Attention, contenu érotique, interdit aux moins de 16 ans. Traduction non officielle par mes soins en coursRévélation
Même si le cours de français était le seul qu'elle n'avait pas abandonné depuis son mariage deux semaines auparavant, Jan était pressée que celui-ci se termine. Elle n'avait pas pris de petit déjeuner, et maintenant elle avait très faim. Elle se depecha de rentrer chez elle dès qu'elle eut le droit de sortir.
Elle ne trouva rien d'appétissant dans la cuisine, elle descendit donc dans le local où son mari Frank tenait une boutique de traiteur qui avait beaucoup de succès. La clayette du dessus du réfrigérateur était réservée aux restes des clients commandant de trop grandes quantités. Ils ne servaient jamais de restes aux clients, bien sûr, mais les gardaient pour que les employés, et maintenant Jan, en fassent leur casse-croûte.
"Bingo!" Dit-elle en ouvrant la porte du réfrigérateur. Elle se sent carrément veinarde: la clayette du haut était remplie d'hors-d'oeuvres - sushis, mini-tourtes, boulettes au fromage et des craquelins aux huîtres. Elle en prit un tas de la taille d'une assiette, l'emporta en haut, fit s'effondrer la pile et commença le travail de comptabilité du service de traiteur, son emploi à temps partiel, en picorant les hors d'oeuvre. Franck avait la meilleure affaire de traiteur de la ville, ces hors-d'oeuvre étaient vraiment fantastiques, même s'il s'agissait de restes.
Après avoir fini la compta', ses devoirs de français et...deux autres plats d'hors d'oeuvres, elle s'installa dans le canapé pour regarder la télévision.
Même si elle commençait à se sentir pleine, l'appel des hors d'oeuvres en bas était tentant.
"Ces machins doivent faire vraiment grossir", pensa-t-elle en descendant se chercher une autre plâtrée, "heureusement j'ai un métabolisme élevé".
Elle se demanda si les gens avaient remarqué qu'elle en avait mangé autant, mais d'autres restes s'y trouvaient déjà, venant d'une nouvelle commande (les employés de Frank allaient et venaient tout le temps) et la clayette était encore plus remplie qu'avant. Elle en prit DEUX assiettes cette fois, juste pour être sûre d'en avoir assez.
Alors qu'elle était allongée sur le canapé et avait recommencé à picorer, elle se rappela d'un dessin animé qu'elle regardait quand elle était enfant: était-ce la fiancée de Porky Pig? Le personnage était installé à manger des chocolats et était devenue bien grosse à la fin de l'épisode. Pour une raison qu'elle ignorait alors, cela l'avait toujours fasciné.
En grandissant, elle commença à fantasmer sur l'idée de grossir et trouva cela plutôt érotique, mais bien sûr elle ne VOULAIT pas être grosse-ce serait affreux pensait-elle. Elle n'avait jamais su quoi faire de ses étranges fantasmes, et avait toujours essayé de ne pas y penser; mais quelque chose le lui rappelait de temps à autre.
Quand elle eut fini les hors-d'oeuvre, elle se sentit bien pleine. Elle ne pensa plus en reprendre pendant une heure, et avant qu'elle le puisse, Frank était revenu.
"Habille-toi, chérie, dit-il, nous allons dîner!"
Elle était sur le point de dire qu'elle était trop pleine, mais elle savait qu'il détestait sortir seul. Frank n'avait pas même l'envie de penser à cuisiner après une semaine à préparer de la nourriture pour d'autres, et Jan était une piètre cuisinière, donc ils mangaient souvent en dehors.
"Où allons nous manger?", essayant de montrer de l'intérêt pour l'idée.
-Sam's' Steakhouse?
-Non, on n'y est allé l'autre jour!
-Que penses-tu de Chez When?
-Vraiment?", dit Jan, soudainement enthousiaste.
C'était son restaurant préféré, mais Frank ne voulait pas y aller trop souvent car il le trouvait hors de prix et qu'il fallait bien s'habiller.
"Oui, pourquoi pas?"
Elle mit sur elle une de ses tenues de soirée et fut surprise de voir à quel point elle était serrée dedans.
"Bizarre", pensa-t-elle, "ce n'est pas la période du mois..."
Et puis, diable, ce n'était pas ridiculement serré non plus, et Frank aimait la voir dans des robes moulantes. Elle mit son maquillage, se regarda attentivement dans le miroir, et se dit à elle-même "Tu es renversante".
Brièvement, elle sentit le parfum du regret quant au fait qu'elle n'avait pas pu devenir mannequin. C'était plus le rêve de sa mère que le sien, mais elle n'avait pu s'empêcher d'éprouver de la déception quand le recruteur a dit:"Joli visage, mais des hanches trop larges". Bien sûr, Frank était le remède pour cela-il trouvait qu'elle était la plus belle femme de son existence.
