Que ressentez vous à vous sentir grossir ?

Voilà, tout est dans la question, mais également à voir les autres grossir ? Qu'est ce que cela vous procure ? Sentiments, émotions, idées, envies... Je vous écoute !

Je ne sais pas vraiment, mais je trouve cela erotique de voir le corps enfler, les formes apparaitre, vetements devenir trop petit, le corps commencer a devenir plus gros que les "taille normale" de la société

En tant que Gainer :
Avoir un ventre rond et remplis me faisait me sentir super bien :3
Je pouvais le caresser et vu que mon nombril ressortait, j'avais pour objectif de le faire sentir + et péter des boutons

En tant que Feeder :
Voir un ventre rond c'est si bien *o*
Le voir progresser encore plus et le fait d'en être le Maître serait génial :p

San-Dwich tu veux dire que tu as arreter de grossir ?

Oui

Lorsque j'ai de légers fluctuations de poids, je ne ressens rien hormis des pantalons moins seyants, tout comme je ne ressens rien à maigrir non plus hormis qu'avoir l'air d'avoir une tête un peu trop disproportionné par rapport au reste de mon physique ou peaufiner puis augmenter mon relativement "peu" de masse musculaire. En ce qu'il concerne mon appréhension du feederisme néanmoins, je suis vraiment d'un manichéisme stricte : il y a celle qui grossie et il y a celui qui l'habilite à ce processus. Peut-être suis-je un machiste ou un hypocrite pour songer ainsi.

Par contre, par le peu d'expérience que je possède, je sais que les attraits les plus généralement courants que recherchèrent les quelques femmes que je connaisse qui se seraient adonnées ou s'adonnent toujours à cette activité sont:

- le désir de se sentir pleine et ballonnée du ventre. Un peu comme une sorte de fantasme freudien préliminaire au désir de devenir mère et/ou en une certaine manière une femme adulte à part entière ;

- le plaisir de sentir leurs habits s'enserrer davantage à mesure qu'elles grossissent ;

- une sorte de liberté en-dehors des diktats ubiquitaires de la minceur, de ne plus avoir à se conformer aux normes ;

- satisfaire pleinement l'étendue de leurs plaisirs gourmets sans avoir à se soucier désormais de leur ligne ;

- jeter du piquant à la dynamique d'une relation intime, telle qu'elle soit romantique, pleinement sexuelle ou ambigu ;

- faire augmenter leur charme, se sentir plus désirables ;

- développer leurs courbes, se rendre au mieux plantureuse afin de satisfaire un désir de se sentir femme : dans les plus extrêmes des cas développer des rondeurs, voire engraisser indéfiniment ;

- ressentir progressivement leur corps s’assujettir aux effets physiques et sensoriels qu'exercent leur propre poids en pleine croissance (sensations de pesanteur accrues, impression de ballonnement discontinue, changements de balance physionomique, sensation de moellesse lorsqu'elles se portent des attouchements sur soi-même, prises d'espace immédiat ambiant changeantes, changement dans la démarche et/ou le déhanchement habituels, etc) ;

- entretenir ou raviver d'un à plusieurs niveaux de jeu/x de séduction auprès du feeder ;

- explorer toutes les arcanes de l'obésité ou surobésité clinique, se glisser en la peau d'une obèse.

Je me sens m'epanouir comme une fleur qui ouvre ses petales.
Je sens quelque chose d'erotique comme martin.
Je ressens de la volupte, de la douceur, un contentement.
Je me sens comme un ocean qui s'etale sur le monde, je suis contente de prendre de la place, de ne pas me sentir toute fine toute fragile vulnerable a la merci de tous (c'est comme une carapace c'est vrai le gras).
Et quand je mange beaucoup je me sens une ogresse, je me sens fiere, puissante.

Par contre quand les vetements ne me vont plus, je n'aime pas du tout, c'est desagreable et frustrant xD.

Par contre quand les vetements ne me vont plus, je n'aime pas du tout, c'est desagreable et frustrant xD.[/quote]
Ahah mais ça veut dire que tu prend bien et que tu devien de plus en plus ronde

ptit gros a écrit:

Par contre quand les vetements ne me vont plus, je n'aime pas du tout, c'est desagreable et frustrant xD.

