- Jotabela a écrit:
- Bonjour !
Hahah alors je m'explique je voulais être une gaineuse, mais c'est pas trop mon truc au finale, sa ne va pas avec mon style de vie
Si tu ne te sens déjà pas à l'aise avec cela, ne te forçe pas non plus la main.
- Citation :
- je voudrai avoir des témoignages de feeder, sur vos expériences, est ce que vous avez réussi à faire grossir des personnes ?
J'ai fais grossir pas mal de femmes, effectivement. Trois feedees ainsi qu'une bonne douzaine d'incidences, si on peut dire.
- Citation :
- Comment cela s'est déroulé ? Comment vous avez fait pour les convaincre ?
Il y a de cela près de neuf années et demi, ma première feedee et confidente plus âgée d'antan en avait déduit, rendu vers notre 5eme grade et dernière année à l'école secondaire que nous fréquentions, que j'étais attiré par les femmes en pleine prise de poids. Et ce, après qu'elle me pinça un beau jour après les classes en train de perdre mon attention à notre causette comme je m'étais mis subitement à reluquer avec un certain affolement une camarade de notre promotion souffrante d'un tout récent cas de défaillance vestimentaire descendant précipitamment des marches d'escalier (la pauvre avait tellement poussée du bide lors de notre semaine de relâche qu'elle nous revint la semaine suivante avec le corps ventru d'une femme enceinte de cinq mois et les confinements de sa chemise d'uniforme désormais si trop bien étroites et serrées que leurs pans menaçaient à tout instant de se faire violemment déboutonner au moindre remous de vas-et-viens de son ventre gras au pan de chair débordant visiblement quelque peu de par le bas de cet même habit) et se rendit compte que les toutes nouvelles rondeurs de cette dernière m'allumait.
Au fil des jours suivants et entre les cours, elle me posa tout un interrogatoire sur mes préférences physiques en matière de filles, de ce qui m'attirerait à propos des rondes et si la nature même de leur processus de prise de poids et ses conséquences transformatives me captivaient et au fur et à mesure que je lui répondais, elle me semblait de moins de moins manquer de contenir son allégresse lorsqu'elle réalisa que j'étais, tout comme elle, un lipophile.
Elle me confessa, sans naguère jamais les dénommer en tant que telles, ses propres inclinations fétichistes en tout ce qui aurait attrait au stufferisme, au《 bloating 》et au fait qu'elle s'empiffrait religieusement à chaque week-end dans le maigre espoir que ses séances de gavage ne finissent par avoir le déteint sur son physique filiforme comme cela arriva à ses tantes, qui tout comme elle, seraient toutes des gloutonnes accrocs à la malbouffe, mais à la seule différence que l'âge et les arcanes de la maternité eûrent raison de leur métabolisme à l'épreuve des buffets et qu'elles devinrent donc conséquemment obèses-- un état physique qu'elle admirait tant de ses seules figures maternelles, qu'elle s'employait vaguement à achever ce qu'elle perçevait donc comme étant la quintessence de la volupté féminine.
Elle rajouta aussi qu'elle était quelque peu ennuyée par ses soi-disantes manques de formes : à dix-huit bougies et du haut de ses un mètre soixante-quatre de jadis (car la seconde puberté lui frappa d'un coup rendu à cette même période et continua jusqu'à ses vingt-quatre ans. La dernière fois que nous nous étions vus, cela faisait désormais trois années qu'elle mesurait près d'un mètre soixante-douze de haut!) , elle possédeait une silhouette en forme de I mais des jambes longues et graçieuses, des cuisses délicatement pulpeuses, des formes délicates quelques peu évasées à hauteur des hanches ainsi qu'une taille de poitrine à seulement une lune d'emplir un bonnet C bien garni, lui confiant une apparence altière et sylphide sans trop pousser dans l'évidence de la filiformité curviligne. Beaucoup de filles au sein de son cercle de copines enviait son apparence, mais étant déjà une Antillaise-née, il demeurait tout à fait compréhensible que sa perception d'un physique féminin idéal différait quelque peu de ses paires, lipophile ou non.
