambes écarté car ses cuisse étaient trop grosse, de la graisse pendait de ses bras… Valentine était devenue énorme.
Ne trouvant plus le sommeille elle jouait de la console tout un grignotant des chips. Jo entra alors par le balcon qui inondait l’appartement de la lumière enflammé du matin. Il s’écria :
« Vien te coucher vite !
-Chérie tu es déjà là ?
-viens te coucher je t’ai dis !!!
-ok j’arrive ne t’énerve pas, je ne t’ai jamais vu dans cette état »
La mobilité et l’autonomie de Valentine avait beaucoup diminué, au point qu’elle ne s’habillait plus et que c’était Jo qui la lavait. Elle posa sa console, prit une dernière chips, et se pencha en avant, faisant ainsi avancer son ventre jusqu’à ses genoux. Elle prit appuie de ses mains sur le canapé et compta jusqu’à trois : un, deux…
Elle s’envola avant de dire trois, soulevé par une force inconnue qui la déposa sur son lit et lui lia ses mains et ses poignets à des cordages aux quatre coins du lit. Elle sourit quand même à Jo :
« Le magicien veut me montrer ses nouveaux tour ? »
Il passa sa main dans ses cheveux décoiffée et ne dit aucuns mots, se contentant de regarder Valentine sans aucun sourire, le visage rongé par ce qui semblait être une forme de peur.
Un tuyau descendit du plafond et Valentine le mit dans sa bouche, l’attrapant comme un poisson mort à l’hameçon. Jo le scotcha alors sur la bouche de Valentine de manière à ce qu’elle ne puisse le recracher. Puis il se tourna vers la bée vitré et fit apparaitre une rapière argenté dans sa main gauche passant frénétiquement sa main droite dans ses cheveux.
C’est alors que le liquide rouge commença à descendre du tuyau du plafond. Valentine ne put s’empêcher de sourire intérieurement à l’idée de regouter le délicieux breuvage. Après tout, Jo devait jouer la comédie.
C’est alors qu’une autre personne rentra par la baie vitré, c’était une sublime femme sans âge avec une armure dorée, de longs cheveux blonds, une lourde épée et un lourd bouclier tout aussi dorée que l’armure. Elle s’avança avec un regard sévère posait sur Jo, elle devait avoir l’habitude de se faire respecter. Jo quant à lui roula des épaules, fit craquer son coup, et afficha de nouveau un sourire en disant :
« tu deviens de plus en plus long, tu vieillis mal. »
Elle regarda Valentine, qui se sentit juger sur toutes les coutures, elle avait envie de crier à l’individu de s’en aller qu’elle n’avait rien à faire ici. Mais elle ne pouvait qu’avaler le liquide.
L’intrus ne dit que trois mot « je suis lasse » auquel Jo répondit « ça ne va pas durer » avant de sauter l’un sur l’autre dans un grand fracas de métal. Le bouclier vola en morceau, et son propriétaire vola lui aussi pour s’écraser contre un mur. Mais elle se releva, et le combat repris, violent, les deux adversaires jouant de taille et d’estoc, essayant mille et une ruse que chacun des deux connaissaient déjà. Dansant un ballet répété depuis des temps immémoriaux.
Pendant ce temps-là, Valentine mangeait, elle se sentit bientôt gavé et se demanda ce qu’il allait se passer. La réponse lui vint vite, tout à coup elle ne senti plus son estomac s’étirer, non, mais elle sentait son corps entier changer, les calories allaient directement dans sa graisse la faisant grossir extrêmement vite. Son ventre gonfla et s’étala de part et d’autre, ses fesses se rembourraient, ses jambes était complétement bouffit, molle, la graisse de ses bras pendait, son visage était entièrement rond, délimité par un double menton. C’est alors qu’elles apparurent, de longues mains noires d’encre, aux doigts pointus. Elles glissèrent sur son ventre appuyant dessus, attrapant ses bourrelets. D’autres apparurent sur ses jambes, et d’autre de derrière ses épaules qui faisaient trembler la graisse pendante de ses bras. Une autre lui caressa le visage, et enfin une derniére apparut entre ses jambes, souleva son ventre et écarta la graisse pour faire apparaitre son sexe.
Les mains venaient de dessous elle, elles étaient froide et râpeuse, désagréable, et Valentine se sentait s’enfoncer de plus en plus, allant là d’où venait les mains.
Elle avait peur, peur de ce qui l’attendait, et elle se mit à pleurer tout en continuant de manger par obligation. Tout plaisir sans était allé. Elle poussait de petits gémissements, mais elle ne pouvait faire que ça.
Puis le liquide cessa de couler, les mains disparurent, mais les larmes continuaient.
L’intrus avait coupé le tuyau, ce qui le fit disparaitre. Ce n’était plus une femme mais cela aurait pu être son frère tellement la ressemblance est frappante.

