Esclave
Lou chérie,
Oui, c’est vrai, cela fait plus de 3 mois maintenant que je suis partie vivre chez Steve, sans vous prévenir, Gina et toi. Ce n’était pas mon intention, tu le sais bien. Je suis allée chez lui pour une soirée, une nuit, et depuis lors je n’ai plus quitté cet homme qui m’a découverte, comblée, comme aucun autre ne l’avait fait avant lui. Il est devenu mon amoureux, mon ami, mon amant, mon maître. Je lui suis totalement dévouée et soumise ! Pour lui, je ne cesse de manger et de boire, jour après jour, tant il m’aime pour mon corps imposant et lourd, mon ventre si rond et si proéminent, ce ventre de gloutonne acharnée qu'il trouve extrêmement sexy. Pour lui, je m’empiffre à longueur de journée, parce qu’il me veut plus grosse encore et que cela m’enchante tellement. Pour lui, je me remplis de bière jusqu’à l’ivresse, nuit après nuit, parce qu’il veut mon ventre énorme, indécent, et que cela m’excite infiniment. J’aime qu’il m’entraîne ainsi au-delà de mes limites. J’aime qu’il me complimente sans cesse pour l’opulence et la beauté de mes formes, j’aime qu’il me désire et me prenne si violemment, si souvent, ne cessant de me féliciter d’être si belle, si ronde et si chaude.
Je ne suis vraiment bien, maintenant, que lorsque mon estomac est plein, si plein que le haut de mon ventre devient dur comme de la pierre, que j’ai de la peine à souffler ... J’ai découvert qu’il m’était possible de me remplir la panse presque constamment, que ma gourmandise ne connaissait pas de limite, et maintenant je ne peux plus me passer de ce sentiment de plénitude absolue, très proche de l’orgasme, que j’éprouve chaque fois que je suis pareillement gonflée, gorgée, saturée. Je vis dans un état second, constamment avide de plaisir, de sexe et de bouffe. Je ne crains aucun excès et naturellement je prends du poids, je me sens de plus en plus lourde, et c’est une sensation merveilleuse.
J’ai d’ailleurs pris presque deux kilos d’un seul coup, il y a trois semaines, quand je suis allé me faire faire les mégas nichons dont j’avais toujours rêvé. Cela n’a pas été facile de convaincre le toubib de me poser les plus gros implants possibles, mais Steve a fait je ne sais quoi pour qu’il la ferme et qu’il fasse son travail. Lorsque j’ai pu les voir pour la première fois après l’opération, j’ai pleuré de joie en dépit de la douleur qui était encore vive. Maintenant, je les vois chaque fois que je baisse un peu la tête (ce qui devient difficile avec le menton que je me paie) et cela suffit à rendre ma petite chatte toute humide ...
Steve me baise encore plus souvent. Il m’ordonne de monter sur la table, de me coucher sur le dos, le cul tout au bord, à portée immédiate de son sexe, là où un demi-cercle a été scié dans le plateau pour laisser de la place à mon ventre lorsque je suis assise pour manger ou pour boire, j’écarte et je plie les jambes, les pieds posés de chaque côté de mon maître, cela fait remonter mon ventre, il se répand de chaque côté de moi, et lui, l’homme auquel j’appartiens, il peut me pénétrer tout aussitôt, aisément. Je suis bien trop lourde pour bouger, je me laisse faire, il me caresse, il prend mon ventre dans ses mains, il va et vient en me répétant que je suis sa déesse sublime, on entend alors le bruit de la bière dans mon ventre, et ce n’est qu’au moment où je hurle mon plaisir qu’il se lâche lui aussi pour me remplir de sa jolie foutre de FA.
Steve n’est pas toujours là, souvent il vaque à ses affaires, mais il a vu à quel point j’aimais que l’on me goinfre et que l’on me baise, et il n’a pas hésité longtemps avant d’appeler son pote Gros Marco à la rescousse, le mec énorme que j’avais rencontré lorsqu’il avait organisé sa petite orgie pour me présenter à ses amis.
