J'ignore pour vous, mais au fil de ces dernières années, j'ai dénoté qu'une portion substantielle des personnes en surplus de poids et obèses-- notamment des femmes, des prêcheuses du
Body Positivisme, puis plus particulièrement des feedees de toutes tailles (autant celles qui expriment leur fétichisme en public que celles qui le dissimulent sous couvert de tendance de réseaux sociaux ou de positivisme, voire celles qui se dissimulent tout court) arborent fort souvent des inclinaisons aux troubles d'affection psychologiques, de problèmes pathologiques graves, de même que des troubles de la personnalité.
Un grand nombre de feedees, de mannequins «
Straight Size/Taille Moyenne » , de mannequins «
Curvy » et «
Midsize » , de mannequins Taille Plus, d'avocates du Body Positivisme, de travailleuses du sexe œuvrant dans la communauté FA, de webcameuses et autres individus étant officieusement hors de la communauté niche mais qui demeurent malgré tout adjacent au côté prenant du feedérisme ou feedisme tel que soit en public ou derrières portes closes ou même de feedees régulières dans la vie de tous les jours, démontrent toutes des charactères néfastes en commun : un comportement névrosé, des symptômes typiquement associées au trouble bipolaire-- voire encore au trouble de la personnalité limite (
bordeline) , une hyperphagie maladive suivie par des épisodes maniaco-dépressives excontiguës, des tendances schizoïdes, un charactère de jugement hautement instable et volatile, un besoin pathologique de validation et d'attention de pair avec leur appétit endiablé et manque de maîtrise en soi, de même que des troubles hormonaux pouvant être associés à leurs épisodes maniaco-dépressifs.
La plupart des membres de cette collectivité décrite démontrent une proclivité aigu au mensonge, au détournement cognitif, à la dissonance cognitive ainsi qu'à la dissociation psychique. Elles peuvent apprécier leur participation active ou passive dans le fétichisme et ses activités pour une seconde, puis nier en bloc ou couper net la minute suivante sans crier gare. Elles ont tendance à se victimiser si elles font face à une situation qui leur désavantage et n'hésiteront pas a jeter leurs partenaires sexuels directs ou para-sociaux comme leurs autres relations para-sociales aux orties au moindre instant de panique.
Un certain nombre d'entre elles sont affligées par des relations de couple à court durée, de même que des relations para-sociales non-platoniques d'une durée indéterminée-- dépendamment de leur humeur, des entretiens, de la nature, du degré et du niveau de solidité de ces relations. En matière de préférences de couple ou sexuels, un nombre rapidement croissant d'entre elles depuis les années 2010 arborent une aversion totale et ouverte envers les hommes de même corpulence qu'elles.
Des corrélations plus ou moins variées de ces différents troubles psychiques et endocriniens, quoique nullement le dénominateur commun, peuvent jouer le rôle de facteur de ravitaillement ou d'élément carburateur a l'état de psychose sexuo-érotique anormal que j'ai dénommé puis popularisé le premier du nom d' « hystérie vorace » (ou «
feeding frenzy ») au sein de la communauté FA (voir mon fil de discussion
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Pour continuer, ce sont des gens peu fiables. Mesquins. Hypocrites. Profondément blessés et étant porter à en faire blesser davantage d'autres encore sur leur chemin.
Bon voilà, c'est mon analyse. Quel est votre opinion à ce propos?