Nombre de messages : 107 Age : 35 Date d'inscription : 27/12/2020
Sujet: Fit to fat Ven 14 Oct 2022, 21:14
Je vais vous raconter une histoire. Je me lance même si je n'ai pas l'âme d'un écrivain. Il y a du vrai et du fruit de mon imagination mais je vous laisserai imaginer ce qui est vrai ou pas^^ Pardon pour les éventuelles fautes. Je suis pas doué pour bien écrire.
L'histoire commence à la plage. J’étais tranquillement allongé sur ma serviette. Je décidai d’aller parcourir les quelques mètres qui séparaient ma serviette de l’eau pour me baigner. Alors que je marchais sur le sable, j’aperçus, de dos, une personne assise sur le sable. Elle avait les cheveux longs. Elle était obèse morbide. Je suis passé à côté, elle était en train de se goinfrer joyeusement de beignets. J’en conclu vite fait que c’était une femme et j’étais surpris de voir un femme en topless encore de nos jours (le topless était clairement passé de mode) puisque cette personne n’avait pas de haut de maillot de bain. Je continuai jusqu’à l’eau. Je me suis baigné quelques minutes. Je retournais à ma serviette et j’étais perdu dans mes pensées, soudain, j’ai entendu quelqu’un crier mon prénom. C’était la personne de tout à l’heure et elle avait l’air de me connaître mais je ne la reconnaissais pas. Devant ma tête dubitative, elle s’écria « c’est moi, Anthony ! »…. Tout d’un coup, je me suis souvenu d’Anthony grâce à ses yeux et à sa voix. En effet, Anthony était un ancien camarade d’université d’il y a 10 ans et il était très musclé et il n’avait pas un gramme de graisse à l’époque. C’était le beau gosse bodybuilder de la promotion qui filait à la salle dès la sortie des cours et qui préparait ses repas spéciaux. Il faisait très attention à son poids, à son apparence (muscle…) et à ce qu’il mangeait. J’étais doublement surpris parce que j’avais pris Anthony pour une femme et parce qu’il était méconnaissable.
Le mec sportif d’il y a 10 ans avait été « remplacé » par un mec gros rempli de graisse. Son corps en forme de V avec a été remplacé par un corps en « V » à l’envers. Sa chevelure très courte voir rasée à l’époque a été remplacé par une long chevelure qui descendait jusqu’à ses épaules qui le rendait très androgyne. Son visage aux formes rectilignes (mâchoire…) avait était remplacé par un visage graisseux aux formes arrondies soutenu par un double menton. Seuls ses yeux permettaient de le reconnaitre. Ses pectoraux musclés ont été remplacés par de deux gros seins remplis de graisse. Sa poitrine graisseuse bougeait au même rythme que ses bras. Ses biceps musclés avait été remplacé par deux bras pleins de graisse qui pendaient quand Anthony levait ses bras. Ses tablettes de chocolats avait fondu. A la place, il y avait un gros ventre qui débordait de graisse. Le ventre soutenait ses gros seins qui pendaient. Anthony était obligé d’écarter ses jambes à presque 90° pour pouvoir laisser la place pour son gros ventre qui reposait sur le sol. Ses cuisses musclées avait été remplacées par deux beaux jambons. Des bourrelets présents un peu partout (dos…) avaient remplacés ses muscles saillants. Anthony ressemblait à un tas de graisse. Toute sa graisse bougeait au moindre mouvement. Anthony avait 2 beignets posés sur son ventre qui faisait office de table. Ses mains étaient pleines de miettes. De la crème est tombée sur un de ses moobs graisseux, il l’empoigna et le souleva pour lécher la crème tombée. Il était en train de manger son dernier beignet quand je le vis appuyer sur un bouton sur son smartphone posé à côté de lui. Dans la minute qui suivait, un livreur arriva avec 4 nouveaux beignets qu’il posa sur son gros ventre. Il m’expliqua que c’était l’application « Fa(s)t Food » qui était une chaine de restaurants « spéciaux ». Il m’a dit qu’il utilisait souvent car disponible en permanence de jour comme de nuit. Je ne la connaissais pas. Pour parler du « bon vieux temps » et de ce qu’on était devenu pendant ces 10 ans, il me proposa qu’on se revoit lors d’un repas dans son resto préféré, un « Fa(s)t Food ». J’acceptai, on décida de se voir 3 jours après et il me donna l'adresse.
