ChatGPT pète les plombs

Salut, je me suis un peu amusé avec ChatGPT en lui demandant d'écrire une histoire un peu borderline et il s'est complètement pris au jeu en allant beaucoup plus loin que ce à quoi je m'attendais. Voici ce que ça donne:

Dans le royaume fantastique, il y avait deux princesses, Amélie et Léa, qui se disputaient le trône avec acharnement. Les deux sœurs étaient très différentes l'une de l'autre, tant en termes de personnalité que de préférences.

Un jour, alors qu'elles étaient toutes les deux dans la salle du trône, Amélie s'adressa à sa sœur Léa : "Tu sais très bien que je suis la plus apte à gouverner ce royaume. J'ai une expérience et une sagesse bien plus grandes que toi."

Léa répliqua aussitôt : "C'est faux ! Tu es trop rigide et trop sévère avec notre peuple. Moi, je suis plus à l'écoute de leurs besoins et je suis prête à faire des compromis pour améliorer leur vie."

Amélie ne se laissa pas démonter et rétorqua : "Mais c'est justement pour cette raison que je suis la mieux placée pour gouverner. Notre peuple a besoin d'une main ferme pour être dirigé, sinon il sombrera dans le chaos."

Léa soupira, exaspérée par les arguments de sa sœur. "Tu ne comprends rien ! Les gens ont besoin d'être écoutés et compris, pas simplement dirigés. Tu es trop rigide, tu n'es pas capable de comprendre ça."

Les deux princesses se regardèrent en silence, chacune campant sur ses positions. La situation semblait sans issue et il était clair que la dispute allait continuer pendant longtemps encore.

Les conseillers royaux avaient passé des heures à discuter des mérites de chacune des princesses, mais ils n'arrivaient pas à se mettre d'accord sur qui méritait le plus de régner sur le royaume. Ils avaient essayé de trouver des compromis, mais aucun ne semblait satisfaisant pour les deux parties.

Finalement, la reine mère intervint dans la discussion. "Mes chères filles, vous êtes toutes les deux brillantes et méritez toutes deux de régner sur le royaume. Mais il est impossible de départager les deux prétendantes. Nous devons trouver une solution qui convienne à tout le monde."

Amélie et Léa se regardèrent, toutes deux curieuses de savoir ce que leur mère avait en tête. La reine mère reprit : "Je propose que vous régniez toutes les deux sur le royaume. Vous pourrez partager les responsabilités et travailler ensemble pour le bien-être de notre peuple."

Amélie et Léa étaient sceptiques, mais la reine mère insista : "Pensez-y bien. Vous êtes plus fortes ensemble que séparément. Et cela pourrait apporter un nouvel élan à notre royaume."

Les deux princesses se regardèrent en silence, réfléchissant à la proposition de leur mère. Finalement, Léa sourit timidement et se tourna vers sa sœur. "Je suis d'accord pour partager le trône avec toi, Amélie. Ensemble, nous pourrons faire de grandes choses."

Amélie sourit à son tour, heureuse de cette proposition. "Je suis ravie que tu sois d'accord, Léa. Ensemble, nous allons révolutionner ce royaume."

Les conseillers royaux sourirent également, heureux que la dispute soit enfin résolue. Le royaume avait maintenant deux dirigeantes, et les deux princesses avaient la chance de montrer leur talent et leur sagesse en travaillant ensemble pour le bien commun.

Une semaine après l'arrangement de la reine mère, une fée mystérieuse arriva dans le royaume. Elle avait le pouvoir de faire apparaître des pâtisseries à l'infini, ce qui rendit tout le monde très curieux. Elle se dirigea directement vers la salle du trône, où les deux princesses étaient en train de travailler.

"Bonjour, vos altesses," dit la fée en souriant. "Je suis venue vous proposer une solution à votre problème de succession royale."

Les deux princesses échangèrent un regard dubitatif. "Et quelle est cette solution ?" demanda Amélie.

"Une compétition peu orthodoxe," répondit la fée. "La princesse qui deviendra la plus grosse et la plus grasse à la fin de la semaine remportera le trône."

Amélie et Léa échangèrent un regard sceptique. "Nous sommes des princesses, pas des cochons," dit Léa avec mépris.

La fée sourit doucement. "Je comprends vos réticences, mais écoutez-moi. Cette compétition vous permettra de montrer votre capacité à profiter des plaisirs de la vie, ainsi que votre force de caractère et votre détermination. Qui que vous soyez, la personne qui gagnera méritera le trône."

Amélie et Léa se regardèrent, hésitantes. Finalement, elles acceptèrent le défi.

La semaine passa rapidement, et les deux princesses se mirent à manger tous les desserts qu'elles pouvaient trouver. Elles mangèrent des tartes, des gâteaux, des bonbons, et même de la crème chantilly directement dans le pot. Elles mangèrent tellement qu'elles finirent par se sentir malades.

Le jour de la fin de la compétition arriva enfin, et les deux princesses se pesèrent. Elles avaient toutes les deux pris exactement le même poids.

"Comment cela est-il possible ?" demanda Léa, surprise.

Amélie sourit. "Je suppose que nous sommes aussi fortes l'une que l'autre, même dans notre capacité à manger des sucreries."

La fée sourit à son tour. "Je vois que vous avez compris le véritable but de cette compétition. Vous êtes toutes les deux des princesses capables et dignes de régner sur ce royaume. Il ne nous reste plus qu'à trouver une autre façon de départager les deux prétendantes."

Les deux princesses échangèrent un sourire complice. Elles savaient qu'elles étaient toutes les deux destinées à régner sur le royaume, que ce soit ensemble ou séparément. Et cela ne dépendait pas du poids qu'elles avaient pris en mangeant des pâtisseries.

Après la compétition, le royaume tout entier avait les yeux rivés sur les deux princesses, Amélie et Léa. Elles étaient devenues les sujets de toutes les conversations et leur récente prise de poids était au centre de toutes les discussions.

Un prince étranger avait entendu parler de la compétition et était venu spécialement pour voir les deux princesses. Le prince ne pouvait s'empêcher de penser à la princesse qui avait pris le plus de poids. Il était fasciné par la façon dont sa robe moulait son ventre arrondi et comprimé, qui ondulait à chacun de ses pas.

Un soir, lors d'un grand bal donné en l'honneur des princesses, le prince ne pouvait détacher ses yeux de la princesse en robe moulante. Il se rapprocha d'elle et lui demanda de danser. La princesse, surprise, accepta.

Ils se mirent à danser lentement, leurs corps se frôlant doucement. Le prince sentit les courbes de la princesse sous ses mains, et il ne pouvait s'empêcher d'être ému par sa beauté et son charme. Il avait l'impression que le monde entier avait disparu, et qu'il n'y avait plus que lui et la princesse.

