Petit texte post apo, un monologue de feeder féminin, en deux versions pour les lecteurs feedees féminins et masculins ! ^^
Lectrice Féminine
Alors, est-ce que ma laie a grandi encore ? Je sais que t’as fini ta croissance, je parlais en largeur. Quelle question... Évidemment que tu t’es engraissée. Depuis que l’on a trouvé cet immense stock de converses, tu ne fais que te gaver. Telle une bonne grosse vache à l’époque où il y avait encore des pâturages, tu fais du lard, et tu grossis, tu grossis sans fin...
Tu manges sans y penser, t’enfournes des tonnes de nourriture pleines de graisse et de sucre dans ta bouche, sans même t’inquiéter à quel point tu exploses ton niveau de calories journalier. Parce que rien n’a d’importance, hein ? Rien du tout ne t’intéresse, mis à part élargir, alourdir ton corps. Tu sens la graisse qui s’accumule sous ta peau, qui te fait des poignets d’amour et des bourrelets.
Tu sais ce qui va être drôle ? Quand on va éventuellement devoir bouger des ruines de ce supermarché et traverser le désert, tu comptes faire comment ? Tu as déjà bien dépassé le point de l’obésité. Regarde moi ce corps mou, flasque et rebondi... Mais quel physique de survivante ! Quelle vrai guerrière tu fais avec tes kilos en trop et ton double menton...
Y’a pas un muscle là dedans, ma grosse ! Juste une couche de gras aussi épaisse que le sable qui recouvre tout, et au cœur de ça, un énorme estomac, que tu passes ton temps à remplir sans jamais être pleine... S’il y a quelque chose que tu arrives à faire, c’est manger. Une véritable cochonne, qui dévore ce qu’il y a devant elle, sans avoir conscience que son corps prends du poids et prends de la valeur. Oh oui, je pourrais bien te revendre, je suis sûre qu’il y a du monde qui voudrait avoir la survivante la plus grasse du monde pour s’amuser un peu.
Ne me regarde pas comme ça, je vais te garder. C’est bien plus amusant pour moi de voir comment tu ravages ton corps repas après repas, comment tu engraisses un corps auparavant si frêle en une célébration de l’hédonisme. Je peux me moquer de toi sans aucun souci, puisque tu est incapable de te défendre. Tu me laisses répéter encore et encore que tu n’est qu’une laie inutile qui mange sans jamais s’arrêter.
Oh, mais qu’est-ce que je vais faire d’un gros tas comme ça... Tu sais que tu es assez grasse pour me servir de lit ? Et ne crois pas que je vais me gêner pour en profiter. Tu n’as pas assez de force pour m’opposer la moindre résistance, pauvre bétail obèse. Il y a tellement de graisse sur tes bras que tu peux à peine les bouger. Oh, tu essayes de me prouver le contraire ? Mais regarde ça, tu es déjà en manque d’oxygène. Ta respiration est si forte, et ton visage est rouge... Exténuée, ou honteuse ? C’est probablement les deux, n’est-ce-pas ?
Dans un monde où tout le monde essaie de survivre, toi tu t’engraisses plus que la plupart des gens de l’époque où l’on pouvait vivre paisiblement. Tu n’as donc que la bouffe en tête, hein ? Tu passes chaque moment de ta vie à enfoncer de la nourriture dans ta bouche, ou à rêver de le faire, pas vrai ? Ça fait quoi de vivre ton rêve alors ? Le rêve de n’être rien d’autre que du bétail, vivant pour grossir...
Et je suis sûre que ça te plaît. T’arrondir, t’alourdir, prendre du volume, devenir faible et inutile, une vrai boule de graisse, existante juste pour te gaver d’avantage. Tu sais ce que j’aimerais voir ? Que t’essayes de marcher, pour voir au bout de combien de pas tu te plains de n’avoir plus de force, et au bout de combien tu es à bout de souffle. Je compterai avec plaisir.
Oh, tu essayes vraiment ? Tu as réussi à te tenir debout, c’est un... Bon départ ? Allez, tu vas pas me faire croire qu’un pas est trop. Tu peux continuer, hein ? Laisse-moi t’aider. Oups ! Héhé, on ne tient pas debout ? Allons, j’ai juste posé ma main sur ton ventre, ce n’est pas de ma faute si t’es autant un gros tas. Tellement grasse que tu ne peux pas garder ton équilibre... C’est parce que tu es si gloutonne que tu n’as même pas pu t’habituer à ton propre poids. T’es une belle grosse laie.
Je compterai également le nombre de repas te séparant du moment où plus aucun de tes vêtements ne t’iront, car tu sera bien trop grasse pour rentrer dedans... A ce rythme, ça ne devrait pas tarder, pas vrai, ma vache obèse ?
Héhé... Tu sais, j’ai menti à propos d’un truc. On n’aura pas à traîner ton gros cul hors d’ici. Et oui, j’ai fait le calcul. T’auras beau te gaver autant que tu veux, il y a juste trop de nourriture impérissable ici pour que tu sois un jour à court. Donc c’est parti pour du pur engraissage de bovin, hein ? Je sais que je vais bien m’amuser à voir à quel point je peux te faire prendre de la place...