A suivre…
FatBoy et ptit gros aiment ce message
ptit gros Discute plus qu'il ne mange
Nombre de messages : 648 Age : 27 Localisation : picardie oise loisir : manger manger manger et encore manger Date d'inscription : 21/09/2011
Sujet: Re: Fit to fat Lun 17 Oct 2022, 00:51
En attente de la suite avec impatience
boy1989 aime ce message
Jai Goûte aux conversations
Nombre de messages : 55 Age : 53 Localisation : Québec profession : Contremaître en bâtiment Date d'inscription : 16/10/2021
Sujet: Re: Fit to fat Mer 19 Oct 2022, 00:58
Cool
boy1989 aime ce message
heliostar Se ressert régulièrement
Nombre de messages : 179 Age : 26 Localisation : haute-savoie profession : Ingénieur recherche et dévelopement loisir : musique (piano guitare), trail, jeu vidéo, bricolages en tous genres Date d'inscription : 05/01/2021
Sujet: Re: Fit to fat Mer 19 Oct 2022, 11:11
oh yes que c'est bon
boy1989 aime ce message
John Smith X Dévore les discutions
Nombre de messages : 410 Age : 28 Date d'inscription : 07/08/2018
Sujet: Re: Fit to fat Dim 23 Oct 2022, 07:29
Cela me rappelle une histoire embarrassante dont j'ai déjà vécu il y a de cela près de six années.
Je vivais pendant un temps en cohabitation auprès de ma sœur ainée, dans une tout autre ville dans les alentours de fin 2016 à 2020. Lors d'une soirée de novembre 2017, je reçus un appel à domicile de cette dernière : m'empressant de me rendre d’urgence à un supermarché arabe situé non loin de chez notre mère (dans l’autre ville !) afin de faire des courses en son nom. Je n’étais guère en relation cordiale avec notre parente à cette époque ni ne souhaitait faire faire un trajet aller-retour de sept kilomètres en pleine fin de soirée dans des conditions météorologiques épouvantables : surtout après m’être tapé une longue journée dehors.
De plus, je ne possédais guère d’automobile contrairement à mes frères et sœur aînés : ce qui impliquait que je devais me dépêcher afin de me rendre, tard le soir, en un endroit que TOUT LE MONDE au sein de ma famille savait for et dûment que j’abhorrais tant et violemment (et avec raison) , que j’avais juré des lustres auparavant ne plus jamais vouloir y remettre pied… un endroit si exécrable, si méprisable, que la dernière fois qu’on m’y força à y retourner se termina très vite par un accueil en bon et dû forme par un binôme de bleus zélés m’attendant à la porte de sortie, souhaitant vivement me faire coffrer à la hâte (et à l’encontre de la loi) devant une foule passante sous des accusations bidons prodiguées par des membres de personnel et réguliers trop rancuniers de ne pas avoir réussi à me lyncher et passer à tabac la fois passée, littéralement, sous prétexte que je refusais de tolérer plus longtemps le manque de professionnalisme et mépris racial affiché qu’une caissière timbrée m’affligeait depuis plusieurs années déjà en la sermonnant tout simplement.En langue arabe (au choc et à la surprise de toutes et de tous, y incluant la fautive : n’ayant jamais soupçonnée, ne serait-ce qu’un instant, que la vaste majorité des jeunes Noirs de ma génération en mon quartier ainsi qu’un certain nombre d’Africains subsahariens possèdent tous des rudiments en arabe) pour lui faire comprendre que je comprenais tous les jurons racistes qu’elle me crachait en pleine figure depuis toutes ces années ; ensuite en français, puis enfin dans mes langues natales— avec tout le dédain et charactère de grand seigneur, à la fois sobrement glacial âpre et passionnément tempétueux, la puissance des mots et dignité des âges notoirement hautains et aristocrates de ma gente d’origine.
En dépit de mes protestations, du fait que le transport en commun dans ma nouvelle ville d’accueil passait trop peu en ce moment de la soirée puis qu’il y avait tout un tas de dépanneurs et de marchés dans le quartier d’habitat de ma mère offrant les mêmes produits qu’elle souhaitait vite s’enquérir, ma sœur ne voulait rien entendre. Ma mère souhaitait uniquement que ce soit ce magasin et ce lieu uniquement, ni plus ni moins. Elle détestait ce supermarché presqu’autant que moi pour de toutes autres raisons : il me parût évident, connaissant bien ma famille, que tout ceci n’était qu’une autre de leurs mascarades mesquines visant à me faire bizuter et faire asseoir leur autorité dans le seul intérêt de m’enquiquiner et me faire sortir de mes gonds… mais quelle belle façon de renouer contact avec son fils après l’avoir jeté à la rue en plein blizzard et laisser dormir à la belle étoile sans regret en plein début d’hiver il y a de cela moins d’un an, simplement parce que ça l’amusait ! Je n’étais sans doute pas né de la dernière pluie, fis-je comprendre à ma sœur, puis de cesser de me bizuter comme un enfant alors que j’étais déjà d’âge adulte… il suffit alors de me faire pressamment menacer par cette dernière de me faire jeter aussi à la porte de son appartement (dont je co-payais pourtant et officieusement l'allocation), pour m'obliger à faire ces pseudo-courses. Bref.