Cependant, l'autre princesse, Léa, regardait la scène avec jalousie. Elle avait toujours été la favorite du prince et ne pouvait pas supporter de le voir dans les bras de sa rivale. Elle fit semblant de ne pas se soucier de ce qui se passait, mais elle ne pouvait pas empêcher son cœur de battre plus vite.

Finalement, la danse se termina et le prince salua la princesse avec un sourire éblouissant. Il retourna ensuite auprès de Léa, qui essaya de cacher sa jalousie. Cependant, elle ne pouvait pas s'empêcher de se demander si elle avait perdu sa place dans le cœur du prince.

La compétition avait peut-être été terminée, mais les rivalités et les intrigues du royaume fantastique n'étaient pas encore terminées. Les deux princesses devaient maintenant faire face à de nouveaux défis pour prouver leur valeur et leur mérite pour le trône.

La jalousie de Léa à l'égard de sa sœur Amélie était de plus en plus intense. Elle ne pouvait pas supporter l'idée qu'elle puisse perdre le trône au profit de sa sœur. Cette frustration la poussait à manger toujours plus, et elle prenait du poids à vue d’œil.

Son corset, qui avait déjà été serré au maximum, devenait de plus en plus inconfortable et ne pouvait plus contenir son ventre rond. Les baleines grinçaient et se déformaient sous la pression, et Léa avait de plus en plus de mal à respirer.

Pourtant, même si elle avait du mal à se déplacer et à respirer, Léa ne pouvait pas s'empêcher de continuer à manger. Elle était comme hypnotisée par la nourriture, qui la rendait à la fois heureuse et triste.

Mais même si elle était malheureuse, son état attirait l'attention du prince. Il ne pouvait pas s'empêcher d'être fasciné par la façon dont son corps se transformait sous l'effet de la nourriture. Il la regardait avec un mélange de désir et de pitié, sachant qu'elle souffrait mais ne pouvant pas s'empêcher d'être attiré par son corps rond et généreux.

Lorsqu'ils se croisaient dans les couloirs du château, le prince ne pouvait pas s'empêcher de regarder le ventre de Léa, qui dépassait maintenant de son corset. Il la trouvait de plus en plus belle, même s'il savait qu'elle souffrait.

Amélie, quant à elle, ne pouvait pas comprendre pourquoi sa sœur continuait à manger autant alors qu'elle avait déjà remporté la compétition. Elle essayait de l'aider en lui proposant des exercices et des régimes, mais Léa refusait obstinément, préférant manger plutôt que de perdre du poids.

La rivalité entre les deux sœurs avait atteint un nouveau niveau, avec Léa qui était de plus en plus jalouse et Amélie qui essayait désespérément de la sauver de son propre appétit. Le prince était le témoin silencieux de cette lutte, observant les deux princesses avec fascination et un certain malaise.

Le banquet organisé pour l'anniversaire de Léa était fastueux. Les tables étaient couvertes de plats délicieux et les invités étaient habillés de leurs plus beaux atours. Léa était excitée à l'idée de manger autant qu'elle le voulait et de montrer au prince à quel point elle pouvait être gourmande.

Au début du repas, tout se passa bien. Léa mangeait avec enthousiasme, goûtant à tous les plats qui lui étaient proposés et riant avec les autres invités. Amélie était assise à côté d'elle et la surveillait, inquiète de la façon dont sa sœur pouvait réagir à une trop grande quantité de nourriture.

Mais au fur et à mesure que le temps passait, Léa commença à perdre le contrôle. Elle mangeait de plus en plus vite, sans même prendre le temps de savourer les plats. Sa respiration devenait difficile et sa robe, déjà trop serrée, commençait à craquer aux coutures.

Le prince, assis de l'autre côté de la table, était fasciné par le spectacle de Léa. Il ne pouvait pas détourner les yeux de son ventre qui dépassait maintenant largement de son corset. Il était à la fois horrifié et attiré par la vision de cette princesse en train de se goinfrer de nourriture.

Amélie remarqua le regard du prince et comprit immédiatement ce qui se passait. Elle décida alors de faire quelque chose pour aider sa sœur, même si elle ne comprenait pas vraiment pourquoi elle était si obsédée par la nourriture.

« Léa, regarde-moi, » dit Amélie. « Tu n'as pas besoin de manger autant. Tu es déjà la plus grosse et la plus grasse des deux. Pourquoi ne pas profiter de la soirée pour danser avec le prince ? »

Léa secoua la tête. « Non, je veux manger. Je dois gagner cette compétition. »

« Mais tu as déjà gagné, » insista Amélie. « Regarde-toi, tu ne peux plus respirer correctement. Tu dois te calmer un peu. »

Léa grogna et continua à manger. Amélie soupira, sachant qu'elle ne pourrait pas convaincre sa sœur de s'arrêter. Elle tourna alors son attention vers le prince.

« Excusez-moi, Votre Altesse, » dit-elle. « Ma sœur est un peu... passionnée par la nourriture. Mais je peux vous assurer qu'elle est normalement une personne charmante et intelligente. »

Le prince sourit. « Je n'en doute pas, » dit-il. « Votre sœur est... fascinante. »

Amélie se sentit un peu mal à l'aise, mais décida de continuer.

« Si vous voulez vraiment apprendre à connaître ma sœur, » dit-elle, « pourquoi ne pas l'inviter à danser ? Elle adore danser, même si elle n'est pas très douée. »

Le prince regarda Léa, qui était maintenant en train de manger une tarte entière. Il hésita un moment, mais finit par acquiescer.

« Très bien, » dit-il

La scène est épique et les invités ne peuvent détacher leurs yeux de Léa, qui a l'air à la fois gênée et excitée par le fait d'être le centre de l'attention. Le prince, quant à lui, est complètement sous le charme, fasciné par les rondeurs de la princesse.

Mais alors que la danse prend de l'ampleur, le corset de Léa ne résiste pas à la pression exercée par sa graisse. Les baleines craquent et s'échappent de leur étui, laissant libre cours à l'expansion du ventre rebondi de la princesse. Les regards se portent immédiatement sur ce spectacle inattendu, certains avec dégoût, d'autres avec admiration.

Léa, désormais libérée de son corset, se sent à l'aise et se met à bouger de manière encore plus exubérante, laissant sa graisse se balancer au rythme de la musique. Elle est de plus en plus confiante et s'abandonne totalement à la danse, tandis que les invités sont hypnotisés par cette scène à la fois grotesque et fascinante.

Amélie, qui a assisté à la scène avec un sourire narquois, réalise que sa sœur est en train de conquérir le cœur du prince avec ses formes généreuses. Elle se sent un peu jalouse, mais elle est également fière de sa sœur.

Après la danse de Léa, le prince s'approche d'Amélie, qui le regarde avec suspicion.

"Votre sœur est vraiment extraordinaire," dit-il avec un sourire rêveur.

Amélie fronce les sourcils. "Je ne comprends pas. Pourquoi êtes-vous si fasciné par elle ?"

