un nouveau pays chapitre 2 et 3

Je suis navré pour ce retard mais je n'eu guerre le loisir d'écrire ces derniers temps entre les études et les problémes d'ordre nettement plus personnel, j'ai comme qui dirait eu un tout petit passage à vide mais ça va mieux et voilà donc la suite de cette histoire qui a l’ère de vraiment plaire


Chapitre 2 : changer les mœurs


Ce que Béti Machessa vit ce jour-là est décrit dans un rapport des plus protégés qui ne refit surface que très ressemant et que je puis donc vous montrer :


Compte rendu de la visite de la base 46.11 :


(…)Après une brève visite de la base, les scientifiques nous montrèrent le fruit de leur recherche. Ils nous firent rentrer dans une salle dont un des murs était vitré pour laisser voire une autre salle où était assis attaché nus à une chaise un des détenues qui servait de cobaye.
C’était Mattiew View un meurtrier condamné à la peine de mort, les cheveux rasé, le nez cassé, une dent en moins, un visage patibulaire, des muscle saillant couvert de cicatrice, et des yeux à vous faire faire des cauchemars.
Un tuyau descendit alors du plafond et vin s’insérer dans la bouche que le prisonniers avait ouverte après qu’un scientifique lui ai promis qu’il pourrait aller où bon lui semblerait ensuite.
Sur un écran s’afficha « 50 cl pure ». C’était la quantité de liquide qui coula dans le tuyau.
C’est alors qu’il se passa l’impensable, les muscles du cobaye se ramollir pour devenir flasque, ses pectoraux devinrent de petit seins, et une petite bedaine commença à lui pousser lui cachant bientôt son entre jambe. Son visage bouffi exprimait la plus grande surprise. Il se débâtit mais les scientifique nectaire encore 50 cl et il continua à grossir sa graisse débordant de la chaise, ses liens élastiques disparaissant sous les bourrelets. Les scientifiques s’arrêtèrent à 3 litre de produit, Mattiew View était méconnaissable.
Son postérieur cachait entièrement la chaise ses jambes étaient énormes et écarté, son gros ventre retombait jusqu’à ses genoux, ses bras était mous et gélatineux, ses seins faisait pâlir de jalousie certaine adolescentes et son visage était complètement bouffie.
Big sister félicita les scientifique qui lui assurèrent que le produit était en plus excellent pour la santé (stop au cholestérol, vitalisation du myocarde…) et pris la formule de cette nouvelle substance qu’elle baptisa « le feeder » puis repartie pour la capital.
La base 46.11 explosera malencontreusement 3 jours plus tard tuant tous les chercheurs et les cobaye.
Longue vie à Big Sister
Le colonel Nick Tuery



Le produit a par la suite était injecté en très petite quantité dans tout les aliments des Tristuriens. Ces derniers devinrent donc rapidement gros et gras, et cela ne choqua pas vraiment, tous habitué qu’ils étaient à voire des obèses à la TV et dans les magazines. De plus, Béti Machessa avait en parallèle repris en mains plusieurs infrastructures, en agrandissant les sièges dans le bus, élargissant les portes des bâtiments publiques, favorisant de plus en plus le travail à domicile.
D’ailleurs le travail était de plus en plus mécanisé, les robots remplaçant les ouvriers.


Il y eu à ce moment-là un bref moment de crise, avec un chômage qui battait son plein.
Cela fut contré par une mesure absolument inédite… l’abolition du travaille pour gagner de l’argent…


DE QUOI !!????!!!!


Big sister décida que le salaire serait banni, l’industrie entièrement mécanisé les ouvriers seraient remplacé par des criminels, quand à sa police qui avait elle aussi subit l’engraissement générale, elle fut remplacé par des robots drone issues des dernières recherches, ils étaient nommé « les bergers ».
Le travail était devenu soit une punition soit du bénévolat, l’instruction était donné par des enseignant bénévoles qui prenaient à cœur ce qu’ils faisaient, la santé était régit par des médecins et des infirmières boudiné dans leur tenue mais qui faisait leur métier avec le plus grand des plaisirs, puisque cela venait de passer dans la catégorie passe-temps, l’agriculture était entièrement mécanisé…


Les biens étaient à la portée de tous et la nourriture était distribuée un peu partout dans le pays, bien mis en avant…
Ainsi tout le monde vivait heureux en Tristurie, le bidons bien gras qui ressort du T-shirt était la mode, tout le monde passait son temps à s’amuser rêver et manger. La dernière danse à la mode qui avait remplacé le slow consisté à s’attraper l’un et l’autre par un bourrelet au niveau du ventre et à se tourner autour tout en malacsant le ventre de l’autre.