Non, à ses yeux, elle jugeait que son allure était un peu trop androgyne (et le fait qu'elle avait d'abord des tendances de garçon manqué qui prenaient souvent le pas sur son caractère de fillette pleine de verve, ainsi que l'allure d'une adolescente de quatre années sa cadette n'ayant pas encore totalement succombée à la puberté, n'aidaient pas non plus) et pas encore suffisamment bien femme et qu'elle rêverait un jour de doubler son poids, qui était alors de 51 kilos : elle souhaitait atteindre 102 kilos ou plus, tant que cela lui permettait d'achever l'apparence stéréotypée d'une obèse. Les joues boursouflés, le double menton invasif confinant tout le cou, une panse ventrue ayant l'air de perpétuellement pousser à son terme de grossesse, les seins surabondants, les bras charnus, les hanches pleines et le pas pesant... voilà son idéal de beauté!
Tout naturellement, après que nous eûmes terminé nos études secondaires et nous trouveâmes tous deux à étudier au même cégep, notre situation déjà que bien trop ambigu évolua petit à petit en cette espèce de jeu de préliminaires, filtrant de plus en plus auprès des intonations d'une relation de feeder-feedee sans toutefois jamais la consommer en raison de... bref, c'est compliqué. Longue histoire dont je n'ai nulle envie de faire étaler.
***
Ma seconde feedee, une Québécoise, fréquentait le même collège que moi ainsi que la première il y a de cela sept ou huit ans. Elle me haïssait et ne me sacquait guère pour toutes sortes de raisons farfelues et idiotes dont l'une se portait notamment en ma négritude et sa perception stéréotypée des Noirs, perception par laquelle je ne correspondais guère du tout. Pour être tout à fait honnête, mes premiers sentiments envers elle finirent par devenir quelque peu réciproques : plutôt méfiants et empreints d'hostilité. Quoique j'avais tendance à vite m'en défaire et à ne jamais proprement les garder pour faits acquis, contrairement à elle.
Lorsque j'avais débarqué au cégep, la première impression qu'elle me donna fût celle d'une jeune femme de stature frêle et courtaude, au visage blâfard et aux joues presque creuses. Mais au fil de l'année qui se déroula, elle semblait s'être résolue à prendre quelques kilos de façon à acquérir un niveau de poids relativement sain. Un jour alors que je passais dans son coin d'études, j'avais brièvement dénoté des changements plutôt positifs : sa chevelure auburne me paraissait avoir regagnée un peu de lustre, son teint me paraissait moins pâlotte et le creux de ses joues colorées s'était évanouies. Je l'ai poliment salué, comme mes manières l'obligaient, puis allègrement enchaîné un compliment faisant état du fait que j'appréciais qu'elle paraissait en bien meilleure santé : ce à quoi la collégienne, en véritable Québécoise toujours interprétant à tort et à travers mes propos comme étant soit néfastes ou fausses, s'offusqua davantage, me demandant d'un air sarcastique si je ne serais pas en train d'insinuer qu'elle aurait grossie.
Pris au dépourvu par cette accusation sans fondement, je m'étais mit à balbutier que j'essayais simplement d'être poli et que je ne prenais oas du tout attention à son gain de poids. Quoique sur le coup, je ne pûs en m'empêcher de sonder furtivement et assez rapidement de quelle nature sa prise de poids avait affectée son apparence : il me parût évident qu'elle exagérait de loin les insinuations sur son soi-disant embonpoint. Elle demeurait toujours très filiforme et assez loin d'envisager de porter des jeans taille 4 CAN/US (36 Fr.) , quoique qu'elle était toutefois beaucoup moins chétive et maladive en apparence qu'au début de cette année. Elle était devenue raisonnablement mince.