Ahah mais ça veut dire que tu prend bien et que tu devien de plus en plus ronde [/quote]

Je sais mais je deteste etre serree dans les vetements et devoir repasser du temps a en trouver qui sauront mettre mon corps en valeur au lieu de l'enlaidir et tout xD

pulp3 a écrit:

ptit gros a écrit:

Par contre quand les vetements ne me vont plus, je n'aime pas du tout, c'est desagreable et frustrant xD.

Ahah mais ça veut dire que tu prend bien et que tu devien de plus en plus ronde

Je sais mais je deteste etre serree dans les vetements et devoir repasser du temps a en trouver qui sauront mettre mon corps en valeur au lieu de l'enlaidir et tout xD [/quote]
J'avoue que vu de ce point vu c'est embêtant mais c'est un mal pour un bien ^^
Et pis c'est vrai que le temp de recherche pour de nouveau vêtement c'est du temp de perdu sur un bon gros goûter

John Smith X a écrit:

[...]

Par contre, par le peu d'expérience que je possède, je sais que les attraits les plus généralement courants que recherchèrent les quelques femmes que je connaisse qui se seraient adonnées ou s'adonnent toujours à cette activité [seraient] :

- le désir de se sentir pleine et ballonnée du ventre. Un peu comme une sorte de fantasme freudien préliminaire au désir de devenir mère et/ou en une certaine manière une femme adulte à part entière ;

- le plaisir de sentir leurs habits s'enserrer davantage à mesure qu'elles grossissent ;

- une sorte de liberté en-dehors des diktats ubiquitaires de la minceur, de ne plus avoir à se conformer aux normes ;

- satisfaire pleinement l'étendue de leurs plaisirs gourmets sans avoir à se soucier désormais de leur ligne ;

- jeter du piquant à la dynamique d'une relation intime, telle qu'elle soit romantique, pleinement sexuelle ou ambigu ;

- faire augmenter leur charme, se sentir plus désirables ;

- développer leurs courbes, se rendre au mieux plantureuse afin de satisfaire un désir de se sentir femme : dans les plus extrêmes des cas développer des rondeurs, voire engraisser indéfiniment ;

- ressentir progressivement leur corps s’assujettir aux effets physiques et sensoriels qu'exercent leur propre poids en pleine croissance (sensations de pesanteur accrues, impression de ballonnement discontinue, changements de balance physionomique, sensation de moellesse lorsqu'elles se portent des attouchements sur soi-même, prises d'espace immédiat ambiant changeantes, changement dans la démarche et/ou le déhanchement habituels, etc) ;

- entretenir ou raviver d'un à plusieurs niveaux de jeu/x de séduction auprès du feeder ;

- explorer toutes les arcanes de l'obésité ou surobésité clinique, se glisser en la peau d'une obèse.

Ravi de savoir que trop peu de choses ont changés, après six ans et plus d'une septante de feedees passées.

Que puis-je rajouter d'autre, comme attrait supplémentaire?

Oh oui...

- elles ont toutes ou presque indubitablement, pour ainsi dire, des problèmes de désordre psychologique, pour ne pas mâcher mes mots.

Crise d'identité. Trauma. Remise en question existentielle. Trouble de stress post-traumatique. Crise de la vingtaine, crise de quart de vie, crise de la trentaine, crise pré-ménopausale, crise de la quarantaine ou démon du midi. Dépression post-partum. Troubles de la personnalité (névrose, trouble de la personnalité limite, trouble de la personnalité bipolaire, trouble de la personnalité histrionique, trouble schizoaffectif, trouble de la personnalité antisociale, et cetera) . Dépression ou trouble maniaco-dépressif et autres maladies mentales. Dysmorphie corporelle. Hyperphagie. Anorexie. Boulimie. Troubles de la confiance en soi. Du sur-stress. La flemme de vivre. Un manque d'amour-propre. Une envie du pénis aïgue. Un besoin de compensation pour l'absence d'une figure maternelle. Une enfance ou jeunesse troublée. Des séquelles d'abus en toutes sortes. Un trouble de la personnalité hypersexuelle. L'érotomanie. La nymphomanie. Puis j'en passe.
Même l'hystérie vorace (ou 《 feeding frenzy 》en langue anglaise) , un terme duquel j'ai moi-même inventé puis fait populariser dans la blogosphère anglophone, pourrait aisément se faire couvrir par ce spectre du psyché trouble de la femme-feedee occidentale.