"Ouah, cette robe est à tomber!", s'exclama Frank. Elle faillit lui dire qu'il l'avait déjà vue dans cette robe, mais préféra ne rien dire.
Même après avoir fait le trajet jusqu'au restaurant, Jan se sentait encore bien ballonnee.
Elle retrouva de l'appétit lorsque son menu fut servi néanmoins, et réussit à avaler un bon repas. Elle allait faire l'impasse sur le dessert, mais il se trouva que celui proposé était un tiramisu, son préféré sur la Terre entière, et elle ne pouvait que l'avoir.
"Je pensais que tu n'avais pas faim?", taquina Frank.
"Je n'ai pas besoin d'avoir faim pour manger ici." répondit-elle en souriant.
Lorsqu'il rentrèrent chez eux, Frank se déshabilla et se mit au lit rapidement et regarda sa femme faire de même (comme s'il aurait pu faire autrement)
"Non mais, regarde-moi cette bedaine!", dit-il en riant.
Jan regarda son ventre inhabituellement gonflé. Elle ne pouvait qu'en rire également-cela semblait incongru sur son petit corps tout mince.
"Si tu continues comme ça, tu deviendras grosse, ma fille !"
Jan rougissait en se rappelant de ses vieux fantasmes.
"Ce sera de ta faute si je le deviens!" maintenant faisant la moue. "Tu m'emmènes toujours dans des restaurants à la mode et tu laisses tous ces restes de hors d'oeuvres qui font grossir en bas.
-Tu as raison, dit Frank, je suis désolé. Tu sais quoi? Quand j'irai à Peoria (banlieue de Chicago, note du traducteur
), je prendrai la clé pour que tu ne puisses pas descendre dans le local. Tu auras comme ça trois semaines entières sans restaurants ni restes à manger!
-Ah oui c'est vrai! J'avais oublié ce truc de consultant, c'est bien demain?"
-Ouais!
-Et tu peux vraiment pas m'emmener?
-Si je pourrais, mais c'est Peoria, en hiver. (Le climat est très rude dans cette partie des Etats-Unis, autre note du traducteur). Et je travaillerai seize heures par jour. En plus, j'ai besoin de toi ici pour ce contrôle fiscal. Et qu'en est-il de tes cours de français?
-Mais tu vas me manquer!
-Je sais , je sais! Ce sera mieux comme ça. Je sais que je ne pourrais pas faire mes seize heures de travail dues si tu es à mes côtés.
Entre temps, elle avait fini de se déshabiller et il était en train de la caresser.
"Tu es tellement distrayante que nous serions coincés à Peoria pendant des mois!"
Il embrassa un de ses tétons qui immédiatement se tendit, en érection.
"Woahou, toujours prête, hein?!" dit-il en la poussant dans le lit avec lui.
Après que Frank fut parti le matin suivant, elle se regarda de nouveau dans le miroir avec attention. Avec consternation, elle remarqua qu'il lui restait un peu de ventre.
Mais elle se tint bien pendant le reste de la journée, et le matin suivant, un samedi, tout avait disparu.
Avec quelque fébrilité, elle se pesa pour la première fois depuis un mois. Elle poussa un cri quand la balance s'arrêta à 125(livres, un peu moins de 57 kilos, ndt)-soit 6 livres de plus(un peu plus de 2,5 kg, ndt itou) que ce qu'elle a jamais pesé auparavant!
Pas étonnant que la robe était serrée! Elle allait vraiment devoir faire attention à partir de maintenant.
Cet après-midi là, sentant comme un petit creux-son déjeuner de régime n'avait pas fait grand-chose pour la rassasier et il n'y avait rien d'autre à manger dans la maison-elle jeta un oeil par le trou de la serrure de la porte qui donnait vers la pièce du bas. Frank s'était bien rappelé d'emporter la clé. Pas de tentation de ce côté-là. Elle regarda par la fenêtre, le temps était triste, froid et pluvieux.
Cela ne l'incita pas à faire des courses chez l'épicier, d'autant plus qu'elle ne savait pas conduire-Frank n'arrêtait pas de lui promettre de lui apprendre- et qu'elle aurait dû prendre le bus. Dans un moment d'absence, elle essaya d'ouvrir la porte du bas.
Elle n'était pas fermée!
"Maudit Frank!" jura-t-elle mais en se dépêchant de descendre avec curiosité. Cette fois-là, elle ne s'embarrassa pas d'assiettes, elle prit carrément un plateau et l'emporta en haut.