La nuit était déjà tombée. Les autobus menant à ma ville natale passaient trop peu à cette heure-ci. L’infâme magasin allait très bientôt fermer ses portes et j'étais conscient qu'il me restait peu de temps afin d'accomplir ses courses. Je n’avais guère le choix de tenter de me taper un bon trois kilomètres et demi de trottoirs et de rues recouvertes de glace noire (l’une des pires choses qui puisse exister au Canada) en marche soutenue, dans un climat avoisinant les trente à quarante degrés Celsius par-dessous zéro, visage opposé contre une bourrasque si givrante que le bout de mes doigts gantelés se mirent à se raidir après seulement deux minutes passées dehors, puis de mes pieds bottelés après la prochaine douzaine de minutes. En plus de devoir jouer aux patineurs artistiques et de me faire grand mal à toutes les fois que je glissais et tombait à terre pendant un trajet d’une durée d’une heure et demi (qui prenait en temps ordinaires de vingt-cinq à quarante-cinq minutes) , je risquais aussi potentiellement de perdre mes oreilles et quelques doigts… et ce, tout simplement afin de me garantir un semblant de trop peu de paix d’esprit ainsi qu’un foyer duquel je venais tout juste de découvrir que je n’y étais pas réellement le bienvenu de bon cœur. Je n’avais pas la moindre idée des heures d’ouverture de mon point d’arrivée : son gérant avait tendance à le faire raccourcir pendant la mi-année… et jamais le même de période froide en période froide. Cela aurait pût aider si seulement il posait un écriteau avertissant les nouvelles heures de fermeture en chaque début de période, mais il s’en souciait peu : l’écriteau ne sera posé que pendant la période de mi-décembre à début janvier, se contentant de faire passer le mot aux clients. Certainement, mes parentés devaient en avoir eu le mot, mais ils refusèrent vivement de me confier la moindre info à ce sujet. On m’envoyait me butter tête première contre un mur. Me condamnant, eussé-je soupçonné, de m’y renvoyer encore et encore, tenter ces fichus courses, à endurer la douleur des fesses ou des genoux tombant contre le bitume givré comme le tourment d’une météo quasi-polaire dans des habits mal ajustées pour pareille intempérie jusqu’à ce que je tomberais sur des portes ouvertes… et quand bien même que j’atteigne destination à temps que je possédais nulle garantie d’avoir des crétins complètement inconscients tenter à nouveau et en vain de soit me provoquer, soit me convoquer sur le dos une autre patrouille de poulets blancs aux crânes déjà bourrés de préjugés en espérant que l’un d’entre eux soit suffisamment déjanté afin de ne pas respecter le protocole au détriment de mes droits, voire pis (car eh oui, dans ma ville natale il y en a certains qui s’avéraient – et s’avèrent encore toujours – se prouver être suffisamment racistes et à bout de nerfs pour tenter le coup sous un caprice. J’en avais déjà rencontré une de mes propres yeux et au péril de ma vie, d’ailleurs…) … autant m’envoyer à l’abattoir !
Mes soupçons s'avérèrent juste. L’épicerie était close : en son intérieur, une femme voilée extrêmement corpulente, postée en face de l’une des caisses les plus proches des portes, s’affairait sereinement à la mise en recomptage de son appareil. Fulminant de rage et de douleur, mais néanmoins enthousiaste que la température s’était nettement plus allégée désormais que le vent avait cessé de souffler, je retournais chez moi les mains vides, non sans entrapercevoir de côté – puis pressentis, une fois hors de portée de ma vue périphérique – que j’avais une paire d’yeux me toisant avec insistance (et, ressentais-je, un soupçon de mélancolie sensuelle et de nostalgie douce-amère… ???) depuis l’autre côté des vitrines, regardant m’en aller en longeant la face vitrinée du magasin. Je ne souhaitais pas savoir pourquoi… pas plus que je ne souhaitais comprendre pourquoi ces impressions m’assaillant subitement à une certaine distance couplée par la sensation d’être observé, me parussent toutes non pas tant méconnues en mon cœur. Depuis tout jeune, j’ai toujours été qualifié par ma mère de posséder, tout comme elle et tant d’autres de mes parentés de sang, ce que certains dénomment un « esprit sensible ». De plus, je suis loin d’être moche : si je prenais continuellement attention à toutes les impressions tourbillonnant autour de moi ou à tous les coups de foudre que j’eux jamais instillé dans les cœurs et les cuisses d’autres femmes en ma présence, je crains fort bien qu’un pareil degré d’hypervigilance finirais par m’en faire perdre la raison! Sonder le cœur d’une parfaite inconnue ne m’importait guère, surtout en cet instant et contexte.
