J'ai reçu ce message depuis une adresse Mail que je ne connais pas, et vous allez voir cette admiratrice secrète c'est exactement ce qu'elle veut : Tu es là assis contre la tête de lit, bien installé sur de moelleux oreillers... Les jambes écartées de part et d'autre de ma personne. Je suis là en face de toi... Les cheveux relevés en chignon sophistiquement défaits, en peignoir de satin rouge et les lèvres rouges carmin...
Je suis là à genoux, je prends délicatement une fraise la trempe dans du chocolat et vient la croquer langoureusement ... J'attrape ensuite une coupe de champagne que je bois très lentement, mais que je bois jusqu'au bout. Je relève la tête pour terminer ma coupe et je t'observe entre mes cils... Tu admires ma gorge ou plutôt son mouvement d'ingurgitation ... Je recommence avec une autre fraise, puis une autre, et encore une autre... Tu ne bouges pas d'un cil, tu m'observes très calmement...
Je m'approche de toi très lentement et je te vois plonger ton regard dans mon décolleté ... Je m'en délecte. Je continue mon avancée à quatre pattes et viens m’asseoir à califourchon sur toi.
Je sens tes mains glisser sous mon peignoir, tes doigts pianoter sur mes cuisses jusqu'à mes hanches et les poser là. Comme si c'était leurs places naturelles, comme si tes mains avaient été faites pour mes hanches ou bien mes hanches faites pour tes mains. Tes pouces délicatement dessinent des arabesques sur mon ventre, délicatement, amoureusement, comme si ils avaient dansé ce ballet toute leur vie, que mon corps était leur piste de danse préféré.
J'approche mes lèvres des tiennes, pose mes mains délicatement sur ton cou ... Mais mince ! Elles sont toutes tachées de chocolat ! Je viens donc délicatement porter mon doigt à la bouche et le suçote pour y lécher le chocolat, l'index, le majeur puis le pouce et je recommence de même sur l'autre main.
Je te sens fébriles, tes pouces ont cessé leur ballet et tes doigts se sont crispés sur mes hanches. Je sens ton souffle déraper, Tu essaies de te contrôler, tu inspires donc plus profondément pour ralentir ta respiration.
J'e sens ton sexe durcir sous moi et joueuse comme je suis je ne peux m'empêcher de rouler une fois des hanches dessus en me relevant un peu sur mes genoux pour approcher mes lèvres de ton cou…Car oui, là aussi j'en ai laissé. Je viens donc suçoter ta peau, si fine, si délicate avec un léger goût de chocolat et ton odeur... Hummm mon parfum préféré... J’ai léché tout le chocolat mais je laisse tout de même ma langue continuer son petit jeu de séduction, sa parade langoureuse sur ton cou, je me délecte intensément de ton goût...
Je te regarde à présent dans les yeux et je te susurre "j'en veux encore". Toi, tu me connais, tu le sais, tu sais ce que je veux... Tu lâches mes hanches à contre cœur, prends une fraise, l'équeutes et me la présentes. Je la croque et la mâche délicatement contre tes lèvres puis je l'avale toujours mes lèvres contre les tiennes. J'approche à nouveau mes lèvres de tes doigts et prends tout le reste de la fraise, j'en profite pour suçoter tes doigts délicatement, comme un effleurement, tu ne sais pas ainsi si c'est fait exprès ou non... moi je le sais. Je relève le cou pour faire glisser délicatement la fraise dans ma gorge, tu en profites pour l'embrasser, une fois, deux fois, trois fois… Et tes lèvres continuent leur chemin jusqu'à la naissance de ma poitrine, tu décales mon peignoir, et reprends ton action... Mes mains glissent dans tes cheveux. Tes lèvres sont si douces, elles viennent embrasser mon téton, le suçotent, le mordillent, ... Ça m'enflamme ! Je me rapproche de toi, tes mains glissent rapidement sous mon peignoir et rattrapent mes hanches. Dans cet élan plein de ferveur, mon peignoir s'est ouvert... Tu ne t'en rends pas compte... Tu attrapes mes fesses, glissent tes mains en dessous et me colle encore plus à toi, mes hanches venant rouler sur les tiennes... Je sens ton excitation, te sens à l'étroit dans ton jean... C’est à ce moment-là que tu sens mon ventre contre ton torse nu. Tu te figes un instant, presque imperceptible dans le temps mais ton regard en dis long, tu l'as vu. Mon ventre, mes seins, là, dénudés, et entièrement à ta portée, qui te sont entièrement réservés et qui n'attendent que toi.
Tu me bascules en arrière et là c'est toi qui te retrouve à genoux au-dessus de moi, et tu m'admires, là, allongée… Ma peau blanche contrastant avec le rouge vif du satin. Tes mains viennent glisser sur mes chevilles, le long de mes mollets, sur l'arrière de mes genoux, remontent le long de mes cuisses, tes pouces en effleurent l'intérieur…ma peau se hérisse, le frisson se propage tout le long de mon corps alors que je suis brulante de désir ! Elles glissent ensuite sur mes hanches, passent par mon ventre jusqu'à mes seins puis redescendent à nouveau vers mon ventre où elles s'attardent, me caressent, me pelotent, et réitèrent leurs gestes ... je te vois te pencher sur moi, et je me saisis de tes épaules pour t'embrasser à nouveau. Tu souris, je te sens sourire, je sens tes lèvres esquisser ce sourire contre les miennes...
Une main me quitte pour te saisir de la bouteille de champagne, tu y bois directement au goulot mais tu en garde en bouche tu me relèves délicatement et m'embrasses avec le champagne…bien entendu tu en laisses déborder. Ce dernier vient donc couler tout le long de mon corps, sur mon cou, mes seins, mon ventre, le champagne suit la moindre courbe de mon corps jusqu'à mon entre jambe. Tu me souris et commence à le lécher, ta langue suis le même chemin que ce doux nectar, en suivant toutes les courbes sinueuses que le champagne à emprunter. Je sens tes lèvres s'arrêter, je sens ton souffle si près de moi et de mon intimité…
Tes mains se saisissent de mes hanches et tu me cales de manière à être à ta merci. Tu commences un long et langoureux cuni. Tes mains ne cessent de caresser mes hanches et mon ventre, elles s'y enfoncent et se relâchent, comme un mouvement d'eau, comme les fluctuations de la marée, j'ai l'impression que tes mains suivent chaque vague de désir que ta langue éveille en moi. Mes mains saisissent tes cheveux comme je pourrais m'agripper à une bouée, je suis totalement perdu dans un océan de plaisir.
Tu le sens et là tu en profites pour te ressaisir à nouveau d'une fraise, tu te relèves, continues de me prodiguer du plaisir mais cette fois de tes doigts habiles, tu m'observes et comprends qu'à chaque fois que tu t'enfonces d'une certaine manière tes doigts, le plaisir se décuple et j'incline ma tête plus en arrière, u viens embrasser mon cou et tu me glisses une fraises dans la bouche.
J'associe le plaisir du sexe à celui de la fraise, à son ingurgitation. J'en veux encore ! Je te le réclame et tu t'en délectes et recommences. Je ne peux m'empêcher de gémir, tes doigts me faisant perdre complètement la tête que ce soient ceux qui me nourrissent de fraises ou bien ceux qui me nourrissent de luxures...