Lecteur Masculin
Alors, est-ce que mon porc a grandi encore ? Je sais que t’as fini ta croissance, je parlais en largeur. Quelle question... Évidemment que tu t’es engraissé. Depuis que l’on a trouvé cet immense stock de converses, tu ne fais que te gaver. Tel une bonne grosse vache à l’époque où il y avait encore des pâturages, tu fais du lard, et tu grossis, tu grossis sans fin...
Tu manges sans y penser, t’enfournes des tonnes de nourriture pleines de graisse et de sucre dans ta bouche, sans même t’inquiéter à quel point tu exploses ton niveau de calories journalier. Parce que rien n’a d’importance, hein ? Rien du tout ne t’intéresse, mis à part élargir, alourdir ton corps. Tu sens la graisse qui s’accumule sous ta peau, qui te fait des poignets d’amour et des bourrelets.
Tu sais ce qui va être drôle ? Quand on va éventuellement devoir bouger des ruines de ce supermarché et traverser le désert, tu comptes faire comment ? Tu as déjà bien dépassé le point de l’obésité. Regarde moi ce corps mou, flasque et rebondi... Mais quel physique de survivant ! Quelle vrai guerrier tu fais avec tes kilos en trop et ton double menton...
Y’a pas un muscle là dedans, mon gros ! Juste une couche de gras aussi épaisse que le sable qui recouvre tout, et au cœur de ça, un énorme estomac, que tu passes ton temps à remplir sans jamais être plein... S’il y a quelque chose que tu arrives à faire, c’est manger. Un véritable cochon, qui dévore ce qu’il y a devant lui, sans avoir conscience que son corps prends du poids et prends de la valeur. Oh oui, je pourrais bien te revendre, je suis sûre qu’il y a du monde qui voudrait avoir le survivant le plus gras du monde pour s’amuser un peu.
Ne me regarde pas comme ça, je vais te garder. C’est bien plus amusant pour moi de voir comment tu ravages ton corps repas après repas, comment tu engraisses un corps auparavant si frêle en une célébration de l’hédonisme. Je peux me moquer de toi sans aucun souci, puisque tu est incapable de te défendre. Tu me laisses répéter encore et encore que tu n’est qu’un porc inutile qui mange sans jamais s’arrêter.
Oh, mais qu’est-ce que je vais faire d’un gros tas comme ça... Tu sais que tu es assez gras pour me servir de lit ? Et ne crois pas que je vais me gêner pour en profiter. Tu n’as pas assez de force pour m’opposer la moindre résistance, pauvre bétail obèse. Il y a tellement de graisse sur tes bras que tu peux à peine les bouger. Oh, tu essayes de me prouver le contraire ? Mais regarde ça, tu es déjà en manque d’oxygène. Ta respiration est si forte, et ton visage est rouge... Exténué, ou honteux ? C’est probablement les deux, n’est-ce-pas ?
Dans un monde où tout le monde essaie de survivre, toi tu t’engraisses plus que la plupart des gens de l’époque où l’on pouvait vivre paisiblement. Tu n’as donc que la bouffe en tête, hein ? Tu passes chaque moment de ta vie à enfoncer de la nourriture dans ta bouche, ou à rêver de le faire, pas vrai ? Ça fait quoi de vivre ton rêve alors ? Le rêve de n’être rien d’autre que du bétail, vivant pour grossir...
Et je suis sûre que ça te plaît. T’arrondir, t’alourdir, prendre du volume, devenir faible et inutile, une vrai boule de graisse, existant juste pour te gaver d’avantage. Tu sais ce que j’aimerais voir ? Que t’essayes de marcher, pour voir au bout de combien de pas tu te plains de n’avoir plus de force, et au bout de combien tu es à bout de souffle. Je compterai avec plaisir.
Oh, tu essayes vraiment ? Tu as réussi à te tenir debout, c’est un... Bon départ ? Allez, tu vas pas me faire croire qu’un pas est trop. Tu peux continuer, hein ? Laisse-moi t’aider. Oups ! Héhé, on ne tient pas debout ? Allons, j’ai juste posé ma main sur ton ventre, ce n’est pas de ma faute si t’es autant un gros tas. Tellement gras que tu ne peux pas garder ton équilibre... C’est parce que tu es si glouton que tu n’as même pas pu t’habituer à ton propre poids. T’es un beau gros porc.
Je compterai également le nombre de repas te séparant du moment où plus aucun de tes vêtements ne t’iront, car tu sera bien trop gras pour rentrer dedans... A ce rythme, ça ne devrait pas tarder, pas vrai, mon cochon obèse ?
Héhé... Tu sais, j’ai menti à propos d’un truc. On n’aura pas à traîner ton gros cul hors d’ici. Et oui, j’ai fait le calcul. T’auras beau te gaver autant que tu veux, il y a juste trop de nourriture impérissable ici pour que tu sois un jour à court. Donc c’est parti pour du pur engraissage de bovin, hein ? Je sais que je vais bien m’amuser à voir à quel point je peux te faire prendre de la place...