Dire que je n'avais guère idée qu'elle ferait une fixation sur la mature de mes remarques et son apparence! Car au fil des mois suivants, notre relation vint d'être simplement académique mais rarement sans ses accrochades passifs-agressifs dont elle s'adonnait régulièrement et mes propres boutades désinvoltes qui l'ennuyaient à en mourir, à cette étrange espèce d'affection-haine nécessaire à ce que nous devînmes malgré tout confidents de l'un pour l'autre. Aucun de nos autres camarades communs étaient sincèrement amicaux envers elle ou envers qui que ce soit, étant donné que la plupart d'entre nous finirent par nous mépriser les uns envers les autres, certains mêmes davantage que d'autres (assez pour que j'en paie éventuellement pas mal tous les sales coups) : il fût donc naturel qu'elle finisse par se défaire d'une partie de son armure façe à l'un des moins arrogants et snobs de la promotion, celui qui en dépit de toutes les fois qu'elle lui fit comprendre qu'elle ne pouvait tolérer son existence, demeurait néanmoins le seul capable de tenter de faire un pas amiable vers elle et de se démontrer à l'écoute de ses griefs-- et ayant de toute façon trop peu d'amis en ce groupe pour laisser venter ses confessions.
Au fur et à mesure qu'elle me confessait ses origines cachées ainsi que sa vie privée, elle finit subitement par faire glisser entre deux causettes qu'elle était ennuyée de son apparence filiforme, qu'elle enviait les femmes plus charnues et souhaitait grossir.
Feignant l'indifférence, je lui ai demandé à quel point désirait-elle grossir, assumant déjà en arrière-pensée qu'elle serait l'une de ces Blanches maigrichonnes qui capotent à l'idée de se ménager de prendre deux ou trois kilos en plus. Une autre partie de moi, cependant, préssentait l'exact opposé.
Et fort comiquement, mes préjugés me menèrent droit en bâteau comms me révela, d'un ton assuré, que lorsqu'elle parlait de grossir, elle entendait《 grosse 》et que par《 grosse 》... elle voulait réellement dire grosse. En prenant pour modèles deux camarades communes, la première dont le bas du corps était si généreux que sa croupière et ses flancs débordaient de n'importe quelle chaise, tandis que la seconde, une véritable bouboule aussi ample que grande dont on pouvait entendre et sentir ses pas loirdaux faire résonner une pièce à 300 mètres à la ronde, faisait au moins un bon 113 à 136 kilos et aurait pû couvrir au moins une chaise et demi avec ses fesses!
À ce moment je m'étais presque senti démasqué, je dois te l'avouer. Soit c'était un coup de bol, soit ce fût la seconde fois de ma vie qu'une femme lipophile eût réussit à déduire intuitivement ma lubie des rondes ou encore soit cette fois-ci elle n'avait guère réellement idée de qu'est-ce qu'elle venait tout juste de gratter et c'était moi qui agissait comme une sorte d'aimant à feedees.
Je lui ai jeté un regard. Nous nous sommes jaugés l'un et l'autre pendant un très court instant, puis j'ai finalement brisé le silence, tentant de garder mon sang-froid mais néanmoins un soupçon trop enthousiaste à cette nouvelle :《 Bien. Fais ce qu'il te plaît. 》
Et bizzarement, ces derniers mots couplés par le peu d'ébahissement inhabituel à son encontre fûrent assez pour avoir eût en elle l'effet d'un feu vert, car elle se fût résolue pour le prochain trimestre à venir à tenter d'augmenter sa consommation alimentaire quotidienne.
***
Quant à la dernière, ben je l'ai simplement deviné d'un coup lors d'une soirée. C'était une copine qui avait quelques fois tendances à ne pas être tout à fair platonique envers moi lorsqu'elle sortait avec un ami et au moment où ils cassèrent pour la énième fois, je m'étais dis que cette fois-ci je sauterais sur l'occassion (pas de rancunes : le pote en question m'avait fait le même coup auprès d'une fille dont j'avais des vues et dont l'électricité était plutôt mutuelle... alors qu'il sortait encore avec la copine en question et sous son nez!) . J'ai établi une causette, elle semblait s'y indulger un moment, puos d'un coup j'eûs une intuition et je me suis mis à faire des avances portant de façon très court sur les aspects du feederisme. Quelque chose cliqua sur le coup en elle car elle me semblait davantage encore plhs alerte et captivée par cela et énonça, amusée, qu'elle songerait à prendre un peu de poids dans un avenir proche.