Le prince hausse les épaules. "Je ne sais pas. Il y a quelque chose d'incroyablement séduisant dans sa façon de bouger. Et puis, il y a sa silhouette..."

"Sa silhouette ?" répète Amélie, incrédule. "Vous voulez dire qu'elle est grosse ?"

Le prince hoche la tête, sans se démonter. "Oui, mais c'est bien plus que ça. Elle a quelque chose de magnifique, quelque chose d'unique. Je n'ai jamais vu une femme comme elle."

Amélie est désormais complètement jalouse. Elle a toujours été fière de son corps mince et svelte, mais maintenant elle se sent en quelque sorte diminuée par la présence de sa sœur.

"Et moi ?" demande-t-elle d'une voix plaintive. "Ne suis-je pas belle moi aussi ?"

Le prince lui sourit gentiment. "Bien sûr que si, vous êtes ravissante. Mais c'est différent. Vous êtes belle de façon plus conventionnelle. Léa, en revanche, a quelque chose de vraiment spécial."

Amélie secoue la tête, dépitée. Elle ne comprend pas ce que le prince peut trouver d'attirant chez sa sœur, qui est à ses yeux une vulgaire boule de graisse. Elle se sent frustrée et blessée, mais elle sait qu'elle ne peut rien y faire. Elle se promet cependant de faire tout son possible pour récupérer l'affection du prince.

Le prince suivit Amélie dans ses appartements, curieux de savoir où elle voulait en venir. En arrivant, il fut surpris de la voir porter des vêtements qui semblaient bien trop petits pour elle, ses formes débordant de toutes parts.

"Excusez-moi de vous accueillir ainsi, mais j'ai entendu dire que vous étiez fasciné par les femmes qui ont un peu de poids sur les hanches", dit-elle en souriant.

Le prince fut interloqué par cette révélation, ne sachant pas quoi répondre.

Amélie demanda alors qu'on lui apporte une grande quantité de beignets, ainsi qu'une bassine remplie de crème glacée mélangée à du beurre.

"Je ne comprends pas très bien où vous voulez en venir", avoua le prince, perplexe.

"Je veux que vous me nourrissiez jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien", déclara Amélie d'une voix ferme.

Le prince resta bouche bée devant cette demande audacieuse. Il hésita un instant avant de se mettre à nourrir la princesse avec des beignets, trempés dans le mélange crémeux.

Au début, Amélie mangeait lentement, dégustant chaque bouchée avec plaisir. Mais bientôt, elle commença à engloutir les beignets à une vitesse folle, les avalant sans mâcher.

Le prince était à la fois choqué et fasciné par le spectacle qui s'offrait à lui. Il ne pouvait s'empêcher de regarder les formes généreuses d'Amélie qui semblaient prendre de plus en plus d'ampleur à chaque bouchée.

Au bout d'un moment, Amélie finit par se sentir mal à l'aise. Son ventre était tendu à l'extrême et elle avait du mal à respirer. Mais elle ne voulait pas abandonner si près du but.

"Encore un peu", supplia-t-elle.

Le prince continua à la nourrir jusqu'à ce qu'elle soit incapable de prendre une bouchée de plus. Amélie était allongée sur le lit, le ventre gonflé à l'extrême, la respiration sifflante.

"Je crois que j'ai été un peu trop gourmande", dit-elle en souriant faiblement.

Le prince était sidéré par le spectacle qu'il venait de voir. Il ne savait pas quoi dire, comment réagir. Mais quelque chose en lui avait été irrémédiablement attiré par la silhouette de la princesse, si bien qu'il ne pouvait s'empêcher de vouloir en voir plus.

Amélie se tordait dans tous les sens, cherchant à se libérer de sa robe qui la compressait de toutes parts. Elle se sentait prisonnière de ses vêtements qui l'empêchaient de respirer correctement et de se gaver de nourriture autant qu'elle le voulait. Elle suppliait le prince de l'aider à desserrer sa ceinture pour lui permettre de respirer un peu mieux et de se remplir l'estomac de beignets, de crème glacée et de tout ce qu'elle pouvait trouver.

Le prince, étonné et excité par la demande d'Amélie, s'approcha lentement et délicatement d'elle, posant ses mains sur la ceinture de la princesse. Il la regarda droit dans les yeux, comme s'il cherchait à comprendre ce qui se passait dans la tête d'Amélie. Elle sourit et lui fit signe de continuer. Le prince desserra lentement la ceinture, sentant le soulagement de la princesse alors que ses vêtements s'élargissaient pour laisser de la place à son ventre gonflé.

Amélie se mit ensuite à supplier le prince de lui masser le ventre pour l'aider à digérer et à faire de la place pour manger encore davantage. Elle lui expliqua que son ventre était si rempli qu'elle avait du mal à respirer correctement, et que le seul moyen pour elle de continuer à manger était que le prince la soulage de cette sensation. Le prince obéit, commençant doucement à masser le ventre d'Amélie, ressentant l'énormité de son estomac.

Amélie fermait les yeux, se laissant emporter par les sensations qui la traversaient. Elle se sentait de plus en plus lourde, mais elle aimait cette sensation d'être si remplie et si grasse. Elle pouvait sentir chaque bouchée de nourriture s'accumuler dans son ventre, le faisant grossir encore plus, et le prince masser encore plus fort.

Les deux amants étaient maintenant envoûtés l'un par l'autre, partageant un moment intime et inoubliable. Le prince réalisait qu'il avait trouvé en Amélie la princesse de ses rêves, belle, gracieuse, mais surtout aimant manger à l'excès. Quant à Amélie, elle se rendait compte qu'elle avait trouvé en lui le prince charmant qu'elle attendait, celui qui l'aimait pour ce qu'elle était, y compris pour son appétit gargantuesque.

Amélie et Léa se trouvaient toutes les deux dans leur chambre, se regardant dans un grand miroir. Elles étaient vêtues de robes qui soulignaient leur rondeur, mais Amélie avait délibérément choisi une robe un peu plus serrée que d'habitude pour mettre en valeur son ventre rebondi et appétissant. Elle jeta un coup d'œil à Léa et sourit narquoisement.

« Toi et moi, on est toutes les deux de vraies gloutonnes », dit Amélie avec un sourire coquin.

« Oh, tu crois ? », répondit Léa en levant les yeux au ciel. « Pourtant, c'est toi qui as toujours une faim de loup. »

« Je ne suis pas la seule », répondit Amélie avec un petit rire. Elle se tourna vers Léa et la prit par la taille. « Je parie que tu aimerais bien avoir un ventre aussi rond que le mien. »

Léa rougit légèrement, mais elle ne se laissa pas démonter. « Je n'ai pas besoin de prendre du poids pour être belle », répondit-elle.