Le retour fût plutôt long. Un trajet aller-retour en cette période calamiteuse était généralement d’une durée de deux heures et demie si l’on ne rattrapait pas l’autobus partant de cette ville à celle duquelle j’habite à temps. Arrivé chez moi, ma sœur me commanda d’aller m’y rendre encore une fois demain soir et ce, en dépit de mon emploi du temps chargé en fin de journée. Elle semblait s’en fichait à moitié de l’état de mes extrémités, quoiqu’elle fît allumer la cheminée et me passa une couverture rapidement. Comme j’ai toujours détesté cette cruauté à demi-plans des gens : toujours à jouer aux girouettes, tentant de jouer sur les émotions et la filiation. Je n’avais pas encore découvert ce que c’était que la définition de « gaslighting » ou « détournement cognitif » en langue de Molière, mais j’avais vécu déjà d’or et davantage été entouré pendant toute ma jeunesse d’esprits misérables, de sadiques émotionnels et de personnalités aux tendances narcissiques afin de me rendre compte depuis une belle lurette de son entourloupe.
Je fus forcé donc d’y retourner lors de la seconde soirée… mais trop tard !! Ils venaient tout juste de verrouiller les portes glissantes sous mon nez, me faisant poliment rebuffer au passage par un tout nouveau commis de fermeture n’ayant jamais eût vent de mon existence (et donc jamais été immergé dans le climat de rancune aux connotions raciales et provocatrices, d’effroi mal dissimulée et de mépris affiché que le restant du personnel étant encore employé en ces lieux, à l’époque, arboraient tous en me croisant dans les rues— non sans baisser pressamment la tête en signe de révérence craintive et honteuse ou de pisser dans leur frocs littéralement lorsqu’il m’arrivait assez rarement de ne pas demeurer indifférent à leurs existences en leur jetant un bref instant des flèches du regard, leur faisant de temps à autre quelques piqures de rappel…) , sans doute un Libanais âgé d’environ dix-sept ans ou plus au vu de ses manières et de sa stature costaude mais trapue et un peu molle, de ses larges épaules et ses bras un peu épais. Nous étions à seulement moins d’une minute avant la fermeture. L’adolescent se démontra cordial et professionnel. Il était assisté par cette même caissière au physique comiquement obèse m’ayant reluquée le soir précédent. « Il serait mieux de revenir plus tôt, demain » , s’excusa-t-elle poliment : tentant bien de me mettre à l’aise, quoique néanmoins avec une maladresse fort louche, par son attitude puis le ton de sa voix uniquement, un sourire embarrassé s’étant perclus sur son visage enrobé et tout confiné en un triple menton énorme, comme de son regard de chiot. J’acquiesça de la tête puis m’en alla, morose.
Au soir suivant, j’étais retourné sur les lieux, cette fois-ci dix minutes avant la fermeture. Je me dépêchais d’emprunter un raccourci via le parking arrière de l’établissement, m’élançant d’un pas agile mais prudent en-travers les portails mi-clôturés et des petites buttes de neige durcie. Mon arrivée fulgurante fit promptement paniquer une svelte cliente arabe de passage en solitaire dans le parking, cette dernière sursautant tant bien de peur que son petit bond fit céder les sachets en plastique qu’elle trimbalait en chaque main sous la pesanteur : se déchirant et relâchant du coup tout le contenu de ses emplettes fraîchement achetées contre le bitume gelé avant que la porteuse se mise aussi par glisser puis s’affaler douloureusement contre le sol glacé. Il ne me restait que peu de temps. Zut ! J’avais été trop bien élevé. En bon gentilhomme, je la bombardai d’excuses tout en me portant volontaire pour aider la passante encore méfiante à ramasser ses emplettes puis l’aider à les faire transporter dans sa voiture, stationnée une bonne vingtaine de mètres de notre point de collision. Elle me remercia chaleureusement, me semblant un peu honteuse de m’avoir prise au premier abord pour l’un de ces délinquants de rue comme charmée par mes bonnes manières et sens des civilités, me bénissant pour ma bonne action avant de me souhaiter une bonne soirée et de faire démarrer son véhicule. J’en étais reparti avec un petit sourire aux lèvres qui s’effaça rapidement dès lors que j’avais contourné la première rue et— Zut ! Avais-je songé, c’est déjà fermé!!