Éventuellement, après quelques soirées, elle a finit par laisser tomber et se remit en couple avec mon ami durant les mois suivants. Un jour, elle publia sur son profil Facebook un reportage diffusé par la la chaîne médiatique sensationnaliste américaine BarcroftTV portant sur le feederisme et une modèle SSBBW et le fit partager auprès de son petit-copain, mentionnant qu'elle serait interessée à faire tester cela mutuellement auprès de lui...
***
Quant aux autres femmes? Comme je l'ai énonçé ci-haut, il s'agissait d'incidences. Des clientes captivées par mon charme, des bosses et passantes aux courbes pulpeuses succombant de façon morbide et erratique à la surconsommation de malbouffe et de pâtisseries tout juste après avoir goûtées mes mets, des athlètes fitness amateures étant véganes depuis leur tendre enfance, des connaissances, ecetera ecetera... puis pour toutes sortes de raisons qui résultaient toujours de ma main ou coïncidaient avec ma présence dans les alentours, ils leur arrivaient à toutes et à chacune les le même genre d'état de transe lubique et à la limite obscène que ma première feedee avait endurée, mais à des degrés d'intensité et de fréquencité plus ou moins variés.
- Citation :
- Et bien sur combien de kg elles ou ils ont pris ?
[...]
Lorsqu'elle me révéla la nature de ses fétiches, ma première feedee pesait 51 kilos.
Son poids fluctua à quelques reprises de 2011 à 2013 avant d'atteindre 59 kilos, mais ensuite elle vécut une première crise de conscience sur son image corporelle, paniqua et fit volte-façe pendant une certaine durée, se concentrant à la place sur un entraînement consistant à gagner de la masse musculaire dans le bas du corps, raffermir les muscles du haut du corps et tonifier le tout.
Après six mois d'entraînement, elle avait prise 4 kilos en masse musculaire et graisseuse, perdue pas mal en chair et en bonnet par le haut du corps puis développée un physique tonifié en forme de cuillère à la place de la filiformité curviligne qu'elle développa après avoir atteinte les 56 kilos.
Mais ayant peu de volonté à s'acharner dans ses ouvrages, elle se lassa vite de ce train de vie et cessa même la plupart de ses anciennes activités sportives, ne se contentant alors que de longues randonnées, de sa jobine à temps plein physiquement hargneuse ainsi que d'un cours de danse par week-end. Elle s'amouracha un temps d'un chef cuisinier un peu plus âgé que nous deux, en partie dans l'intention de me rendre jaloux et violent mais sans succès : son poids culmina de 63 à 66 kilos en 2014, mais tomba grièvement malade et perdit plus de 20 kilos pendant les deux semaines suivant le jour où elle rompit avec son petit-copain... tout juste le lendemain après que je l'avais moi-même plaquée, pour m'avoir offensé une énième fois de trop sur ses comparaisons idiotes entre moi-même et son amant de même que son intention nette et ouverte de tenter de me faire rabaisser à la moindre occassion sur cela.