« Mais ça ne t'empêche pas de manger comme une ogresse », rétorqua Amélie. Elle glissa sa main sur le ventre de Léa et appuya dessus. « Regarde, ton ventre est tout mou, tu devrais prendre quelques kilos pour qu'il soit aussi ferme et rebondi que le mien. »

Léa se mit à rire et repoussa doucement la main d'Amélie. « Tu es complètement folle », dit-elle.

Amélie la fixa intensément et se mordit la lèvre inférieure. Elle prit les mains de Léa et les posa sur son propre ventre. « Regarde, c'est tout doux », dit-elle en caressant son propre ventre.

Léa se mit à sourire et se pencha en avant pour embrasser Amélie sur la joue. Elles se mirent ensuite à jouer avec leur graisse, la serrant et la malaxant, se taquinant l'une l'autre sur leurs rondeurs respectives. Cela finit par devenir plus sensuel, elles s'embrassèrent et se roulèrent sur le lit, leur chair rebondissant doucement sous elles.

La chambre se remplit bientôt de petits bruits de succion et de gémissements de plaisir, mais elles ne s'en souciaient pas, leur attention était entièrement focalisée sur leur corps et leur nourriture.

Le prince resta figé sur le seuil de la porte, les yeux grands ouverts et la bouche entrouverte, alors qu'il observait les deux princesses jouer avec leur graisse de manière très sensuelle. Il se sentit soudainement envahi par une excitation incontrôlable et ne put s'empêcher de s'approcher d'elles, de s'agenouiller et de leur caresser le ventre avec fascination.

Amélie et Léa se retournèrent brusquement et se regardèrent avec surprise avant de se mettre à rire de manière incontrôlable. Le prince, gêné, se releva et leur demanda des explications.

« Nous avons juste décidé de jouer un peu », expliqua Amélie en passant une main sur son ventre rebondi, « nous sommes des princesses après tout, nous pouvons nous permettre de nous amuser un peu. »

Le prince acquiesça timidement, incapable de se défaire de l'image des deux femmes jouant avec leur graisse. Il savait qu'il ne pourrait plus jamais les regarder de la même manière, mais cela ne faisait qu'attiser davantage sa fascination pour elles.

Le prince, stupéfait par la scène qui se déroulait devant lui, resta bouche bée pendant quelques instants, ne sachant pas quoi dire ni quoi faire. Amélie et Léa, quant à elles, sursautèrent et se mirent à rougir de honte et de culpabilité.

Après un moment de silence gênant, le prince prit la parole : "Je ne savais pas que vous étiez toutes les deux si... proches", dit-il d'une voix mal assurée.

Amélie et Léa se regardèrent, puis se mirent à rire nerveusement. "Eh bien, maintenant vous le savez", répondit Amélie d'un ton taquin.

Le prince ne semblait pas très à l'aise, mais il ne pouvait pas nier qu'il avait été intrigué et même excité par ce qu'il avait vu. Il décida alors de faire preuve de courage et de saisir cette occasion pour avancer dans sa relation avec les deux princesses.

"Écoutez, je ne suis peut-être pas très doué pour exprimer mes sentiments, mais... je dois avouer que ce que j'ai vu ici m'a beaucoup plu", dit-il en souriant.

Amélie et Léa échangèrent un regard complice, puis se rapprochèrent du prince en lui souriant. "Nous sommes ravies de vous plaire, Votre Altesse", dit Léa d'une voix suave.

Le prince sentit son cœur s'emballer à nouveau, et il comprit que ce qu'il avait vu n'était que le début d'une aventure pleine de surprises et de volupté.

Le prince, Léa et Amélie se retrouvent dans les appartements d'Amélie, où elle est allongée sur un grand lit. Léa suggère qu'ils devraient essayer de la faire devenir aussi grosse qu'un ballon de plage, ce à quoi le prince répond avec un grand sourire. Amélie est un peu réticente au début, mais le prince la rassure et lui dit qu'elle est belle quelle que soit sa taille.

Ils commencent alors à la gaver avec toutes sortes de desserts et de plats délicieux, et Amélie mange avec plaisir, ses yeux brillant d'excitation. Léa et le prince l'encouragent à manger encore plus, et sa robe commence à devenir de plus en plus serrée alors que son ventre se remplit de plus en plus. Ils la massent pour l'aider à digérer et continuent de la gaver jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus bouger.

Finalement, la robe d'Amélie se met à craquer sous la pression de son ventre, qui ressemble maintenant à un ballon gonflé à l'extrême. Léa et le prince applaudissent et l'encouragent à continuer de manger, à devenir encore plus grosse et plus belle. Amélie se sent épanouie et heureuse, alors qu'elle se laisse aller complètement à cette nouvelle vie de gloutonnerie.

Amélie se sentait envahie par la nourriture, son ventre était tendu à l'extrême, sa respiration devenait difficile et sa peau était chaude et moite sous l'effet de l'excitation. Les deux autres ne semblaient pas vouloir s'arrêter, et le prince continuait de la gaver de plus en plus, la forçant à ingérer de la nourriture jusqu'à ce que son estomac ne puisse plus en contenir. Elle gémissait de plaisir et de douleur à chaque bouchée, sa robe était si tendue qu'elle pouvait à peine respirer, son ventre si lourd qu'elle se sentait comme un ballon sur le point d'exploser.

Le prince caressait doucement son ventre, en appréciant la sensation de la peau tendue et chaude sous ses doigts. Léa avait un sourire pervers sur les lèvres alors qu'elle continuait de lui fourrer des aliments dans la bouche, et Amélie se sentait incapable de résister à leur plaisir collectif.

Finalement, sa robe craqua sous la pression de son ventre surchargé, libérant des bourrelets charnus qui roulaient sur ses cuisses. Amélie gémit de plaisir alors que le prince massait sa peau douce et moelleuse, la poussant toujours plus loin dans son plaisir. Elle se sentait presque étourdie de plaisir alors que les deux autres continuaient de la gaver jusqu'à ce que sa robe ne soit plus qu'un tas de tissu sur le sol, révélant son corps gonflé et flasque.

Le prince la regarda avec une expression de désir alors qu'il caressait sa peau douce et flasque, sachant que leur relation ne serait plus jamais la même après cette nuit-là.

Amélie avait perdu toute notion de temps et d'espace, plongée dans un état de béatitude totale. Elle ne pensait plus qu'à manger, à manger encore et à manger toujours plus. Elle sentait son ventre gonfler, la peau de son abdomen devenait de plus en plus tendue et sensible au toucher. Elle avait l'impression d'être sur le point d'exploser, mais elle ne voulait pas que cela s'arrête.

Le prince et Léa semblaient eux aussi sous le charme de cette scène érotique, hypnotisés par le spectacle de leur sœur se transformant en boule de graisse. Ils se regardaient en souriant, complices de cette entreprise de transformation.