Jo quant à lui avait disparu, l’étranger l’avait désarmé et poussait à terre. Les ongles de Jo c’étaient alors changés en griffes noires, sa bouche s’était ouverte montrant ses longues dents pointues et poussant un rugissement digne du pire des prédateurs il s’était jeté non sur son adversaire mais droit vers le balcon puis dans le vide.

L’homme qui se tenait à côté de Valentine passa un coup de téléphone :
« Oui chronos ? J’aurais besoin d’un come-back… c’est Pierre et Valentine qui me le demande… perso je l’aurais directement mis au purgatoire mais bon… dac tu me le fax… »
Il raccrocha et il la regarda avec ses yeux bleu et dur comme de l’acier. C’est alors que Valentine remarqua une chose. Si cet homme avait un air de famille avec la femme de tout à l’heure il ressemblait aussi étrangement à Jo d’une certaine manière.

Il tapa sur son grand ventre mou, attrapa un de ses bourrelets et l’agita un peu faisant trembler son ventre, Valentine ne ressentait plus du plaisir mais seulement de la honte puis il leva son épée en disant : « tu vas perdre un peu de poids ». Valentine ferma les yeux, et son réveil sonna.



Ce n’était qu’un rêve !!! le café des délices, Jo, la mort d’Ema, elle se jeta sur son téléphone et appela son amie qui lui répondit avec une voie fatigué.
Valentine remarqua alors qu’elle avait retrouvé le corps qu’elle avait avant de connaître Jo, corpulent certes mais pas obèse, elle inspira un grand coup et éclata d’un grand rire nerveux.
Avant de partir en cours elle regarda ses mails et découvrit une invitation à l’anniversaire de Joachim, un ami d’enfance qu’elle n’avait plus revu depuis plusieurs années.


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MessageSujet: Re: une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue    une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue  Icon_minitimeSam 11 Fév 2017, 17:56

Epilogue :
Je ne vous cacherais rien en vous disant que Valentine dansa tout la soirée avec Joachim, mais je dois malheureusement porter votre attention sur deux personnages assis dans l’ombre à côté du bar, l’un avait les cheveux noire une cicatrice sur le front et un verre dans la main, l’autre était blond avec un regard sévère sur un visage d’ange, les deux se ressemblaient cependant beaucoup. Ce dernier parla le premier :
« pourquoi ?
-pourquoi quoi ?
-pourquoi t’es tu intéressé à elle ? pourquoi tu t’es si facilement laissé battre ? pourquoi tu ne fuit pas alors que tu sais très bien que je dois t’éradiquer de cette planète.
-Je les choisi elle parce que sinon il n’y aurait pas eu d’histoire et qu’elle correspondait parfaitement au publique visé, je ne me suis pas battu car cette histoire se devait d’avoir un semblent de morale à la fin « aime moi pour ce que je suis et par pour ce que je pourrais être » « l’extrémisme c’est mal » enfin les classiques quoi et tu ne vas rien me faire car tu m’aimes encore mais que tu ne veux pas le croire toi-même, alors que je suis sûr que tout le ciel est au courant.
-tu divagues encore !!! Arrête avec tes histoires c’est pas drôle on n’est pas dans un livre !!! Ta folie t’as déjà bannie te condamnant à cette tâche ingrate !!! tu as tout perdu, le paradis, ton émeraude, et moi… »
Pour tout raiponce il porta sa main à la cicatrice qui ornait son front, fini son verre, se leva et adressant un sourire et une caresse sur le visage de son interlocuteur dit :
« Oui mais ici je suis roi »
Il sortit alors, alluma une cigarette et perdit son sourire, dans la fumée il voyait se dessinait bien des batailles bien des conflit, l’être et le néant, le bien et le mal... oui il était roi, mais pour combien de temps encore ?

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MessageSujet: Re: une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue    une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue  Icon_minitimeJeu 16 Fév 2017, 22:35

J ai pas compris l'épilogue mais j'ai aimé non , adoré l' histoire !!!
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MessageSujet: Re: une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue    une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue  Icon_minitimeJeu 16 Fév 2017, 23:13

Je suis content que mes histoires te plaises autant.

L'épilogue, c'est parce que je réutilise les personnage dans d'autres histoires, une sorte d'auto clin d’œil Wink
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MessageSujet: Re: une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue    une drôle d'histoire: chapitre 5 et épilogue  Icon_minitime

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