Vers la première moitié de 2015, elle tenta bon gré mal gré de se rétablir physiquement des ruptures, de son étrange fièvre quasi-léthal ainsi que de l'extrême maigreur qu'elle avait développée, ayant progressivement reprise ses 59 kilos. Nous ne nous voyeâmes plus au moment où cela se déroula, mais selon son propre témoignage peu de temps après ce qu'elle qualifiait plus tard avec une irritation mal contenue comme étant ma《 disparition 》entresuivie par l'autre rupture, elle fût si brutalement frappée par la fièvre qu'elle dût prendre congé de maladie, se retrouvant cloûée à son lit pendant des jours et incapable d'ingurgiter presque quoi que ce soit : en l'espace de d'à peine deux semaines elle perdit plus de quarante livres et s'amaigrit tant qu'elle qualifiait son apparence égrotante d'alors de《 squelettique 》, que ses habits d'adolescence qui étaient pourtant tous de la plus petite taille qu'elle aurait jamais portée (taille EU 32/34 et XP - CAN/US taille 2 et XP) flottaient tous par-dessus son corps lorsqu'elles les essayaient, que sa poitrine qui était alors un bonnet 85D lors de la quinzaine précédente s'était totalement aplatie et qu'elle pouvait même entraperçevoir le contours de sa cage thoracique contre sa peau émaciée.
À l'été 2015, elle tenta à sa drôle de manière de se réconcilier auprès de moi et elle reprit aussitôt son rôle dans notre relation avec un peu trop de zèle : après seulement quatre jours, elle gagna 7 kilos.
Les trois jours suivants, son poids culmina une première fois à 70 kilos : son gain de poids de 11 kilos en à peine six jours n'avait pas passé aperçu.
Difficile même pour le commun des mortels de ne pas noter certains détails telle que le fait qu'elle passa d'un physique plutôt mince mais curviligne à une silhouette de plus en plus pulpeuse, qu'elle épouvrait subitement à nouveau des difficultés à se faufiler ou glisser dans des espaces extrêmement étroits dont elle avait l'habitude d'emprunter comme raccourcis en son lieu de travail, que ses fesses et ses hanches paraissent plus amples, que sa dégaine avait un peu changée, que le haut de ses bras se seraient un peu enrobées... ou que sa poitrine de taille CAN/US 40C (EU 90C) se serait littéralement bonifiée de deux bonnets en plus (CAN/US 38DD - EU 85E) !!
Son poids continua de valser d'une taille à une autre avant d'atteindre une première fois la barre des 72 kilos vers mars-avril 2016, mais frappa depuis lors un plateau. Pour la première fois de sa vie, elle ne fût plus uniquement en surpoids qu'en termes cliniques : elle commençait aussi à en avoir tout l'air. Entre les habits de taille moyenne qui ne la seyirent plus, le décroissement un peu plus tactile de l'écart entre ses cuisses, son visage de plus en plus légèrement joufflu, ce soupçon inoffensif de double menton, la pesanteur interminable de son buste généreux et ses courbes qu'elle tentait tant bien que mal de faire dissimuler sous des couches d'habits trop peu efficament amples... rien n'arrivait désormais à l'amincir de façon aussi efficace qu'auparavant.
Avoir une crise de conscience sur son poids ne fût déjà pas une première pour elle, mais ce fût cependant la tout première fois qu'elle était consciente qu'elle ne pouvait plus être catégorisée comme étant tout à fait mince et arborait des sentiments mixtes en rapport à ses formes et rondeurs. Elle était certes réjouie de certains détails telles que son bonnet de poitrine toujours plus grossissant, son visage peu rondouillie, ses traits chérubiques ou son abdomen délicatement plus convexe. Mais un peu moins pour le restant de sa figure.
Durant l'été de cette même année, son poids continua de valser de plus belle entre 59 et 66, puis 72 kilos. À cheval entre les mois de juillet et d'août, sa prise de poids commença pour une première fois à s'échelonner par-delà la barre des 72 kilos.
