Chapitre 2
Valentine suivit Jo dans un interminable couloir rouge, mal éclairé, dans lequel il y régnait une chaleur étouffante malgré le fait qu’elle soit nue.
Ils arrivèrent enfin devant une porte, une simple porte en bois que Jo ouvrit afin de la laisser entrer dans une pièce rafraichissante par rapport au couloir, composé d’un lit deux place au fond, d’une large armoire collé au mur de droite et un canapé collé aux murs de gauche.
Au centre, une table ronde avec deux chaises, devant la première chaise, une assiette contenant une pomme d’un rouge vif, devant la seconde, un large plat de lasagne pour 4 personnes, qui dégageait un succulent parfum qui embaumait tout la pièce.
Jo tira une chaise et fit assoir Valentine devant le plat de lasagne, puis il prit place devant sa pomme, l’attrapa et y croqua dedans en regardant fixement notre héroïne.
Celle-ci regarda les couverts en argents, elle regarda le plat de lasagne, elle regarda son ventre gras qui cachait son entre jambe, puis, se disant qu’elle n’allait pas se dégonfler maintenant, elle se saisit du couteau et de la fourchette et attaqua de manger les meilleures lasagnes qu’elle n’eut jamais gouté.
Elle mangea avec appétit, jusqu’à ce qu’elle arrive au quart du plat où elle fit tomber un peu de sauce tomate sur son ventre rebondit. Jo, ayant fini sa pomme se leva, fit le tour de la table, et tira la chaise de Valentine, avec elle dessus, sans effort, l’éloignant de la table et montrant son ventre blanc, souillé par de la sauce.
Il se mit à genou et il lécha la sauce, faisant trembler Valentine d’un plaisir qu’elle n’aurait su expliquer.
Il se leva et prit les couvert, coupa une part, et commença à la nourrir, morceau après morceau, enfournant dans la bouche grande ouvert de Valentine.
Celle-ci avait fermé les yeux afin de mieux profiter du gout, ouvrant la bouche, la refermant sur la fourchette pleine, mâchant et laissant grésiller ses papilles avant d’avaler, laissant glisser la nourriture le long de son œsophage et remplir son ventre qu’elle sentait gonfler. Mais lorsqu’elle rouvrit la bouche ce ne fut pas des lasagne mais la lange de Jo qui lui fit ouvrir les yeux de plaisir et de surprise procurant toujours le même effet grisant durant ses embrassades.
Le baisé dura un moment avant qu’il ne s’écarte, qu’il prenne le visage tout rond de Valentine entre ses mains, qu’il fasse glisser ses doigts le long de ses joues de son coup de ses épaules, de son ventre pour s’arrêter au bas de ce dernier, se saisissant de ses poignet d’amour, enfonçant délicatement ses doigts chaud dans la graisse.
Il tira légèrement vers lui et Valentine se leva, ses yeux noyés dans les deux trous noirs de Jo.
Il la dirigea ainsi jusqu’au lit ou il la fit s’assoir, puis coucher. Il se mit en califourchon sur elle (il ne pesait rien) et sortit de nul par une longue et fine tresse au chocolat, il mit une extrémité dans sa bouche et se pencha sur Valentine qui ouvrit la bouche pour accueillir l’autre boue avec un soupçon d’amusement pour cette position, puis un grand plaisir en mangeant la tresse et voire le visage presque angélique de son partenaire descendre, petit à petit en fonction de ce qu’elle avalait malgré son ventre qui la tirait, mais, comme elle aimait cette sensation !
Arrivé à la moitié elle fut envahie par une envie qui la consuma comme le feu consume du petit bois.
Sans réfléchir, elle attrapa la tête de Jo et l’attira vers elle afin qu’il descende plus vite.
Elle ne mangeait plus elle dévorait !
Lui avait l’ère amusé et un étrange sourire se dessina sur ses lèvres qui tenait la tresse, et il rit lorsque Valentine l’embrassa d’un rire étrange, sans réelle joie, comme lorsqu’on rigole à une mauvaise blague.
Se rire resta, même lorsqu’ils firent l’amour même si Valentine n’avez pas vus Jo se déshabiller.
Cependant, elle ne remarquait plus grand-chose à ce moment-là, envahie par la douce chaleur que produisait le corps effilé de Jo. Le plafond se mit à tourner, tout n’était que sensation de plaisir et extase, la pièce n’existait plus et Valentine se sentait flotter dans un étrange éther aux couleurs tourbillonnantes dans lequel elle aurait paniqué si elle n’était dans les bras de Jo.
Alors que le plaisir indescriptible atteignait son zénith, Jo la lâcha, et elle se sentit tomber tomber tomber, dans les fin fond du néant et elle perdit connaissance avec pour image Jo qui planait en la regardant de haut, son drôle de sourire sur les lèvres et son rire emplissant le vide qui c’était fait dans la tête de Valentine.
Quand Valentine se réveilla dans la chambre de son appartement, à 3 heure, tout habillé avec ses vêtements que Jo lui avait fait enlever, elle crut d’abord qu’elle avait rêvé, d’autant plus qu’elle avait une petite faim. Elle se rendit compte alors que ses vêtements la serrait que ce soit son haut au niveau du ventre ou son bas au niveau des fesses et des cuisses. Elle s’assit donc au bord de son lit et fit un test qu’elle faisait pour voir si elle arrivait à maigri. Elle glissa sa main sous son ventre mou et, alors qu’à l’accoutumé seul les 4 doigts disparaissez, sa graisse allé jusqu’au milieu de sa pomme de main, touchant presque la base de son pousse.
Elle se leva précipitamment, et alla dans sa salle de bain pour se peser. Elle qui faisait 1m65 pour 82 kilo, elle faisait dorénavant la même taille, mais pour 86 kilos !
Elle se regarda dans la glace longuement, tripotent la graisse de son ventre sans s’en rendre compte. Elle se trouvait grosse, énorme presque, mais attirante et belle. Elle n’avait plus qu’une envie, être encore plus grosse, manger ce qu’elle voulait quand elle voulait et surtout que ce soit Jo qui la nourrisse, qu’il s’occupe d’elle et qu’il la trouve de plus en plus attirante, de plus en plus grosse.
Ainsi, pour fêter ces nouvelles résolutions et parce qu’elle avait vraiment faim, elle se fit un petit encas puis elle alla se coucher tout habillé en pensant à ce mystérieux personnage qui allait la nourrir, la protéger de ce monde cruel derrière des couches de graisse, et elle espérait même qu’ils pourraient vivre tout les deux, ensemble, pour l'éternité.