Quand il est revenu, j’étais nue, ainsi que Steve l’exige généralement lorsque nous sommes à la maison, il m’a immédiatement désirée, très ostensiblement, cela m’a tout de suite excitée, tu me connais, mais je n’ai pas trop osé lui demander de me prendre, je ne voulais pas faire de mal à mon chéri. Mais lui, il a très vite tout compris et c'est en me regardant avec le sourire qu'il a dit :
- Gros Marco. Je dois partir. Fais moi plaisir, occupe toi d’elle. Fais là jouir encore. Prends soin d’elle aujourd’hui. Fais le pour moi.
Gros Marco a alors enlevé son jeans, il s’est couché sur le lit, à mes côtés, il a pris son énorme bedaine dans ses mains et l’a remontée le plus haut possible, pour dégager son sexe qui s’est immédiatement dressé, puissant et dur, et il m’a ordonné de m’empaler sur lui sans plus attendre.
Je me suis débrouillée pour enjamber Gros Marco, je me suis tout de suite exécutée, cela va de soi, j’ai adoré chevaucher ce mec qui a un bide plus monstrueux encore que le mien, même si cela m’a complètement épuisée, putain je suis devenue tellement lourde ! Steve est alors parti en se déclarant très heureux de me laisser entre de bonnes mains.
J’ai aussi eu droit plusieurs fois à la visite de Cathy, elle aussi s’est occupée de moi à la demande de Steve, c’est une tigresse, une folle, elle m’a carrément attachée et elle m’a forcée à boire je ne sais combien de milk shake avant d’enfoncer un gros vibromasseur là où il faut avant de me demander si j’avais "encore besoin de quelque chose". Elle est éprise de mon corps et évidemment ce n’est pas pour me déplaire, j’aime que l’on ait envie de moi.
Enfin, voilà, je crois que je m’habitue à cette vie de paresse extrême, de jouissance, de plénitude charnelle, sexuelle. Je suis le plus souvent repue, bourrée, entreprise par ces hommes qui me désirent violemment, incitée à tous les excès, dépendante de leur bon vouloir. Je suis l’esclave de mon ventre et l’esclave de ces mecs et de cette meuf qui aiment me voir affamée, assoiffée, excitée, et que mon embonpoint en constante expansion fait bander.
Cathy m’a acheté un bermuda noir en licra que mon ventre recouvre presque entièrement, il tombe maintenant à mi-cuisse et je dois le soulever à chaque pas ce qui ne va pas de soi, je te prie de me croire, et puis elle m’a offert un débardeur blanc forcément trop juste pour moi, et une veste en jeans ridiculement petite . Elle s’est arrangée pour que je me balade le ventre à l’air et pour que tout le monde voie mes gros seins. Je suppose que je suis assez indécente et que c’est exactement ce que Steve lui a demandé. Elle m’emmène en ville, au cinéma, au restaurant … Impudique, elle ne peut pas s’empêcher de m’embrasser à tout bout de champ, langoureusement, une main sur la peau nue de mon ventre, et de me chuchoter qu’elle m’aime. Moi, je rentre toujours complètement crevée, essoufflée, j’avais perdu l’habitude de marcher, mais cela me fait du bien de sortir un peu, surtout que c’est à chaque fois l’occasion de me descendre quelques hamburgers, quelques barquettes de frites mayonnaise et quelques bières.
Steve m’a pesée et il m’a dit que je faisais déjà 144 kilos (moi, avec mes nichons et avec mon bide, je ne vois évidemment plus la balance, mais je crois ce que me dit mon gros chéri).
Je ne peux pas rentrer à la maison. Qui s’occuperait de moi ? Je ne me vois pas aller seule au supermarché, à pied, dix fois par jour, pour acheter tout ce dont j’ai besoin pour ne pas rester le ventre vide. Et vous, vous avez vos études, votre travail … Pour le moment donc je reste ici. Mais peut-être pourrions-nous organiser une petite fête et inviter Steve, Gros Marco et Cathy, pour qu’ils puissent faire votre connaissance et que l’on puisse s’amuser un peu, tous ensemble ? J'aimerais bien que vous puissiez voir combien je me suis arrondie en si peu de temps !
Coco