Ce fût dès lors vers l'automne 2016 qu'elle atteignit son poids le plus élevé jamais atteint en cinq années de périples et de pauses momentanés, dans les alentours de 78 à 83 kilos. Bref, elle m'avait brièvement confiée entre deux épisodes de distorsion cognitive et de déni espacés chacun de cinq minutes que la dernière fois qu'elle avait montée sur une pèse-personne, elle pesait tout récemment 77 kilos ou plus mais qu'elle était consciente avoir notablement prise un tantinet plus de poids depuis sa dernière examination. Il m'apparût plus tard plutôt censé que son poids actuel était beaucoup plua proche de la barre des cent quatre-vingt cinq livres (83 kilos) que des cent soixante-dix livres ou plus, au vu du fait qu'elle me confia encore entre deux autres épisodes que ses mensurations s'étaient cumulées désormais à 85F-76-116cm (38DDD-30-près de 46") ... cela vous confie tous une image assez intriguante de l'allure ahurissante qu'elle se retrouva refourguée lorsqu'elle fût seulement de deux à cinq kilos près du stade de l'obésité clinique : un véritable physique de bimbo des réseaux sociaux, une silhouette sensuelle et hyper-féminine aux courbes étanches et luxurieuses, des seins opulents et fermes au clivage tapageur et aux intrigues pleines de rebondissement, un tour de taille ni trop ample ni trop guépier, le ventre mou et convexe d'une femme en plein milieu de son premier trimestre de grossesse, le haut des bras plutôt enrobé, le visage jadis en forme de coeur étant désormais plus rond ; mais restait encore à savoir les délices que le bas de son corps offrait encore à l'oeil, de par ses hanches si vastes et surabondantes qu'elles semblaient presque se muer en une culotte-de-cheval, ses cuisses dodues et épaisses mais toujours bien galbées, les balbutiements d'une peau d'orange qui transparaissait en-travers le tissu en denim sur-éployé de ses pauvres jeans en taille 12 (EU 42) bien trop étroites pour une personne suffisamment ample pour une taille 16 (EU 44) , mais son postérieur... ce postérieur! Ce capot arrière, cette crinoline bien étagée, ce véritable hausse-cul tropical aux tiroirs si juteusement globuleux et callipyges qu'on aurait pû (**ricanements** ... avec succès, à son mécontentement) y poser par ses dessus un verre en styromousse et tenter de servir la table sans qu'elle s'en rende même compte.
Imaginez-vous simplement une femme plantureuse ayant le physique et les proportions de la《 mannequin 》Andrea Abeli, mais sans les multiples retouches amincissantes par le bistouri ou encore le côté plastique.
Depuis lors, elle n'atteignit plus jamais pareil poids pour autant que j'en sache. De toute façon, elle n'est que passé pour moi.
***
J'ignore combien de kilos ma seconde feedee avait prise, étant donné que la nature de notre relation n'était pas aussi développée et intime que la première : avec cette dernière, je pouvais simplement me contenter que de faire un peu de renforcement positif et ne pas avoir l'air en manque à chaque fois qu'elle faisait des remarques supposément anodins sur son progrès. J'étais beaucoup plus qu'un simple encourageur, comme le qualifierait le jargon feederiste (encourager) , qu'un approvisonneur.
Au début, elle était tout à fait comme je l'avais prédis ce genre de novice qui capote et se réjouie excessivement de se savoir avoir prise au moins deux à trois kilos : rien de très consistent pour moi, qui n'avait jamais prit au sérieux ce que nos homologues anglophones qualifient péjorativement de vanilla feedees ( ou《 feedees banales 》, 《 feedees soft 》) qui paniquent toutes aussi aisément qu'elles se réjouissent.
Elle me prouva cependant une fois de plus être beaucoup plus affairée dans sa démarche que ce type d'enquiquineuses une fois qu'elle poussa la barre à 6 kilos ou plus. Ce qui pour une femme de petite stature du haut de ces un mètre soixante, signifiait déjà un changement majeur sur son apparence. Une quinzaine de livres en plus pour des filles telles qu'elle, c'était déjà quelques moindres livres en trop.
Hélas, bon nombre de nos camarades collégiens blancs au sein de notre promotion ne manquèrent pas de la tourmenter à ce sujet : nos deux camarades obèses tentèrent de la convaincre qu'il n'y avait rien d'attirant à devenir comme elles et qu'elles enviaient toutes deux son physique de lolita sans formes. Les autres filles plus minces du groupe, quant à elles, se moquèrent davantage de son appétit croissant, de ses deux à trois repas par journée en cours, de ses bourrelets bourgeonnants, de son visage délicatement moins fine, de ses cuisses légèrement dodelinées et de sa légère défaillance vestimentaire.