Pendant un instant, je m’étais pétrifié. Prit un grand bol d’air frais, question de me relaxer les nerfs, puis contourna la rue. Je m’étais alors encore arrêté une nouvelle fois, tourna ma tête en direction d’un tandem de silhouettes s’affairant dans la mi-pénombre a l’intérieur du magasin, semblant occupé à faire le nettoyage. Pendant une minute, j’épiais depuis une distance respectable cette femme s’affairant à fermer son bureau de caisse. Jamais n’avais-je réellement prêté attention à son apparence jusqu’alors, me surprenant moi-même d’avoir à l’esprit qu’il s’agissait de la toute première fois depuis un bail que je trouvais une caissière aussi physiquement captivante à y poser son regard sur. Elle demeurait sans nulle doute la personne la plus grosse ayant jamais travaillée en cette épicerie, à en juger par sa corpulence massive, son extrêmement spacieux derrière ainsi que ses jambes aussi épaisses qu’une paire de troncs d’arbre. Combien pèserait-t-elle? Me demandais-je. 300 livres [136 kilos] ?? Peut-être pas bien loin de 400 [182] ??? Comment est-ce que quelqu’un d’aussi énorme et au bas du corps si encombrant fait-t-elle pour trouver la force nécessaire de se tenir debout dans des quarts de travail d’une durée de huit heures chaque sans se morfondre de toute cette pesanteur corporelle engendrée par son surpoids?? Enfin, ne serait-elle pas aussi excessivement ventrue…??? Ai-je tentativement assumé par usage de ma mémoire.
La femme forte usa de la force de mouvement de ses pas d’éléphante afin de caler pesamment ses hanches énormissimes d’avant en arrière, étendit un tantinet ses bras en position basse, puis recouvrit son équilibre sans avoir à faire écarter ses cuisses de mastodonte— ce qui était pratiquement impossible, vue leur largeur. Ses subtiles petites corrections faites à l’encontre du spectre de mouvement considérablement réduit de son propre corps engendraient des ondines de remous adipeux parcourant son lard tout entier le long de ses bourrelets de dos jusqu’à ses genoux en deux ou trois secondes. J’ai senti comme un serrement dans mes jeans. Puis en l’espace d’une réviviscence, il me vint à nouveau de me remémorer du jour ou je me tenais non loin de là ou je m’étais brièvement arrêté, en train d’épier pendant un bref instant cette caissière libyenne. Cette admiration lascive et bouillante me mordant au plus profond de moi alors que mon regard s’attarda au loin sur les changements physiques ridiculement incroyables que deux années entre sédentarité et un jobine à mi-temps, d’études surchargées à l’université, mais surtout et avant tout de festins et buffets sans fin passées a chaque nuit de Ramadan, avaient toutes causées comme « dégâts » a son physique jadis svelte, gracile et élitiste de top-modèle… désormais complément transformée de par ses courbes s’évasant à une vitesse au fil de cet été, les magnitudes ahurissantes de son boule enflant en des proportions stéatopyges ou encore ses cuisses galbées mais en chair. C’était il y a de cela près de quatre années avant les événements narrés dans cette histoire.
La fraction de seconde suivante, j’étais de nouveau dans le monde réel. Mon cœur s’accéléra, stupéfié. Noooooon. C’est p-aaaaaas po-ssible… avais-je songé à voix haute. Il s’était bien écoulé près de trois ans après tout. De plus, elle avait déjà gagné beaucoup de poids pendant le Ramadan de l’an 2013… donc, pourquoi pas??