"Dès que j'aurai fini ce plateau, je verrouille la porte!", pensa-t-elle tout en se goinfrant joyeusement devant la télévision. Elle en avait fini la moitié quand elle se rendit compte qu'elle était arrivée à ces mini-éclairs au chocolat qui avaient l'air tout simplement divins; mais il n'y en avait que deux. Elle descendit en chercher d'autres, mais elle entendit des employés venir avant qu'elle ait eu le temps de faire son choix. Elle était seulement vêtue d'une nuisette-elle ne s'habillait jamais complètement un samedi pluvieux. Elle prit donc directement le plateau en se hâtant de remonter avant que quelqu'un ne la voie.
Heureusement il y avait beaucoup d'éclairs, et aussi de ces sortes de sushis au homard. Elle eut fini les deux plateaux avant de s'en rendre compte, et si cela était possible, son ventre était encore plus gonflé que la dernière fois.
Les mots de Frank résonnaient dans sa tête: "Si tu continues comme ça, tu deviendras grosse ma fille!" et ça l'allumait énormément. Elle trouva cela surprenant-elle ne s'était jamais sentie aussi excitée sexuellement sans un amant à ses côtés. Par curiosité, elle se toucha-elle était trempée à cet endroit. Sa main heurta le clitoris, oh que c'était bon! Elle se sentait coupable, elle ne se masturbait presque jamais. D'habitude ça ne marchait pas aussi bien. Mais d'une certaine façon, cette bedaine naissante l'excitait énormément. Elle la toucha doucement, oh c'était bon, bientôt elle se trouva en train de se caresser fiévreusement et avant de s'en apercevoir eut un merveilleux orgasme.
"Wow, pensa-t-elle, abasourdie, je l'ai fait!"
Parce qu'elle n'avait jamais réussi à avoir un orgasme par elle-même. Le lendemain, elle se trouva embarrassée au delà du possible, mais décida d'acheter des films X et un vibromasseur.
Les vidéos etaient bien, le vibro plutôt amusant, mais elle découvrit plus tard cette après-midi là qu'elle n'était pas trop emballée. Après un petit moment, alors qu'elle était dans la salle de bain, elle décida de se peser. Cette fois-ci, la balance passa sans problème la barre des 125 et s'approchait dangereusement des 127.
"Je suis vraiment en train de grossir", pensa-t-elle, mais avant qu'elle eut le temps de s'en agacer, elle sentit un frisson de désir lui parcourir l'échine. Elle se tourna directement vers le vibromasseur. Cela marcha plutôt bien, et l'amena au bord de ça, mais elle était incapable de jouir avant de penser:" Je devrait peut-être prendre de plateaux de hors-d'oeuvre". C'était presque ça! "Je vais les prendre ces deux plateaux!". CA allait le faire, et alors qu'elle s'imaginait manger deux autres plateaux de hors d'oeuvres et la prise de poids qui en résulterait, elle était de nouveau envahie par cette vague d'intense plaisir sexuel. Autant elle aimait faire l'amour à Frank, autant cela était mieux, elle pouvait prendre autant de temps qu'elle voulait, et n'avait pas à ce soucier de ce que Frank aurait à lui dire.
Elle alla chercher ces deux plateaux qu'elle s'était promise, d'une certaine manière, elle ne s'était jamais tenue à verrouiller la porte. Heureusement, il y avait plein de ces mini-éclairs, et aussi, elle le découvrit, une sorte de délicieuses saucisses qu'elle. n'avait jamais goûté. Son ventre commença son expansion une fois de plus. Elle était excitée en pensant à ce que Frank aurait dit en la voyant. Elle se masturba en mangeant et atteint l'orgasme en finissant le dernier hors d'oeuvre.
Elle s'allongea sur le canapé avec une sorte de stupeur béate, puis commença à s'inquiéter.
"Ça suffit, dit-elle, c'est la dernière fois que je fais celà"
Elle alla pour verrouiller la porte, mais sur le chemin, une partie de la nourriture descendit et elle rota, très discrètement bien sûr. Elle réalisa qu'elle avait toujours un peu de place dans l'estomac. Elle descendit se chercher un troisième plateau. Elle se demanda si c'était possible d'avoir un orgasme trois fois dans une même journée.
Ça l'était.
Le lundi matin, allongée dans son lit, son ventre encore quelque peu gonflé, elle se demanda quelle était la part de nourriture non encore digérée et celle de gras en train de se déposer.
"Je vais vraiment être sage aujourd'hui" se dit-elle en se levant pour bloquer la porte. En y arrivant, elle se rendit compte qu'il n'y avait pas moyen de le faire en s'y prenant du côté de la cuisine, elle devait descendre, fermer la porte, traverser entièrement le local des employés, sortir par la grande porte et remonter chez elle.