Elle finit par céder aux moqueries et à la pression de se vouloir se conformer à ces Blancs qu'elle détestait en catiminibtout autant qu'ils la détestaient elle et après un certain temps, elle vint à moi et me somma que nous abordions plus jamais le sujet de sa tentative de prise de poids. Ma seconde expérience de feeder se conclût aussi rapidement qu'elle débuta et je dois vous avouer que bien que je me fûs employé à vite passer outre (j'avais déjà une autre feedee, de toute façon) , je me rends compte qu'une partie de moi arbora de légers ressentitements quant à la façon odieuse dont ils le traitèrent. Et ce en dépit du fait que je fûs moi-même la cible de pareil forme d'harcèlement émotionel et psychologique par tous ces gens, y incluant elle. Ma honteuse et navrante tendance à me laisser tenter par la compassion et les secondes chances...
Nous nous sommes plus revus après 2013-14. Quoiqu'il serait possible que je sois déjà tombé une ou deux fois sur elle alors que je m'entraînais à un gym auprès de mon défunt grand frère vers 2015-17, mais elle avait tellement changée que je ne l'avais guère reconnue-- de toute façon, elle avait probablement replongée dans ses vieilles habitudes antagonisantes envers moi, à la façon dont elle m'ignorait tout aussi réciproquement. Il semblerait en effet qu'après avoir terminée ses études collégiales, elle se serait dévouée lors de son temps libre à l'haltérophilie et au culturisme - d'une façon que je soupçonne encore être un cas analogue à celle que vécut ma première feedee, à chaque fois qu'elle tentait de faire canaliser ses pulsions fétichistes en-travers le fitness et le culte d'une silhouette《 thick 》en forme de bouteille de Coke - ayant ainsi acquise pas mal de masse musculaire. Difficile d'identifier une femme de stature bien découplée et à la poitrine plate, au dos et épaules toutes élargies et aux jambes hyper-charpentées qui ferait de la fonte sur des haltères faisant près du double de votre masse corporelle, comme étant cette même étudiante chétive à la prépubescence bornée dont vous auriez tentée jadis de la faire changer en femme surobèse!
En 2019, alors que je feuilletais le fil de publications d'un camarade de collège dont nous ayions tous deux pour ami commun dans les réseaux sociaux, j'étais tombé par pur hasard sur un commentaire laissée par elle sur l'un de ses postes et, emprit de curiosité, cliqua sur son profil.
Son visage me parût un peu rondouilli sur sa photo de profil mais je m'étais simplement dis qu'elle avait simplement un peu grossie comme pas mal d'anciennes camarades de ma promotion au tournant de leur mi-vingtaine. Je m'étais toutefois demandé à quel point avait-elle changée et me mit à fureter son album de photos d'au fil de ses dernières années. Comme je l'avais soupçonné à ses photographies datant de 2015 à 2017, la localisation du gym sur les photos ainsi qu'à son physique de plus en plus excessivement musclé, l'haltérophile boudeuse que j'avais croisée en cette période fût bel et bien elle. Je fûs quelque peu choqué à cette nouvelle : jamais je ne l'aurais imaginée devenir accroc au conditionnement physique, encore moins m'éclipser en terme de force physique et de musculature. Quoiqu'il ne s'agissait guère d'une première.
Pendant que mes pensées de macho refoulé et compétitif se renforgnait davantage quant au fait de ne toujours pas avoir les moyens adéquats de m'entraîner davantage et se me savoir m'être fait encore une fois physiquement éclipser par une femme auquel j'aurais plus ou moins entretenu une forme de filiation, mon regard s'égara sur ses photos de 2018... et prit une pause.
Il semblerait de tout évidence qu'elle avait cessée de s'entraîner intensément, vu que sa masse musculaire diminua de photo de photo, au point de pousser un peu de la poitrine. Mais rendu vers la seconde moitié de cette année-là, son corps commenca à perdre en tonification et en définition. Après un mois, ces cuisses avaient perdu de leur galbe et avant même d'avoir atteint les photos de Noël, une petite femme potelée en habits amples s'était précipitamment emparée de la place de la bodybuilder d'au début de l'an.