Je m’étais mis à hocher de la tête, tentant de faire écarter l’idée en mon esprit. Comment aurait-elle prise de deux à trois cents livres [quatre-vingt-onze à cent trente-sept kilos] en seulement trois ans?? Avais-je tenté de rationnaliser. Je m’étais mis alors par avoir des flashbacks de toutes les fois que j’eus témoigné de l’incroyable, voire de l’impossible et du bizarre en matière de femmes prenant du poids à des vitesses records, voire quasi-inhumaines ou simplement en violation totale des lois de la physique telles que nous la connaisâmes. De toutes les fois par lesquelles, comme par une malencontreuse ou fortuite coïncidence, je me retrouvais de passage à témoigner de ces cas— voire de les causer par incident et tout simplement parce que j’étais de passage dans les environs. Des mannequins feedees de l’acabit de ChubbyBunnyWriter ou de Mochi Babii – de cette vague de feedees capables de prodigieusement gagner des centaines de livres en l’espace d’une année, voire d’un trimestre ou deux sans montrer le moindre signe de ralentissement ni de difficulté en leurs morbides attentes – se faisaient encore rare, en 2017 : elles étaient sujettes à devenir forcément des sujets de mythes urbains et de légendes de foire au sein de la scène feedériste en ligne, des raretés passant par-dessous les radars de moult amoureux du gras. Enfin, même si que moi-même ainsi que des proches à l’époque avaient été ensemble été déjà témoins en une occasion d’une femme ayant prise près de 75 à 85 livres (34 à 38 kilos) en l’espace de trois semaines passées tout subitement à se goinfrer et quelques autres cas semblamment hors de l’ordre ordinaire de la nature en cette manière (si étranges qu’essayer ne serait-ce que ramener le sujet par-dessus le tapis instillait de rage et d’effroi quiconque souhaitant que les lois du silence et du déni prévalent parmi nos cercles sociaux) . Il me semblait encore fort humainement improbable pour tout jeune individu en santé de passer de la cinquantaine de kilos à près de trois fois et demie ce poids en l’espace d’une demi-décennie— à moins d’être sous médication, de souffrir d’hypothyroïdisme ou d’avoir le taux métabolique le plus médiocre sur terre. En bref, des prises de poids aussi grotesques que phénoménales, ça ne courrait pas tous les coins de rue!
Non-non-non, oublie ça! Ça ne peut pas être elle… m’étais-je commandé de supprimer comme pensée, alors que je me rendais à nouveau chez moi, les mains vides. Ayant déjà tout oublié de cette révélation a l’esprit. De la Libyenne… et de sa prise de poids monstre.
A suivre…
boy1989 Prends goût à la conversation
Nombre de messages : 107 Age : 35 Date d'inscription : 27/12/2020
Sujet: Re: Fit to fat Lun 26 Déc 2022, 15:03
Si John Smith X a une idée d'histoire, il a tout à fait le droit de créer un autre topic dédié. Ça serait même préférable je pense.
La suite de mon histoire.
Je pris donc ma voiture 3 jours après pour aller manger avec Anthony au Fa(s)t Food qu’il m’avait indiqué. J’étais un peu surpris par l’horaire (14h) mais ça me gênait pas. Arrivé sur le parking, j’étais un perdu, les places étaient classées avec un code couleur avec des panneaux où il y avait des fourchettes de poids. Après quelques secondes, j’ai compris que chaque client devait se garer sur une couleur spécifique en fonction de son poids. Plus on était gros, plus on pouvait se garer proche de l’entrée du resto. Étant franchement maigre, j’ai été me garer sur les places les plus éloignées et qui étaient aussi les moins visibles depuis la rue d’ailleurs. J’ai marché jusqu’à l’entrée, j’était en avance, j’ai donc décidé d’attendre Anthony dehors devant l’entrée. D’un coup, un voiture arrive. J’ai reconnu Anthony dedans. Il vient se garer dans les places les plus proches de l’entrée. J’ai trouvé que sa voiture était très basse et le volant paraissait tellement petit dans ses mains. Il avait une sorte de rallonge pour la ceinture de sa voiture. Il descendit de sa voiture avec difficultés. Une fois sorti, sa voiture remonta de plusieurs centimètres. J’en croyais pas mes yeux. Je vis Anthony debout pour la première fois. Il avait un débardeur trop petit. Il essayait de le descendre péniblement pour cacher au moins son nombril mais il remontait presque aussi tôt laissant tout son ventre à l’air libre. Son débardeur ressemblait plus à une brassière. Seuls ses moobs étaient recouverts. Anthony avaient un short qui était aussi trop petit. Il ressemblait plus à un caleçon ou un shorty qu’à un short. De plus, son énorme ventre le cachait et arrivait presque à mi-cuisse. En plus du ventre, Anthony avait aussi accumulé beaucoup de graisse au niveau des hanches et des fesses. Il marchait avec difficultés. Toute sa graisse se trimballait d’un côté ou de l’autre à chaque pat. Ses cuisses pleines de graisse se frottaient