Nota bene: cette histoire est entièrement fictive, bien qu'inspirée de faits réels.
Si l'histoire vous plait, je mettrais la suite
Don't judge me please ! J'en ai lu quelques une sur le site et ça m'a vraiment donné envie d'écrire la mienne ^^
Bonne lecture 🤪
*** CHAPITRE 1 ***
Ca y est, me voila arrivée à Paris! Même si j'y ai passé 2 ans dans mon enfance, je trouve toujours la capitale française aussi belle. À peine sortie de la gare Montparnasse, je repère une Audi noire garée en double file. C'est eux. La famille qui m'a engagée comme fille au pair pour 6 mois au moins. C'est une riche famille, elle avocate et lui directeur d'un grand groupe pharmaceutique français.
Tandis que le chauffeur nous ramène, moi et madame De Russ, ma "patronne", jusqu'à leur appartement, nous en profitons pour faire plus ample connaissance. J'apprends alors qu'en plus de m'occuper de Philippine, leur fille de 8 ans, je devrais jeter un œil sur Charles, leur aîné de 19 ans.
J'avoue être un peu surprise de cette annonce: étant âgée de 20 ans il me semble étrange de surveiller un garçon d'un an mon cadet.
Nous arrivons enfin, et je découvre un magnifique appartement haussmannien d'environ 200m2, que la propriétaire me fait visiter.
"Voici votre chambre et juste à côté celle de Charles" annonça la mère de ce dernier, juste avant de répondre au téléphone : "oui ? Dans 20 minutes ? J'y serais, très bien, au revoir monsieur"
Elle fit pivoter ses longues jambes fines vers moi et me lança " je dois filer, c'est urgent. Je vous laisse avec mon fils il vous aidera à vous installer. Philippine ne rentre que demain matin de chez ses grands parents, mon mari et moi-même dînons en ville ce soir, bonne soirée".
Me voilà donc seule avec Charles, dans cet immense appartement...Je vidai donc ma valise et fit le lit puis décida d'aller à la rencontre de ce fameux garçon.
Je frappa à sa porte, et il me répondit d'entrer. C'est à ce moment que je découvrit un jeune homme énorme. Pas seulement gros, non, vraiment énorme. Je pense n'avoir jamais vu quelqu'un d'aussi gros. Il était allongé sur son lit, son t shirt légèrement remonté laissant entrevoir un bourrelet. Même son menton, ses bras était hors normes. Devant une telle découverte je restai d'abord ébahie puis soudainement prise d'un frisson dans le ventre.
"Salut" dit il "je m'appelle Charles, tu dois être Aline, la fille au pair que mes parents ont engagés ?"
Tout en prononçant ces mots il tenta de se relever: sa respiration était haletante, et le seul fait de se mettre debout paru lui demander un effort surhumain.
Ainsi nous avons discutés pendant une bonne heure, avant que j'aille prendre une douche.
Tandis que l'eau chaude coulait sur mes épaules je ne pouvais m'empêcher de penser à Charles... Jamais un garçon ne m'a fait cet effet... Son corps si énorme... j'étais partagée entre le dégoût et l'envie d'en voir plus...comme attirée par toute cette graisse cachée sous des vêtements informes.
Étant en charge du repas, je décidai de faire quelque chose de simple et rapide, avec l'accord de Charles: des pates carbonara.
Trouvant un paquet d'1,5kg de tagliatelles je versa le tout dans une casserole d'eau bouillante et préparation tout le reste.. Mon dieu !j'avais fait à manger pour 15 !
J'amenais alors l'immense plat de pâtes dans la salle à manger Quand Charles lança " vient manger sur le canapé avec moi plutôt !"
Nous voilà donc sur le sofa, et je le regardais engouffrer des fourchettes énormes de pâtes, comme si il ne s'arrêterait jamais. Je n'avais jamais pris autant de plaisir à voir quelqu'un manger, et j'en voulais plus. Lorsqu'il eu fini son assiette, il se releva non sans peine, et la posa sur la table basse avant de se laisser tomber en arrière sur le canapé, faisant ainsi se mouvoir, toute la graisse de son ventre.
Alors je pris le plat et versa le reste de pâtes dans son assiette posée devant nous sur la table basse en lui lançant "vas y fini, ça sera perdu sinon !"
Presque triste il me répondit :" oh j'aimerai bien, mais j'ai déjà tellement mangé ! Je ne peux plus bouger pour attraper mon assiette !"
Je fis donc quelque chose qui ne me ressemblait pas: j'attrapais l'assiette devant lui et commença à entortiller les longues pates autour de la fourchette, avant de les amener à sa bouche. Contre toute attente, il se laissa faire. Je renouvela l'opération plusieurs fois jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sauce dans l'assiette.
Nous étions désormais très proches, et je sentais sa respiration contre ma joue. Même si cetait le fils de ma patronne je ne pouvais pas résister, en voyant son ventre si gras... je devais me rendre à l'évidence: il me plaisait et je voulais le voir grossir, jusqu'à ce que les coutures de son t shirt craquent !
Jeu 26 Mar 2020, 18:02