Empli de frénésie, je furetais encore davantage ces photos. Je me suis écrié.
Quelquew semaines plus tard, je rendais visite à un vieil camarade de collège. Après quelques heures de jasette, nous nous mîmes à discuter de camarades de notre promotion auquel nous aurions gardé contact ou non. Son nom à elle entra à un moment donné en causette. Ma connaissance eût gardé de très mauvais souvenirs d'elle : elle lui était si hostile qu'ils en vinrent tous les deux à ouvertement se détester. En comparaison, elle m'appréciait pratiquement.
Lui (accent québécois) :《 Je me demande ce qu'elle est devenue...
- Moi : Oh, elle est devenue une prof en histoire, je crois... et elle pratiquait de l'haltérophilie pendant un temps.
- Lui : Comment le sais-tu?, me demanda-t-il, perplexe.
- Moi : je l'ai peut-être croisée une ou deux fois alors que je me rendais au même gym qu'elle sans m'en rendre compte... je ne l'avais pas reconnue à l'époque et puis tu la connais : elle a jamais été tout à fait commode avec moi. Mais récemment j'étais tombée sur son profil et voilà, j'ai simplement établi le lien...
- Lui : --wô une minute? lança t-il, encore plus intrigué. Elle faisait du bodybuilding?
- Moi : Ouaips... et elle était même rendu pas mal costaude.
- Lui : Donc maintenant elle est beef?
- Moi : Hm, non et oui... c'est compliqué, elle a arrêtée de s'entraîner. Et puis, je soupçonne aussi qu'elle aurait cédée à ses vieilles pulsions. Tu te souviens que je t'avais confié l'an dernier qu'elle ainsi qu'une autre copine à moi avaient toutes deux cette lubie de vouloir devenir grosses et m'abordaient tout le temps à ce sujet?
- Lui : Yes, mais-- attends, elle est rendue fat?
- Moi : pas tout à fait. Mais elle s'en rapproche.
Lui : [il trouve son profil] Elle a l'air correcte. Ses joues et sa façe me paraissent un peu chubby, mais ça arrive. Pas grand chose, vu qu'elle est déjà p'tite.
Moi : Tu devrais peut-être consulter son dernier selfie en taille complète... celui d'il y a quelques semaines, ai-je rajouté, un sourire niais et grimaçant laissant entendre qu'il devait se préparer à ce qu'il verra.
Lui : [déniche l'égoportrait en question] elle a un peu de double menton, mais me paraît quand même pô chub-- OOOH MON DIEU!!! WALLAH!!!
Moi : Yup.
Lui : Qu'est-il arrivé à ses cuisses???!!! Elle a des cuisses???!!!
Moi : Je te l'avais dis, ai-je renchéri avec une mine amusée.
Lui : Elle est donc bin devenue grosse!!
Moi : Presque grosse. 》
Mon pote et moi jetâmes une dernièrw fois un bref coup d'oeil à la petite femme ample et rondouillarde, aux bras potelés et aux cuisses charnues festoyant dans un bar avant de passer à un autre sujet de conversation.
***
Quant à la troisième feedee? Elle a prise quelques kilos pour un temps. Étant poitrinaire et un peu courtaude, le tout se stocka dans son buste déjà ample et ses cuisses. Puis son petit ami dans le temps devint un peu gras. Ils cassèrent une énième fois, possiblement en raison du fait qu'elle ne pouvait plus tolérer le fait qu'il la trompait constamment et était un hypergame de nature. Elle se convertit au véganisme, perdit du poids et devint de moins en moins sociable à mon encontre.
Éventuellement, nous nous ignorâmes l'un et l'autre et coupâmes tout contact.
***
Quant aux incidences, bref ce serait long à faire décrier. À la prochaine publication!