Finalement, le corset d'Amélie ne put plus résister à la pression de son ventre. Il se déchira brutalement, laissant échapper un grognement de plaisir de la part de la princesse gavée. Son ventre libre se déversa en une avalanche de graisse molle et chaude sur ses cuisses, sur le sol, sur le prince et sur Léa qui s'étaient rapprochés d'elle.

Amélie était couverte de nourriture, ses yeux mi-clos et son visage rouge de plaisir. Elle avait enfin atteint son objectif : devenir une véritable boule de graisse. Les deux princes se regardèrent, impressionnés et excités par ce spectacle. Ils étaient fiers de leur réussite et semblaient déterminés à continuer cette entreprise de transformation pour faire d'Amélie une princesse obèse et soumise.

Le prince était horrifié de voir l'état d'Amélie, qui gémissait de douleur sur le sol, incapable de bouger et de respirer normalement. Il s'approcha d'elle pour la secourir, mais Léa lui attrapa le bras et le tira vers elle, avec un regard de détermination dans les yeux.

"Non, ne l'aidez pas", dit-elle. "Elle doit apprendre à être plus forte. Elle doit apprendre à aimer la nourriture autant que moi."

Le prince secoua la tête, incrédule. "Mais elle est en train de souffrir ! Elle ne peut plus respirer !"

Léa ricana. "C'est normal, quand on est en train de devenir un ballon. C'est comme ça que ça se passe. Regardez-moi, je suis bien plus grosse qu'elle, et je suis encore en train de manger !"

Elle se mit à engloutir des beignets à un rythme effréné, tandis que le prince la regardait, impuissant. Mais finalement, il se décida à agir. Il prit une bassine de crème glacée et la versa sur la tête de Léa, qui éclata de rire.

"C'est ça que tu veux ?" dit-il. "Tu veux ressembler à un ballon ? Eh bien, allons-y !"

Il la força à manger encore plus, jusqu'à ce qu'elle soit aussi ballonnée et immobile qu'Amélie. Mais alors qu'il se penchait sur elle pour la secourir, elle lui sourit avec un air triomphant.

"Je suis plus forte que ma sœur", dit-elle. "Je peux en manger encore plus !"

Et elle continua à manger, même quand elle gémit de douleur et que son corset menaçait de craquer sous la pression de son ventre gonflé. Finalement, le prince se résigna à la laisser faire, sachant que c'était une bataille qu'il ne pouvait pas gagner. Mais il jura de ne jamais plus la laisser souffrir comme ça, même si cela signifiait lui résister à elle et à sa propre faiblesse face à la nourriture.

Le lendemain matin, Léa et Amélie se tenaient devant leur garde-robe respective, essayant de trouver une tenue pour le bal qui se tenait ce soir-là. Elles avaient toutes les deux bien compris qu'elles ne rentreraient pas dans leurs robes habituelles, mais elles étaient bien décidées à trouver quelque chose qui conviendrait à leurs silhouettes désormais bien en chair.

Amélie essaya une robe rouge écarlate, mais elle dut renoncer rapidement, son ventre rebondi et volumineux prenait trop de place pour la fermer. Elle tenta alors un corset, mais il fut inutile de serrer, rien n'y faisait, son ventre était trop gros et la graisse débordait de tous les côtés.

De son côté, Léa enfilait une robe rose pale qu'elle aimait beaucoup, mais qui la compressait trop, elle avait du mal à respirer et ne pouvait pas fermer la fermeture éclair. Elle tenta également le corset, mais en vain, le tissu de la robe craquait déjà sous la pression de son ventre.

Les deux sœurs se regardèrent et éclatèrent de rire, amusées par leur apparence démesurée et leur ventre ballonné.

« Comment allons-nous faire ? » dit Amélie en soupirant.

« Nous avons besoin d'un tailleur », répondit Léa, « quelqu'un qui puisse confectionner des vêtements qui épousent parfaitement nos formes voluptueuses. »

Elles appelèrent un tailleur réputé dans tout le royaume pour ses créations adaptées aux morphologies les plus particulières, et le rendez-vous fut pris pour le soir-même.

Le tailleur les accueillit avec un grand sourire, ravi de voir des clientes si particulières. Il prit des mesures minutieuses, écouta attentivement leurs envies, et leur proposa plusieurs modèles adaptés à leurs formes. Les sœurs étaient ravies, les tissus étaient doux, les robes mettaient en valeur leurs rondeurs, leurs ventres étaient parfaitement mis en valeur.

Elles sortirent de chez le tailleur, heureuses et impatientes d'enfiler leurs nouvelles robes. Ce soir-là, elles seraient les reines du bal, avec leurs corps rebondis et leurs vêtements sur mesure.

Le banquet était fastueux et les convives avaient droit à un choix impressionnant de plats exquis. Les tables étaient décorées de manière élégante avec des bouquets de fleurs odorantes et des chandeliers dorés qui scintillaient à la lueur des bougies. Les serveurs habillés de noir et de blanc circulaient sans relâche pour apporter des plats toujours plus alléchants. Les nobles discutaient, riaient et plaisantaient dans une atmosphère festive, tous affamés et impatients de goûter à ces mets délicats.

Au centre de la table principale, trônait un énorme gâteau à plusieurs étages décoré de fruits frais et de pétales de roses. Les convives s'extasiaient devant cette merveille culinaire et en dégustaient des parts généreuses.

Amélie et Léa, vêtues de leurs nouvelles tenues sur mesure, se faufilaient discrètement entre les tables pour se servir encore et encore, remplissant leurs assiettes de toutes sortes de mets savoureux. Elles avaient du mal à se déplacer avec leurs ventres de plus en plus imposants et leurs robes qui commençaient à craquer aux coutures. Leur appétit était sans fin, et elles se disputaient les plats les plus délicieux.

Le prince, quant à lui, observait les deux sœurs avec une fascination croissante. Il avait du mal à détourner le regard de leurs ventres proéminents et de leur insatiable appétit. Il se demandait jusqu'où elles étaient prêtes à aller pour satisfaire leur faim insatiable.

Le banquet se poursuivit jusqu'à tard dans la nuit, les convives rassasiés et heureux de cette soirée mémorable. Les deux sœurs, quant à elles, titubaient sous le poids de leur ventre, se dirigeant vers le bal avec difficulté mais le sourire aux lèvres, impatientes de danser et de continuer leur marathon gastronomique.

Les portes du grand hall s'ouvrirent sur les invités du bal. Le prince arriva accompagné d'Amélie et Léa, toutes deux vêtues de magnifiques robes qui mettaient en valeur leurs formes pulpeuses. Les regards des invités se posèrent sur elles, certains avec dédain et d'autres avec envie.

Le bal commença et les invités se mirent à danser. Amélie et Léa furent invitées à danser par de nombreux prétendants mais elles préféraient rester aux côtés du prince qui les chérissait. Les deux sœurs ne semblaient pas gênées par leur apparence et dansaient avec grâce malgré leurs rondeurs.

Pendant le bal, le prince commanda à son chef cuisinier de préparer des plats spéciaux pour Amélie et Léa, des plats riches et savoureux qui satisfaisaient leur appétit insatiable. Les sœurs se gavaient sans honte, mangeant plus que n'importe qui d'autre à la fête.

Au fur et à mesure de la soirée, les deux sœurs semblaient prendre de l'assurance. Elles se moquaient des regards désapprobateurs des invités et dansaient avec plus de fougue. La musique était entraînante et les convives semblaient s'amuser.

Soudain, un silence se fit dans la salle. Le prince, Amélie et Léa se tournèrent pour voir ce qui se passait. Un groupe de danseurs était en train de réaliser une danse spectaculaire. Les invités semblaient fascinés et applaudissaient bruyamment.

Le prince vit alors que Léa avait une idée en tête. Elle se dirigea vers les danseurs et leur demanda s'ils pouvaient lui apprendre la chorégraphie. Les danseurs acceptèrent et commencèrent à lui enseigner les mouvements.

Léa se mit à danser avec énergie, faisant tournoyer sa robe et ses rondeurs. Les invités étaient ébahis, certains riant et d'autres regardant avec désapprobation. Mais Léa ne semblait pas se soucier de leur avis. Elle dansait pour elle-même et pour le prince, qui ne pouvait détourner les yeux d'elle.

Amélie, quant à elle, préférait rester près du buffet. Elle se servait en permanence, dévorant des plats délicieux et riches en calories. Les invités semblaient la regarder avec dégoût mais Amélie n'en avait que faire. Elle était heureuse et n'avait jamais autant apprécié un bal.

Le bal se poursuivit tard dans la nuit. Les invités étaient épuisés mais les deux sœurs semblaient infatigables. Elles dansaient, mangeaient et s'amusaient comme si rien d'autre n'existait. Le prince les regardait avec tendresse, admirant leur beauté unique et leur personnalité hors du commun.

Les deux princesses, Léa et Amélie, étaient en train de danser ensemble, dans une sorte d'état second. Leurs corps, tout entiers enveloppés de graisse, semblaient flotter et se mouvoir au rythme de la musique, leurs mouvements agitant leur chair qui débordait de leur robe. Les regards étaient braqués sur elles, fascinés par ce spectacle improbable de deux jeunes femmes au physique hors norme qui dansaient sans complexe.

Leurs mouvements étaient amples et voluptueux, leurs bras et leurs jambes décrivant de larges courbes dans l'air. Leurs robes, moulant leurs formes rebondies, semblaient sur le point de céder à tout moment, les coutures craquant sous la pression de leurs corps.

Mais les deux princesses semblaient ne pas en avoir conscience, transportées qu'elles étaient par la musique et les sensations procurées par leur propre corps. Leurs yeux étaient clos, leurs bouches entrouvertes, leur souffle court, leurs seins lourds ballotant au rythme de leurs pas.

Puis, soudain, un craquement retentit. La robe d'Amélie venait de se déchirer sur le côté, laissant apparaître un bout de chair blanche et dodue. Les invités s'arrêtèrent de danser pour observer la scène, mais Amélie ne sembla pas s'en apercevoir. Elle continua de danser, sans se soucier de son vêtement déchiré, laissant sa chair se mouvoir librement sous les regards ébahis des convives.

Léa, quant à elle, observait sa sœur d'un air ravi, épanouie par le spectacle qu'elle offrait à tous ces gens. Elle souriait largement, ses joues rebondies rougissant sous l'effet de l'excitation. Les deux princesses étaient comme hypnotisées par leur propre corps, transportées par la sensation de leur graisse onctueuse qui débordait de leur robe.

Et ainsi elles dansèrent, se déplaçant à travers la foule avec une grâce inattendue pour des corps aussi massifs, leur graisse ondulant comme une mer de crème sous leurs mouvements amples et voluptueux. Les invités les observaient avec fascination et admiration, fascinés par leur audace et leur désinvolture.

La soirée avait atteint son paroxysme, et les deux princesses semblaient avoir atteint un état de béatitude. Elles étaient heureuses, insouciantes, fières de leur corps dodu et voluptueux, et rien ne semblait pouvoir altérer leur bonheur.

Les deux princesses dansent jusqu'à l'épuisement, la sueur perle sur leur front et leur visage rosit. Mais plus elles dansent, plus elles se frottent l'une contre l'autre, agitant leur graisse en un spectacle hypnotique et sensuel qui les fait frémir d'excitation.

Et soudain, elles sentent la faim revenir. Leurs corps, habitués à être constamment nourris, réclament de la nourriture. Elles se regardent l'une l'autre, se sourient et se dirigent vers la table de banquet, toujours en dansant.

Les convives, ébahis, les regardent prendre place autour de la table. Les princesses se gavent de tout ce qu'elles peuvent trouver : des gâteaux, des fruits, des viandes, des fromages, tout ce qui leur tombe sous la main. Elles mangent avec une telle voracité que leur nouvelle robe commence à craquer sous la pression de leur ventre.

Mais les princesses ne semblent pas s'en soucier. Elles continuent de manger jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien sur la table. Et même après cela, elles en redemandent. Leurs yeux brillent d'une lueur gourmande et leur ventre gonfle de plus en plus.

La musique recommence à jouer, mais les princesses ne sont plus intéressées par la danse. Elles se tiennent la main, se souriant l'une l'autre, leur ventre gonflé débordant de nourriture et leurs robes prêtes à exploser. Elles sont heureuses, épanouies, et rien ne peut les arrêter.

Soudain, une musique entraînante commença à résonner dans la salle de bal, interrompant les pensées affamées des princesses. C'était le signal pour le bal masqué qui allait commencer. Les invités se précipitèrent vers le centre de la salle pour découvrir les masques disposés sur une table.

Léa et Amélie enfilèrent leurs masques en souriant, heureuses de pouvoir profiter de la fête en toute discrétion. Cependant, leurs robes devenues trop serrées ne leur laissaient plus beaucoup de place pour respirer et pour se mouvoir. Elles se regardèrent en silence, le visage grimaçant, chacune essayant de trouver une solution pour ne pas gâcher la soirée.

C'est alors qu'un jeune homme masqué s'approcha d'elles, l'air intrigué. Il était grand, mince, et portait un costume élégant et bien ajusté. Il leur fit une révérence et leur proposa de danser. Les princesses échangèrent un regard étonné, mais elles ne purent résister à l'invitation.

Le jeune homme les prit chacune par la main et les amena au centre de la piste. Il se mit à danser avec une grâce infinie, entraînant les deux princesses dans un rythme endiablé. Léa et Amélie se laissèrent aller à la musique, oublieuses de leur corps rebondi et des regards curieux des autres invités.

Les mouvements de danse de plus en plus vifs et les rires joyeux des princesses finirent par attirer l'attention du reste de la salle. Les regards ébahis des invités se posèrent sur les deux princesses qui, malgré leur surpoids, dansaient avec une énergie débordante. La foule s'ouvrit alors pour les laisser danser librement, admirant leur beauté insolite.

Au bout de plusieurs minutes de danse effrénée, le jeune homme masqué s'arrêta brusquement et s'inclina devant les princesses, leur offrant une profonde révérence. Les deux femmes, essoufflées mais heureuses, le remercièrent en lui offrant un sourire éblouissant.

Le bal continua jusqu'au petit matin, et les princesses dansèrent encore et encore, jusqu'à ce que leurs robes finissent par craquer sous la pression de leurs corps rebondis. Mais cela ne les empêcha pas de continuer à s'amuser, riant aux éclats et profitant de chaque instant.

à suivre...

Oh la la la merci pour cette pépite on peut trop bien s’imaginer les sensations, j’ai adoré !!

Mais ce st trop bien

ChatGPT m'a créer cette perle aussi.

Moi:
Une fille avec des kilos en trop salit son jeans avant son rencard et elle doit emprunter un pantalon à une amie. C'est la seul solution, mais elle n'arrive pas à rentrer dedans. Elle essaye désespérément. Suite de l'histoire

GPT:
La fille commence à paniquer en essayant de rentrer dans le pantalon de son amie. Elle se sent mal à l'aise et honteuse à cause de son poids, et elle se maudit pour ne pas avoir fait plus d'efforts pour perdre du poids avant ce rendez-vous.

Finalement, elle se rend compte que le pantalon ne lui ira jamais, et elle commence à chercher une autre solution. Elle se rappelle qu'elle a apporté une jupe de rechange dans son sac, mais elle avait prévu de la porter avec des collants, qui sont maintenant tachés de boue.

Elle décide de prendre une profonde respiration et de prendre son courage à deux mains en portant la jupe sans collants. Elle se sent vulnérable et exposée, mais elle se dit que c'est mieux que de porter un pantalon qui ne lui va pas du tout.

Elle finit par arriver à son rendez-vous, un peu en retard et stressée, mais elle est agréablement surprise de la réaction de son rendez-vous. Il la complimente sur sa tenue et lui dit à quel point elle est belle. Elle se sent soudainement plus confiante et à l'aise.

Au cours de la soirée, ils passent un bon moment ensemble, riant et discutant de tout et de rien. Elle réalise alors que son poids n'a pas d'importance pour cette personne, et que ce qui compte vraiment, c'est sa personnalité et son charme.

À la fin de la soirée, son rendez-vous lui demande si elle veut le revoir, et elle accepte avec un grand sourire sur son visage. Elle se rend compte qu'elle a appris une leçon importante ce soir-là : l'importance de s'accepter soi-même et de ne pas laisser son apparence physique dicter sa vie amoureuse.


Moi:
Le jour du bal de fin d'année est arrivé. Elle avait fait faire une robe sur mesure. Elle a encore pris des kilos. Elle a pas le choix. Elle demande de l'aide à son amie pour essayer désespérément de fermer la fermeture éclaire de la robe.

GPT:
L'amie essaie de fermer la fermeture éclair de la robe, mais elle se rend compte que cela ne va pas être facile. La robe a été faite sur mesure, mais elle est maintenant trop serrée pour la fille. Elle essaie de la tirer, de la pincer, de la faire glisser, mais rien ne fonctionne.

La fille commence à paniquer et à pleurer. Elle a mis tant d'efforts pour trouver la robe parfaite pour cette soirée spéciale, et maintenant elle ne peut même pas la porter. Elle se sent mal dans sa peau et honteuse de son poids.

Son amie lui prend doucement la main et lui dit qu'elle a une idée. Elle va chercher une paire de ciseaux et commence à découper délicatement le tissu autour de la fermeture éclair. Elle prend son temps pour ne pas abîmer la robe et pour laisser suffisamment de tissu pour que la robe tienne toujours.

Finalement, la fermeture éclair est libérée et la robe s'ouvre. La fille est soulagée, mais elle se sent toujours embarrassée d'avoir eu besoin de l'aide de son amie pour s'habiller. Son amie la rassure en lui disant qu'il n'y a rien de mal à demander de l'aide, surtout quand on en a besoin.

La fille met la robe et se regarde dans le miroir. Elle se rend compte que même si la robe est un peu plus grande que prévu, elle est toujours magnifique. Elle se sent belle et confiante, et elle sait qu'elle va passer une soirée inoubliable.

Au bal de fin d'année, la fille danse avec ses amis et profite de la soirée. Elle réalise que peu importe ce que les autres pensent de son poids ou de son apparence, l'important c'est de s'amuser et de profiter de la vie. Et ce soir-là, elle a réussi à le faire, grâce à l'aide et au soutien de son amie.


Moi:
Elle a aujourd'hui un entretien d'embauche. Mais ayant pris encore des kilos pendant les vacances, elle a vraiment de la peine à enfiler la jupe de son tailleur.

GPT:
La fille essaie désespérément d'enfiler la jupe de son tailleur, mais elle se rend compte que cela ne va pas être facile. Elle a pris quelques kilos pendant les vacances et sa jupe est maintenant trop serrée. Elle se sent mal à l'aise et peu confiante.

Elle prend une profonde respiration et se dit qu'elle ne peut pas se permettre de rater cet entretien d'embauche. Elle commence à chercher une solution et se rappelle qu'elle a une jupe plus grande dans son placard. Elle sort la jupe et essaie de l'enfiler. Cette fois-ci, elle est un peu trop grande, mais elle est confortable et lui va mieux.

La fille se regarde dans le miroir et se sent un peu découragée. Elle a l'impression que son apparence va la pénaliser pendant l'entretien. Mais elle se rappelle que l'apparence n'est pas tout et que ce qui compte vraiment, c'est sa compétence et son expérience.

Elle se rend à l'entretien et fait de son mieux pour répondre aux questions de l'employeur avec confiance et assurance. Elle sait qu'elle est la meilleure personne pour le poste et qu'elle a les compétences nécessaires pour réussir.

Finalement, l'employeur la remercie pour son temps et lui dit qu'il la rappellera bientôt pour lui donner une réponse. La fille sort de l'entretien avec un sentiment de satisfaction et de fierté. Elle a réussi à surmonter son stress et à montrer sa vraie valeur, malgré ses préoccupations concernant son apparence.

Quelques jours plus tard, elle reçoit un appel de l'employeur. Il lui annonce qu'elle a été sélectionnée pour le poste. Elle est ravie et se rappelle que même si elle a eu des difficultés à s'habiller pour l'entretien, cela n'a pas affecté sa capacité à réussir. Elle est fière d'elle-même et de ce qu'elle a accompli.


