Rappel : la série "Corie" est réservée à un public adulte
L'aveu
Mon Chéri,
Tu me demandes si je continue de grossir ... Mais bien sûr ! Jamais je ne te désobéirais, mon Chéri, mon Maître, mon Amour, je t’appartiens, et ce n’est pas parce que tu es parti si loin et si longtemps pour tes affaires que j’en oublie ce que tu attends de moi ! Tu pourras t’en rendre compte à ton retour, mon Amour, je serais plus grosse que jamais, mon ventre ne cesse de s’arrondir et tu seras très fier de ta petite Coco, j’en suis sûre !
Seulement, mon Chéri, mon Homme que j'aime, je dois t’avouer quelque chose dont j’ai un peu honte, mais que je ne saurais te cacher plus longtemps : si je me remplis la panse à longueur de journée, si je ne fais même plus guère que cela, ce n’est pas uniquement pour te plaire et pour t’obéir, même si naturellement je tiens par-dessus tout à te plaire et à t’obéir, mais c’est aussi parce que j’en ai besoin, parce que de toutes les façons je ne peux pas faire autrement, parce que je ne peux plus vivre sans constamment me gaver, c’est une sensation telle que je ne pourrais plus m’en passer désormais, même un seul jour. Et, pour tout te dire, mon Chéri, mon bel Amant, cela me fait foutrement peur ! Je présume que je serai bientôt prisonnière de mon propre corps, devenu trop lourd pour que je puisse encore me mouvoir. Je serai alors pour toi une charge de chaque instant, et toi, mon Chéri, mon Amour, tu as tes affaires, ta vie, tu ne peux pas être là, à prendre soin de moi, en permanence. Tu me mettras peut-être au régime, ce que je ne supporterais pas, ou bien tu me chasseras, et moi, je serais perdue !
Je sais au fond de moi que je n’ai plus aucune limite désormais, que je ne cesserais plus jamais de grossir. Mais qui veillera à ce que je n’aie pas le ventre vide, si je ne peux plus me rendre par moi-même dans les bars de notre ville ? Qui me baisera si je ne peux plus lever par moi-même tous ces amants rendus fous par les énormes nichons que tu m’as si gentiment offerts ?
Tu le sais bien, mon Chéri, mon Prince, je grossis de plus en plus vite, tu m’as pesée juste avant ton départ, il y a trois semaines, j’en étais déjà à 164 kilos, ce qui veut dire que je m’étais mis plus de 5 kilos en un seul mois, et Dieu seul sait combien je pèse aujourd’hui … Je suis tellement lourde que je ne peux marcher qu’une dizaine de mètre sans être complètement essoufflée, je ne peux plus m’asseoir normalement à une table, entre elle et moi il y a ce bide énorme qui pèse de plus en plus lourd sur mes jambes, qui prend de plus en plus de place, qui m’empêche de mettre mes chaussures, de conduire, je suis sérieusement entravée dans chacun de mes mouvements, j’entre tout juste dans l’ascenseur, et, tôt ou tard, putain, je ne pourrai même plus me lever de mon lit …
Comprends-moi, bien, mon Chéri, mon Amant préféré entre tous, mon Maître : j’aime mon ventre, je passe même beaucoup de temps nue devant le grand miroir de notre chambre à le regarder, à l’observer, de face, de profil, à l’imaginer plus proéminent encore et bien sûr je mouille beaucoup dans ces moments là. Lorsque je me retourne, péniblement, dans mon lit, je sens cette masse qui roule, se répand, s’affaisse, et là également, je mouille. Je ne crains pas du tout d’être encore plus enrobée, d’être paralysée même par ma propre opulence, c’est un tel plaisir d’être si grosse ! S’il le faut, je me contenterai de vivre sur Second Life, où l’on peut voler quel que soit son poids, et dans la vraie vie, et bien, je continuerai de me goinfrer.
Mais je dépends déjà de toi pour le fric parce que je ne peux plus bosser dans l’état où tu m’as mise, affamée, assoiffée, mais toujours somnolente, bourrée parce que je bois tellement de bière, dans l’attente d’un homme qui me prenne et me comble, la chatte chaude, l’estomac plein, la peau tendue, le ventre gonflé, le corps empesé. Bien sûr, jusqu’ici tu as complètement assumé, puisque je n'ai fait que me conformer à tes exigences. Mais si tu ne peux plus m’exhiber devant tes potes, comme tu aimes tant le faire, que vais-je devenir ? Me garderas-tu à tes côtés ? Continueras-tu à prendre soin de moi ? Et si je me retrouve seule, en manque, sans ressources ?
Pour le moment, lorsque tu n’es pas là pour prendre soin de moi et m’ordonner tout ce que je dois faire, je peux encore prendre le taxi, aller en ville, je peux me trouver des mecs qui ne demandent qu’à me baiser (depuis que tu es parti, je crois que je m’en suis fait une petite demi-douzaine), mais que ferais-je si cela n’est plus possible ?
Vraiment je me le demande. Cathy dit que je n’ai pas de souci à me faire. « La ferme, grosse Coco » qu’elle me dit tout le temps, « je m’occuperai de toi », et puis elle m’attache sur une chaise et elle me met un entonnoir dans la bouche et elle le remplit de crème glacée et elle me dit « Avale, grosse Coco, je sais que tu aimes » (et c'est vrai que j'aime) et elle me caresse de partout et elle me force à bouffer (je dois reconnaître que j'adore ça ...) et elle me dit « grosse Coco je t’aime » et elle m’embrasse, et elle me dit que je suis d’une exceptionnelle beauté, qu’aucune femme au monde ne peut rivaliser avec moi, et que si jamais tu m’abandonnais elle ferait de moi sa nana. Mais elle dit aussi que malheureusement pour elle, tu ne m’abandonneras pas et qu’elle sait bien qu’elle n’a pas de bite et que, moi, je ne pense qu’aux bites …
Je suis très fatiguée et j’ai faim. Je vais devoir te laisser. Je t’embrasse, mon Chéri, mon Amour. Je te souhaite plein succès dans tes affaires, j’espère que tu auras quand même trouvé le temps de faire l'amour à quelques belles américaines obèses à souhait. Je veux que tu me racontes tout des femmes que tu baises quand tu n’es pas avec moi. Est-ce qu’elles s’offrent à toi de la même manière que moi ?
Reviens vite, tu me manques tellement.
Coco