J'irais même me frôler, d'expérience comme d'observation personnelle, à des cas beaucoup plus extrêmes et naguères reconnues dans le domaine médical mais naguères reconnues tant bien par le milieu de la parapsychologie et des études en phénoménologie, comme au sein des religions telle que les troubles de l'âme, la possession, une exposition à des forces psychiques ou spirituelles néfastes, les séquelles d'un maléfice ou d'une force surnaturelle capable d'altérer le psyché et la personnalité humaine ou entraînant une forme hypnotique, télésthésique ou mesmérique de supression des inhibitions, voire de la possession par un/des esprit/s ou démon/s... et je ne suis guère en train de plaisanter. J'ai vu des choses, en tant que feedeur. Des choses qui vous feraient frémir d'angoisse pendant des nuits entières.

De ma vie entière, je n'ai rencontré nulle femme ayant des pulsions de faim et d'envie de se goinfrer à connotation fétichiste ou érotique, qui ne lui manquait pas une case en moins ou ne portait pas des marques de cicatrices mentales... à moins d'être une Africaine. Puis même là, c'est rendu limite avec les nouvelles générations de jeunes femmes, désormais : les poisons de l'occidentalisation comme de la pan-arabisation se sont bien infiltré, en terre africaine. Bon, trèves de politiques politicardes. ;

- elles adorent se faire dominer ou se sentir dominer. Puis vu que les femmes sont enclines à perçevoir le comportement non-verbal des gens beaucoup plus aisément que les hommes, imaginez vous un peu ce qui arrive si vous êtes le Kraven le Chasseur, Géralt de Riv, Tarzan, comte Dracula, Panthère Noire ou Yujiro Hanma《 l'Ogre 》du feedérisme... croyez-moi, vous vous mettrez par voir même des végétaliennes disciplinées aux physiques de top modèle se mettre par se transformer en des Virginie Grossats omnivores de service tout autour de vous, en un rien de temps! ;

- elles adorent le mystère, l'intrigue et le jeu. Croyez-moi, moins vous êtes relou avec ça puis plus ça leur tentent. Toutes autant qu'elles sont. Plus c'est épicé, limite, nocif et potentiellement capable de tout faire embraser, mieux ça va. Le suspense, les jeux de séduction et d'amour, les tours de passe-passe, les sensations fortes comme dans des montagnes russes émotionnelles comme le grand manège... ça les fait ramollir des genoux telles des pucelles amoureuses ;

- c'est pas forcée d'être votre petite amie.

Vous n'avez pas idée du nombre d'anciennes collègues et employeures – ou《 copines/épouses au travail 》et autres petites intrigues au job – comme de femmes en couple, de femmes mariées, de clientes, de parfaites étrangères comme d'influenceuses en réseaux sociaux, de mannequins, de top-modèles, de célébrités et autres femmes mondaines, de vedettes du porno en ligne, de saintes-nitouches auto-suffisantes comme d'ex-tutrices ou femmes-mentors ai-je envoyé se retrouver dans des situations duquelle elles se retrouvaient par ne plus savoir enfiler leur plus grosse paire de jeans ou à se sentir à bout de souffle après avoir montée quelques marches d'escalier. Voire à ne plus aperçevoir le bout de leurs orteils... ;

- se laisser aller à leurs pulsions animales. Se laisser aller, se laisser transporter dans les effets de marée de cet espèce d'état second, de transition vide entre l'euphorie et le plaisir des sens. Plus c'est charnel, mieux l'hystérie vorace s'immisce en leurs esprits. C'en est presque comme une forme d'alchimie... de... transsubstantiation, si j'ose ainsi dire ;

- enfin, bien que celle-ci soit le moins commun d'entre tous, j'ai dénoté que certaines femmes de belle apparence eet conscientes de l'attrayance qu'elles génèrenr éprouvent, telles que soit expréssément ou à demi-mots, un désir sadique mais ardent de vouloir faire《 ruiner 》leurs looks comme personnalité jusqu'à ne plus se reconnaître de corps comme d'esprit en façe d'un miroir. Elles en tirent comme une espèce de satisfaction... à se métamorphoser en des versions beaucoup moins attrayantes et à peine méconnaisables, sinon carrément moches et grotesquement obèses, de leurs anciennes moi.

Fort étrange.