Elle ne voulait pas le faire en passant devant tout le monde et devoir expliquer ce qu'elle faisait ainsi.(En plus, elle était pour une raison obscure très timide devant les employés). Elle décida de s'en occuper ce soir-là, quand tout le monde serait parti.
Et elle l'aurait fait si un certain documentaire n'était pas passé à la Television l'après-midi même. Il s'agissait d'une tribu de Nouvelle-Guinée qui avait une très étrange coutume. Quand les jeunes filles atteignaient l'âge nubile, elles étaient enfermées dans des cages pour les maintenir inactives et très bien nourries. Elles n'étaient pas autorisées à sortir des cages avant d'être devenues grosses. Une grosse épouse était une marque d'un rang social élevé, plus elle était grosse, mieux c'était.
Le ton du narrateur du documentaire sonnait affreusement désapprobateur, mais un seul coup d'oeil à ces jeunes femmes dodues, à peine habillées, en train de se gaver l'exciterent bien plus que tous les films coquins qu'elle avait vu jusqu'à maintenant.
Elle eut immédiatement très chaud, et se sentant à la fois en sueur et hésitante, elle se masturba à nouveau.
"Oh, mon..." se dit elle après un magnifique orgasme. "Ce serait merveilleux si je pouvais faire comme ces filles. Devenir grosse parce que ce serait ce que l'on voudrait de moi...Seulement manger et manger encore..." Elle se sentit de nouveau très chaude...mais n'arriva pas vraiment à atteindre un second orgasme."Peut-être qu'un plateau ou deux aideraient?"
"Je dois vraiment fermer cette fichue porte" soupira-t-elle le matin suivant, montant sur la balance en pensant que le dégoût d'elle-même lui inspirerait d'arrêter de manger autant. Cette fois-là, le nombre s'arrêta vers le côté gras du 127.
"Pas si mal!" Elle eut alors une idée. Frank était parti pour trois semaines, elle se dit qu'elle pouvait prendre du poids pendant une semaine, et le reperdre pendant les deux semaines restantes et revenir à la normale pour son retour. Et puis deux ou trois livres de plus ne peuvent pas me faire de mal...
Rien que cette pensée l'envoya vers son vibromasseur.
Le samedi suivant, quatre jours, cinq livres et d'innombrables heures de merveilleux repas, elle se trouva à se regarder l'air déprimé devant la glace. À 132 livres, elle n'était pas grosse, pas même dodue, mais il y avait une fine couche molle sur son corps qui ne s'y était jamais trouvée jusqu'à présent. En plus, son ventre, étant pour une fois plus ou moins vide, n'avait pas atteint le stade de la bedaine, mais c'est comme s'il y avait postulé pour un tel emploi.
Elle se trouvait contradictoirement fière et honteuse d'un tel excès de gras. Elle était confuse, mais ce qu'elle savait, c'est ce qu'allait être le régime à venir. Une torture.
"C'est de la faute de Frank, gémissait-elle, pourquoi n'avait-il pas pu fermer la porte! Le con!"(et un gros mot, un, le traducteur s'excuse pour ces trois lettres, traduction fidèle de l'anglais)
Elle eut une inspiration. Pourquoi pas lui donner une leçon? Sûrement, elle pourrait commencer le régime une fois qu'il serait revenu, mais pourquoi pas lui donner un avant-goût d'a quel point sa femme pourrait devenir grosse s'il ne faisait pas attention? Elle pourrait bien prendre dix livres d'ici-là. Cette pensée lui donna immédiatement des titillements provenant de ses régions intimes, elle descendit tout de suite chercher un plateau.
Mais il n'y avait pas de restes ce matin-là. Trop impatiente pour attendre le bus, elle appela un taxi pour faire des courses de nourriture. Elle se saucissonna dans sa plus grande paire de jeans et réussit à boutonner tous les boutons sauf celui du haut. Elle dut prendre un t-shirt ample pour le draper au-dessus de son pantalon.
Elle appela pour passer commande dans quelques uns de ses restaurants préférés et emmena ses achats sur la banquette arrière du taxi. Son jean était tellement serré qu'il lui donnait des poussées coquines à chaque fois que le taxi passait sur un nid-de-poule. Elle commença à manger en puisant dans les sacs en attendant le restaurant suivant.Elle trouva cela incroyablement érotique, avec un soupçon de malice. Elle se demanda si elle n'allait pas avoir un orgasme sur cette banquette.
Quand elle arriva au dernier restaurant, elle avait du défaire tout les boutons.