En résumé, tout le monde était gras… excepté Big sister et un petit groupe de dissident caché dans les bois… Et qui ne refirent surface qu’au bous de 3 ans emportant dans leur bagage la révolte…

cool

J'ai bien aimé la partie ou le prisonnier devient énorme ☺️ Il va y avoir une suite ?

merci, oui oui il va y avoir une suite, elle est en cour de préparation

Chouette car franchement c'est super ! 👍🏽

J'aime beaucoup !

Chapitre 3 : la révolution

Certaine personne avaient vite compris ce que manigancé Big sister, rendre la population obèse, l’engraisser comme on engraisse les cochons d’une porcherie…
Et ces personnes n’étaient absolument pas pour prendre du lard, attachaient qu’elles étaient aux anciennes valeurs guerrière, de l’époque où un Tristurien maniait nettement mieux l’épée que la
fourchette.


Ainsi, une petite armée de dissidents c’était formé dans les bois, regroupé autour d’une seule bannière, un Loup noir sous fond rouge, et commandé par un chef, le charismatique Jean Eude Vandrame, descendant directe du premier roi Jean Paul Vandrame et héritier de la couronne de Tristurie, si ce n’était pas devenu une république entre temps.
Il était grand, avec un corps sec et nerveux du guerrier, une toison blonde le faisait ressembler à un lion, ses yeux vert étaient couleur émeraude, son visage fin, allongé lui donnait des allures de prince charmant.


Au départ ce n’était que de petit tract dispersé à droite à gauche, mais à partir du moment où la police a était mécanisé les choses se sont accéléré…
Des affichent posé un peu partout « on vous ment, on vous engraisse » « vous les cochons, eux les bergers, nous les loups, ce n’est pas toujours le méchant qui nourrit le gentil » « rappelles toi quand tu arrivais encore à faire 3 abdos »…
Accompagné de raid, d’attaque d’entreprise d’agroalimentaire, des convois entiers de pizzas surgelait brulée…


La population était partagée entre la peur des terroristes, et un début de méfiance pour le gouvernement. Il était vrais qu’en très peu de temps des changements énormes c’étaient produits, mais pour le bien de la population après tout, ne vivaient ils pas tous heureux ?
Oui mais la nation est la fille de la faim et du danger, ors si les tristuriens ignoraient la faim, ils se sentait en danger, et ils voyaient très bien qu’ils n’étaient absolument plus aptes à se protéger, trop mou et pas assez rapides dans leurs mouvements.


La population se mit à faire du sport, avec des effets plus ou moins réussis dû au « feeder » toujours présent dans leur alimentation, mais ils ont essayé, de plus les manifestations éclataient dans les plus grandes villes qui dénonçaient l’état de ne pas les protéger et de les engraisser avec une substance contenu dans la nourriture (même si cela n’avait pas encore était publiquement prouvé). Cela déplut fortement à Béti Machessa, démasqué, qui mis tout en œuvre pour retrouver ces rebelles, sans grand sucée. Elle en arriva alors à son premier véritable écart en tant que dirigeante…


Elle donna un discourt où elle dit très clairement qu’en effet elle voulait les voire tous gros et gras, et que pour ça elle mettait un produit dans leur aliment mais que c’était pour leur bien, pour éviter les guerres et les conflits, pour que chacun accepte son corps et vive en harmonie avec son prochain et blablablabla…


Toujours est-il qu’elle fit une loi assez spéciale, tous les mois les gens devraient se peser sur une balance fournie par le gouvernement. Si la personne était considérait comme trop maigre par l’ordinateur elle serait arrêté et envoyé illico à Feedeetown, une sorte de camp où on engraisse les gens plus ou moins de force avant de les relâcher un certain poids atteint. Seulement 324 personnes y furent pris en charge durant les deux ans ou il fut ouvert.


En effet, les opposants, si ils faisaient grand bruit ne représentaient que 34.7% de la population, ce qui peut paraître énorme mais une fois la loi sortie, 54% des faux rebelles sont rentré chez eux la tête basse et ont mangé de la crème glacée, 25% sont allé rejoindre le groupe de Jean Eude qui ne manifestaient pas vraiment mais restaient caché dans les bois, les autres quand à eu ont tenté de résister chez eux et ont fini à feedeetown. Même si il ne faut pas oublier qu’il y eu 2% des détenue qui ont demandé à y être incarcéré alors que leur poids était largement suffisant…


Mais le véritable effet désiré par Béti Machessa ne se fit pas tarder à arriver. Jean Eude Vandrame venait de recevoir une importante augmentation de ses effectifs, ors cela était devenu nettement plus compliqué pour se cacher et pour se déplacer dotant plus qu’une partie des nouveaux venus restaient handicapé par une surcharge pondérale.
La police mécanisée ne tarda pas dès lors à trouver les dissidents et à les capturer, tous vivant.
Les révolutionnaires ont été mis au travail quant à Jean Eude Vandrame, leur chef, il fut confié à Béti Machessa elle-même qui l’accueilli dans une des salles de son palais… comme vous allez voire par la suite il en ressortie changé…

Well, j'aime pas descendre les autres qui tentent de faire quelque chose, mais là c'est un peu foiré sur pas mal de niveau.