entre elles. Bizarrement, la peau était plus foncée à cet endroit. On se salua et on rentra pour commander. J’ai remarqué qu’il était ouvert 24h/24 et que la tarification encourageait à venir hors heure des repas (voilà pourquoi il m’a dit de venir à 14h) et à des fréquences « inhabituelles ». En résumé, le resto récompensait (remise, divers avantages) et donc encourageait les gens à manger n’importe quand en particulier hors heure habituelle des repas (nuit, milieu d’après midi, matin…) et plus de 3 fois par jour. Il y avait aussi des avantages liés au poids (place parking, remise en fonction du poids). Ça avait l’air de marcher avec Anthony… Les portes et tous les objets était XXL dans ce Fa(s)t Food. Il y avait des « reposes ventre » au niveau de la fille d’attente. Ça permet de poser son ventre pendant l’attente debout. Anthony posa le sien, notre tour arriva et on commanda. A vrai dire, j’avais pas trop faim donc je ne pris que le menu « XS ». Anthony a pris le menu « XXL » qui représentait 3× mes repas habituels lol. On a prit l’ascenseur (extra-large) pour manger à l’étage. Les tables avaient un drôle de système. À chaque place, elles pouvaient se régler pour laisser de la place au ventre en fonction de sa taille au centre tout en gardant les deux côtés proches des deux mains. Anthony régla sa partie presque au max possible. J’avais envie d’aller aux toilettes juste avant de manger. Anthony m’indiqua le chemin et je lui dis qu’il pouvait commencer à manger avant mon retour. J’ai était surpris de ne voir qu’un urinoir et beaucoup de toilettes « individuelles » par rapport à d’autres restos. De plus, il fallait être en dessous d’un certains poids pour l’utiliser. Je me demandais pourquoi ? Au retour, j’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de personnes torse nu à table. Je me demandais pourquoi ? Arrivé à notre table, j’ai constaté qu’Anthony venait tout juste de commencer son repas mais j’ai vu ensuite qu’il y avait les restes d’un repas sur la table… A suivre
Jai aime ce message
coca-man ADMIN
Nombre de messages : 2001 Age : 38 Localisation : Suisse profession : ... étudiant loisir : manger, boire, bouffer, dormir ... me remplire le ventre ! Date d'inscription : 10/12/2007
Nombre de messages : 107 Age : 35 Date d'inscription : 27/12/2020
Sujet: Re: Fit to fat Sam 01 Avr 2023, 22:16
Voici la suite. J'ai mis un peu de temps pour l'écrire.
Anthony était donc en train de manger son second repas. Moi, je commençais tout juste mon repas. Anthony m’expliqua pour les toilettes que dans ce resto les mecs avaient souvent leur pénis noyé dans la graisse (c’est donc difficile de l’orienter) donc il y a eu quelques accidents aux urinoirs, certains « tiraient » à côté de l’urinoir avec leur pénis qui ressemblait plus à un clitoris de visu. Ils ont donc limité le poids et quasiment plus personne les utilisait. Ils ont donc décidé de ne laisser qu’un urinoir.
Devant le nombre de gens torse nu, Anthony m’expliqua que dans ce resto, beaucoup de gens laissaient tomber de la nourriture sur leur poitrine ou leur ventre. Pour ne pas gaspiller et ne pas salir les vêtements, les gens peuvent se mettre torse nu et se lécher ou « récupérer » la nourriture tombée. Anthony s’était mis torse nu pendant que j’étais aux toilettes. Son ventre, ses seins et son double menton avaient déjà des traces de nourriture. Il mangeait avec les mains qui étaient pleines de nourriture.
On commença à se rappeler du temps où on était étudiant. Il me confia qu’il était malheureux dans sa vie de « bodybuilder ». Il faisait ça uniquement pour remplir les critères de beauté de la société. Il y a 3 ans, il a fait un burn out par rapport à cette lutte contre la graisse et pour les muscles (il avait tendance à vite prendre du poids, de la graisse) Pendant cette période, il a rencontré une FFA qui a réussi à le sortir de tout ça. Il a complétement arrêté la musculation et ne contrôlait plus sa nourriture. Il s’est complétement laissé aller et a retrouvé le bonheur. Il m’a montré les photos de son évolution. La rapidité de sa prise de poids était impressionnante. J’arrivais pas à y croire. Il me confia qu’il aime prendre du poids maintenant mais il se force même pas à manger. Ça « vient » tout seul. Il fête les étapes symboliques (les moobs qui poussent, son ventre qui cache la vue de son pénis, l’apparition de vergetures, passage des dizaines etc). Sa copine FFA lui fait de très bon plats. Après la fin du repas, il me proposa de se revoir chez lui le lendemain lors d’un repas pour rencontrer sa copine. J’accepta et nous sommes repartis chacun chez soi en sortant du resto. En rentrant chez moi, je repensais à notre conversation et j’étais très content pour lui. Sa fierté par rapport à son corps et à on obésité m’impressionnait. Il avait pas peur de le montrer.