Moi:
Aujourd'hui elle se marie, mais ses amies n'arrivent pas à fermer sa robe. Elle a pris vraiment beaucoup de poids ces dernier temps avec le stress.

GPT:
La fille se prépare pour le jour de son mariage avec excitation et joie, mais elle réalise rapidement qu'elle a pris beaucoup de poids ces derniers temps en raison du stress. Ses amies essaient désespérément de fermer la fermeture éclair de sa robe, mais cela ne fonctionne pas. Elle commence à paniquer et à se sentir dévastée.

Ses amies la rassurent en lui disant qu'elles vont trouver une solution. Elles commencent à chercher une robe de remplacement, mais rien ne convient à la mariée. Finalement, l'une de ses amies a une idée. Elle propose d'ajouter un panneau de tissu à l'arrière de la robe pour la rendre plus grande et plus confortable.

La fille se sent un peu mal à l'aise de devoir modifier sa robe de mariée, mais elle sait que c'est la seule solution. Ses amies travaillent rapidement et ajoutent le panneau de tissu. La robe est maintenant assez grande pour qu'elle puisse la porter confortablement.

La mariée se regarde dans le miroir et se sent soulagée. Elle est heureuse de voir qu'elle peut toujours porter sa robe de mariée. Elle se rend compte que même si elle a pris du poids, cela ne devrait pas gâcher son jour spécial.

Elle marche dans l'allée vers son futur mari et sourit. Elle réalise que l'amour qu'elle partage avec lui est plus important que son apparence. Son mari la regarde avec amour et admiration, et cela la rend encore plus sûre de son choix. Elle se sent belle et confiante, et sa journée spéciale se déroule sans accroc.

À la fin de la journée, la mariée réalise que ses amies étaient là pour elle dans les moments difficiles, et cela signifie plus pour elle que tout le reste. Elle se rappelle que l'amitié et l'amour sont ce qui compte vraiment dans la vie, et elle est reconnaissante d'avoir des amis aussi merveilleux pour la soutenir dans toutes les situations.



Moi:
Pendant la soirée, elle se penche pour prendre un sac avec ses cadeaux de mariage et elle entend le son d'une couture qui lâche.

GPT:
La mariée se penche pour prendre le sac de ses cadeaux de mariage et soudain, elle entend le son d'une couture qui lâche. Elle panique, en pensant que sa robe de mariée s'est déchirée. Elle se retourne rapidement pour vérifier, mais elle réalise que c'était seulement la couture de sa pochette qui avait cédé.

Elle soupire de soulagement et rit un peu de sa réaction excessive. Elle se rend compte que le stress de la journée l'a mise sur les nerfs et l'a rendue un peu paranoïaque. Elle se dit qu'elle doit se calmer et profiter de la soirée avec son mari et leurs invités.

La mariée danse avec son mari et leurs amis, en ressentant de la joie et de la gratitude pour ce moment spécial. Elle réalise que même si les choses peuvent ne pas toujours se passer comme prévu, cela ne devrait pas gâcher les moments importants de la vie.

Elle est heureuse de voir que ses invités s'amusent et profitent de la soirée. Elle réalise que ce jour est non seulement important pour elle et son mari, mais aussi pour leur famille et leurs amis. Elle se sent reconnaissante pour toutes les personnes qui ont travaillé dur pour que cette journée soit mémorable.

La mariée se détend et profite du reste de la soirée. Elle sait que même si elle a rencontré des obstacles pendant la journée, elle a surmonté ces obstacles avec succès grâce au soutien de ses amis et de sa famille. Elle se sent aimée et soutenue, et cela la rend heureuse et reconnaissante.




Moi:
L'été arrive. Elle doit vérifier si elle a encore quelque chose qui lui va. Ils ont plus beaucoup d'argent avec le mariage. Elle essaye désespérément tout ses vêtements d'été.

GPT:
La jeune mariée se rend compte que l'été arrive et qu'elle doit vérifier si elle a des vêtements qui lui vont encore. Elle sait que les finances sont serrées après le mariage, donc elle ne peut pas se permettre d'acheter une garde-robe entièrement nouvelle.

Elle commence à fouiller dans sa garde-robe et essaye désespérément tous ses vêtements d'été. Malheureusement, la plupart de ses shorts, jupes et robes sont trop serrés et ne la mettent pas à l'aise.

Elle commence à se sentir un peu découragée, mais elle se rappelle que ses amies sont là pour la soutenir. Elle appelle l'une de ses amies et lui demande si elle a des vêtements d'été qu'elle pourrait lui prêter. Son amie est heureuse de l'aider et lui donne plusieurs articles de sa garde-robe.

La jeune mariée essaie les vêtements de son amie et réalise qu'ils lui vont parfaitement. Elle se sent soulagée et reconnaissante d'avoir des amies qui la soutiennent dans les moments difficiles.

Elle réalise également que ce n'est pas grave de ne pas avoir les moyens de s'acheter de nouveaux vêtements pour l'été. Elle se dit qu'elle peut toujours être à la mode et se sentir bien dans des vêtements d'occasion ou empruntés.

Finalement, la jeune mariée réussit à trouver une garde-robe d'été confortable et élégante grâce à l'aide de ses amies. Elle se sent reconnaissante pour leur soutien et se promet de les aider à leur tour si elles ont besoin d'elle.




Moi:
Prenant toujours plus de kilos, Elle est a cours de jeans qui lui vont. Ayant une soirée durant laquelle tout le monde doit porter un jeans. Elle doit absolument rentrer dans son jeans le plus large. Personne ne peut l'aider. Plusieurs centimètre séparent les 2 boutons.


GPT:
La jeune femme se rend compte qu'elle n'a plus de jeans qui lui vont, mais elle a une soirée à laquelle elle doit assister où tout le monde doit porter un jean. Elle n'a pas les moyens d'en acheter un nouveau et elle doit absolument rentrer dans son jean le plus large.

Elle essaie désespérément de le fermer, mais plusieurs centimètres séparent les deux boutons. Elle se sent mal à l'aise et frustrée, sachant que tous ses amis seront présents à cette soirée. Elle se demande comment elle va pouvoir y aller en sachant qu'elle ne peut pas s'habiller comme les autres.

Elle décide finalement de prendre une grande respiration et de se rappeler qu'elle est belle et qu'elle mérite de s'amuser tout autant que ses amis. Elle se dit qu'elle doit trouver une solution pour être à l'aise et en confiance.

Elle essaie différentes techniques pour fermer son jean, comme le boutonner en position assise ou en aspirant son ventre. Finalement, elle arrive à fermer son jean en utilisant une extension de bouton, qu'elle a trouvé au fond de sa boîte à couture.

Elle se regarde dans le miroir et réalise qu'elle est ravissante. Elle se sent confiante et prête à s'amuser avec ses amis.

Merci de partager tout ça… ça me donne trop envie d’essayer faudra que je teste

Waw en vrai je vais essayer