- L'orthographe. Vraiment, je suis pas du genre à être ultra pointilleux, mais ça me sort complétement du truc quand je dois relire une phrase plusieurs fois pour la comprendre.
- C'est ultra speed comme récit. Je sais que les descriptions de 3 pages c'est long à écrire et certains n'aiment pas, mais là, 3 lignes pour présenter un nœud dramatique et le résoudre, c'est peu.
- Il y a des trucs dans l'écriture et des procédés qui me laissent perplexe. Parce que le "blablabla" et certaines comparaisons sortent de l'histoire, qui semble quand même vouloir prendre des aspects sérieux. Il y a une confusion des genres, et l'absence de développement de quoi que ce soit rend le truc un peu compliqué à envisager. Dans le chapitre 2 par exemple, aucun rapport scientifique n'utiliserait de pareilles comparaisons (Go lire des SCP si tu veux apprendre comment faire des rapports scientifiques correct).

Peut être que je suis pas du tout objectif parce que je lis en parallèle une histoire super cool sur deviant art sur le même genre de société, qui elle pour le coup est vraiment réfléchie avec un but précis.

Désolé pour la méchanceté gratuite, je me rends compte en relisant que j'ai pas noté les quelques points positifs, comme l'originalité ou l'onomastique qui est assez sympa

Joie et calin ^^

Un peu foiré, t'es modeste!!


-L'orthographe, bon je n'ai pas grand chose à rajouter si ce n'est qu'il vos m'écouter que me lire, mais je conçois que ça peut choquer.

-cette histoire est en effet très speed voir écrit à l'arrache je te l'accorde aussi et je vais y revenir.

-Je me permets de t'envoyer un petit pique quand même, dans cette partie je te trouve un peu, un tout petit peu hautain. Alors j'ai peut être mal compris mais dans ce que tu dis tu es un peu moins objectif. Sinon tout à fait il n'y a pas de développement ni des personnages ni des situations, ensuite c'est vrai que j'ai même rushé le rapport, mais ne t'en fait pas pour moi je sais en écrire des plus que corrects avec un ton sérieux objectif et professionnel.


Ensuite pourquoi je fais du si vite? tout simplement parce que on m'a demandé d'écrire cette histoire, et que si on ne me l'avait pas demandé, je ne l'aurais jamais écrite car d'une part pour moi elle n'a pas vraiment de sens "et ils vécurent heureux et gros jusqu'à la fin des temps", je cherche encore à comprendre où on peut développer, et d'autre part car pour moi le principe même est surréaliste, je n'arrive pas à trouver de sens logique à l'histoire du coup plutôt que de me perdre dans des explications je préfère passer vite fait et me concentrer sur une autre histoire que je n'ai pas fini et qui touche à sa fin.


"désolé pour la méchanceté gratuite" tu aurais dû enlever ça par contre car avec moi ce genre de formule passe pas du tout, on ne s'excuse pas d'être méchant surtout quand on est conscient de l'être, si tu y réfléchit 5 minutes ce que tu écris là ne veux rien dire (tout comme mon histoire).
D'autant plus que ce n'est pas méchant juste réaliste (quoique un brin subjectif).


"Joie et calin", roooo tu me rends obligé d'être cynique là, bon une pensé pour la dame qui à perdu son enfant en couche hier, l'enfant qui a perdu son bras à cause d'un accident de la voie publique il y a 5 jours et pour la jeune femme dans le coma depuis 2 ans décédé dans se morve il y a 2 semaines suites à une grosse infection bronchique...

Tu vois finalement moi je te trouve plutôt gentil

Oki, donc si c'est une commande faite à l'arrache, ça reste agréable ^^ Pour la partie "subjective", c'est vraiment du ressenti pur, et désolé si je parais hautain, c'est clairement pas le but. C'est juste qu'il y avait un truc bizarre dans le style, qui est indescriptuble et qui m'empêche d y accrocher...

(Et sinon, je comprends pas la fin de ton message... genre on a pas le droit de souhaiter du bonheur aux gens car d'autre souffrent ?)

merci, je n'y mets pas de réflexion très poussé dans cette histoire, D'ailleurs je sais à peine comment elle va se terminer pour tout te dire...

Ah d'accord ensuite y'en a qui aime et d'autre pas c'est normal

Non t'as pas le droit d'être désolé d'être méchant, tu peux souhaiter de bonheur de la joie mais c'est la formulation que je trouvais un peu "bisounours" du coup j'ai craqué... oups

C'est moi la coupable de cette idée

D'ailleurs je crois qu'on va en rester là pour cette histoire si ça ne vous dérange pas, j'en ai une que je préfère nettement et que j'avais envie d'écrire depuis un moment

bah vasi ecrit