Une chose bizarre m’est arrivé la nuit suivante. Je me réveillai d’un coup avec une très forte envie de manger mais je n’avais plus rien dans le frigo. Je me rappelai soudain que Fa(s)t Food livrait 24h/24. Je décidai de prendre mon portable et de commander….
A suivre
fatnesse1, miam14 et Jai aiment ce message
boy1989 Prends goût à la conversation
Nombre de messages : 107 Age : 35 Date d'inscription : 27/12/2020
Sujet: Re: Fit to fat Dim 09 Juil 2023, 01:13
Le livreur est arrivé rapidement en moins de 5 minutes. Heureusement car j’avais de plus en plus faim. J’avais pris le même menu XS de la veille. Ce menu m’avait suffit. Je me suis jeté sur le repas dès que le livreur est repartit. A ma grande surprise, j’avais encore un peu faim à la fin de mon repas. Il faut dire que j’ai jamais été un grand mangeur et je suis très maigre (pas plus de 60 kg). J’ai décidé de me recoucher pour être en forme pour le repas d’Anthony et de sa copine. Cette petite faim m’empêcha pas de me rendormir. Le lendemain matin, je suis allé faire les courses pour remplir mon frigo.
En fin de matinée, je pris donc ma voiture pour aller chez Anthony. C’est sa copine qui m’ouvrit. Elle était très mince et avait la taille « mannequin ». La différence de morphologie avec Anthony était impressionnante. C’était un couple 10.
Anthony arriva juste derrière elle. Il était tout essoufflé et transpirant comme s’il venait de faire un jogging. Il m’expliqua qu’il venait juste de son jardin pour m’accueillir. Il faisait assez chaud. Il était donc « habillé » torse nu avec un petit boxer. On ne voyait que ces formes pleines de graisse : ses seins plus gros que ceux de sa copine, son gros ventre qui pendait, ses cuisses qui ressemblaient à des jambons etc Il fit les présentations d’usage avec sa copine. Elle s’appelait Clara. Elle était en train de faire le repas.
On se dirigea vers la salle à manger/salon. J’ai été intrigué par une porte tout de suite après l’entrée où il y avait écrit « salle de gavage ». La porte était fermée. Tout était grande taille dans cette maison : les portes étaient super larges, le canapé aussi. Il y avait des équipements pour qu’Anthony puisse manger depuis son canapé avec une table surélevée. La cuisine était hyper grande. J’ai été un peu affolé quand j’ai vu les quantités de nourriture que Clara avait préparé. Elle m’a rassuré en me disant que ça se mangeait « sans faim ».
Nous décidions de rapidement passer à table. La faim commençait à arriver pour Anthony mais aussi pour moi. Les premiers plats étaient servis par Clara. C’est elle qui donnait à manger à Anthony. Il n’avait qu’à ouvrir la bouche. Ça ressemblait presque à un gavage. Anthony avait tout juste le temps d’avaler son morceau, Clara lui en présentait un nouveau. C’était ultra-rapide. Anthony était presque dans un état second plein d’excitation. C’est bizarre mais j’avait à la fois un certain étonnement et un certain plaisir à voir cette scène.
Je mangeais les différents plats qui étaient aussi délicieux les uns que les autres. Clara était une très bonne cuisinière qui donnait envie de manger ses plats. Je me suis surpris de manger autant de nourriture en un seul repas. C’était la première fois. Il a fallu le troisième dessert pour me rassasier. Je pense que j’avais mangé 5 ou 6 fois ma ration habituelle. Je me sentais littéralement « plein ».
Anthony commençait à s’endormir sur sa chaise. Clara me dit que c’était normal. Il s’endormait toujours après les repas qu’elle lui préparait. Perso, j’avais une envie d’aller aux toilettes. Je décidais d’essayer de me lever de ma chaise…
A suivre
Jai aime ce message
Jai Goûte aux conversations
Nombre de messages : 55 Age : 53 Localisation : Québec profession : Contremaître en bâtiment Date d'inscription : 16/10/2021
Sujet: Re: Fit to fat Mer 12 Juil 2023, 18:21
Super continue
boy1989 aime ce message
boy1989 Prends goût à la conversation
Nombre de messages : 107 Age : 35 Date d'inscription : 27/12/2020
Sujet: Re: Fit to fat Mar 18 Juil 2023, 21:37
Jai a écrit:
Super continue
Merci beaucoup. La suite est en cours d'écriture. Je sais pas si je veux insérer ou pas des scènes un peu sexuelles dans mon histoire.
Jai aime ce message
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Fit to fat
Fit to fat
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum