Mon rêve

j’aimerais trop me faire engraisser comme un porc le premier soir, avec plein de bouffe et de bière, jusqu’à ce que je tombe dans un food coma. Puis je me réveille dans une pièce sans fenêtre. Je tente de me lever mais je ne peux pas bouger, je suis attaché et un drap pend du plafond jusqu’à mon cou, m’empêchant de voir mon corps. La salle est très sombre. Je me sens bizarre à ma queue et mon cul, des tuyaux en effet y ont été installés pour que je n’ai pas besoin d’aller aux wc. Je râle et cris. Tu entre dans la pièce avec un énorme bidon.
« Ta chambre te plaît ? Tu vas rester ici quelques semaines. Tu voulais grossir, bah tu vas gonfler mon cochon ». Tu installes le bidon au dessus de ma tête , tu le relis à un tuyau que tu enfonce dans ma gorge, je te suppli une dernière fois de me laisser partir mais une fois le tuyau dans ma gorge je ne peux plus parler ni protester. Commence alors mon gavage. Ha sens le lard couler dans ma gorge et remplir vite mon ventre. Je me sens plein à craquer, le ventre tendu, et ça m’excite. Je m’endors alors et je ne fais plus que ça car je n’ai rien d’autre à faire.
Les jours passent, ou peu être les semaines. J’ai perdu la notion du temps. Je me sens si lourd. Tous les jours tu passes me voir pour changer le bidon rempli de shake hyper caloriques. Tu me regarde en faisant une grimace « -vu la vitesse à laquelle tu grossis on en a pour un moment ... t’es maigre ... tu dois devenir gros et gras pour que je te libere » alors je te crois et me dis que j’ai peut être pris que 10 kg.
Tu passes bientôt à 2 bidons par jour, puis 3 , et un jour tu me retire le tuyau de la bouche. « Laisse moi partir » en disant ces mots je remarque que le tuyau a rendu ma voix plus grave plus profonde. Et à ma surprise tu accepte de me libérer . Tu approche les vêtements avec lesquels je suis arrivé et tu me détache. Là je sens tout le poids de mon corps et c’est le choc quand tu retire le drap qui me cachait la vue.
Je suis devenu énorme, une vraie boule de lard. J’essaye de bouger mais j’ai l’impression d’être toujours attaché tellement c’est devenu physique pour moi de faire un simple mouvement. Je roule sur moi même et j’ai besoin de ton aide pour me lever. Je suis déjà essoufflé, tu apporte un miroir plein pied pour que je me regarde. Je suis choqué mais aussi hyper excité. Je touche mon gras pendant de longues minutes. Découvrant ce bide énorme, ces gros seins, ces bras et cuisses limitants mes mouvements. Je bande, je crois, je n’arrive plus à voir ma queue ni à l’atteindre.
Alors tu me coupe dans mes pensées. « Maintenant casse toi. Soit tu reste ici et tu bouffe pour grossir soit tu t’en vas. Je te laisse le choix, tu as tes fringues là » mais tu sais bien que c’est impossible que je rentre dans mes vêtements , mon t shirt servirait à peine de soutien gorge, et les cuisses ne passeront jamais dans ce jean. Alors tu vas chercher des plateaux de bouffe bien grasse et juteuse. Et tu annonce « sois tu pars dans ces vêtements ridicules, sois tu restes et tu profite de cette nouvelle vie de porc. Tu me donne faim, tu m’as rendu accro à la bouffe. Alors je m’assoit et le me gave comme un porc, sachant que l’immobilité n’est qu’une question de jours

J'adore !

vincent337 a écrit:

j’aimerais trop me faire engraisser comme un porc le premier soir, avec plein de bouffe et de bière, jusqu’à ce que je tombe dans un food coma. Puis je me réveille dans une pièce sans fenêtre. Je tente de me lever mais je ne peux pas bouger, je suis attaché et un drap pend du plafond jusqu’à mon cou, m’empêchant de voir mon corps. La salle est très sombre. Je me sens bizarre à ma queue et mon cul, des tuyaux en effet y ont été installés pour que je n’ai pas besoin d’aller aux wc. Je râle et cris. Tu entre dans la pièce avec un énorme bidon.
« Ta chambre te plaît ? Tu vas rester ici quelques semaines. Tu voulais grossir, bah tu vas gonfler mon cochon ». Tu installes le bidon au dessus de ma tête , tu le relis à un tuyau que tu enfonce dans ma gorge, je te suppli une dernière fois de me laisser partir mais une fois le tuyau dans ma gorge je ne peux plus parler ni protester. Commence alors mon gavage. Ha sens le lard couler dans ma gorge et remplir vite mon ventre. Je me sens plein à craquer, le ventre tendu, et ça m’excite. Je m’endors alors et je ne fais plus que ça car je n’ai rien d’autre à faire.
Les jours passent, ou peu être les semaines. J’ai perdu la notion du temps. Je me sens si lourd. Tous les jours tu passes me voir pour changer le bidon rempli de shake hyper caloriques. Tu me regarde en faisant une grimace « -vu la vitesse à laquelle tu grossis on en a pour un moment ... t’es maigre ... tu dois devenir gros et gras pour que je te libere » alors je te crois et me dis que j’ai peut être pris que 10 kg.
Tu passes bientôt à 2 bidons par jour, puis 3 , et un jour tu me retire le tuyau de la bouche. « Laisse moi partir » en disant ces mots je remarque que le tuyau a rendu ma voix plus grave plus profonde. Et à ma surprise tu accepte de me libérer . Tu approche les vêtements avec lesquels je suis arrivé et tu me détache. Là je sens tout le poids de mon corps et c’est le choc quand tu retire le drap qui me cachait la vue.
Je suis devenu énorme, une vraie boule de lard. J’essaye de bouger mais j’ai l’impression d’être toujours attaché tellement c’est devenu physique pour moi de faire un simple mouvement. Je roule sur moi même et j’ai besoin de ton aide pour me lever. Je suis déjà essoufflé, tu apporte un miroir plein pied pour que je me regarde. Je suis choqué mais aussi hyper excité. Je touche mon gras pendant de longues minutes. Découvrant ce bide énorme, ces gros seins, ces bras et cuisses limitants mes mouvements. Je bande, je crois, je n’arrive plus à voir ma queue ni à l’atteindre.
Alors tu me coupe dans mes pensées. « Maintenant casse toi. Soit tu reste ici et tu bouffe pour grossir soit tu t’en vas. Je te laisse le choix, tu as tes fringues là » mais tu sais bien que c’est impossible que je rentre dans mes vêtements , mon t shirt servirait à peine de soutien gorge, et les cuisses ne passeront jamais dans ce jean. Alors tu vas chercher des plateaux de bouffe bien grasse et juteuse. Et tu annonce « sois tu pars dans ces vêtements ridicules, sois tu restes et tu profite de cette nouvelle vie de porc. Tu me donne faim, tu m’as rendu accro à la bouffe. Alors je m’assoit et le me gave comme un porc, sachant que l’immobilité n’est qu’une question de jours

Excellent j’adore

Merci

J'adore aussi!

Un délice ton récit 🥰

Trop excitant ce récit, j'adore ce fantasme ,ça me fait rêver moi aussi

Aaah les vêtements trop petits…. Ce que je préfère

Bien ecrit un bonheur pour les yeux

Un rêve ! C’est tellement excitant j’en ai attraper la gaule …