Loeylane

Elle s'appelle Loeylane c'est une youtubeuse body positif normalement maintenant elle fais surtout de l'horreur
Je sais que sur curvage ils aiment beaucoup parler d'elle donc j'ai décider d'en parler car elle est intéressante surtout pour la prise de poids énorme qu'elle a faite mais normalement elle n'a rien n'a voir avec nous activités

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C'est vraiment la même personne o0 ?!

Exactement la même personne juste avec "quelque" kilo en plus
Elle parle généralement très peu de son poids mais elle doit automatiquement savoir que les fetechistes apprécis c'est... Petite rondeur pour ma par j'aime beaucoup son avant après

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[quote="missi"]

Cette beauté 🥰

Elle est un peu instable.

C'est une fêtarde qui aime bien la boisson donc un moment c'est normal qu'elle a prit un peu de poids
J'insiste sur un peu je vous passe une photo qu'elle a poster aujourd'hui sur son insta

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missi a écrit:

C'est une fêtarde qui aime bien la boisson donc un moment c'est normal qu'elle a prit un peu de poids
J'insiste sur un peu je vous passe une photo qu'elle a poster aujourd'hui sur son insta

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En fait, il lui serait arrivé une tragédie personnelle qui lui fit trouver confort dans le fait de manger, d'où sa prise de poids phénoménale.

Je ne me souviens plus de quoi exactement. Un deuil, je crois bien.

C'est la mort de son père après ça elle est devenue extrêmement fêtarde

missi a écrit:

C'est la mort de son père après ça elle est devenue extrêmement fêtarde

Pour compenser…

Mais bon, son état psychologique mis à part, elle n'est pas une femme honnête du tout. Elle a été très éloquente il y a de cela quelques années quant à son refus de vouloir se mettre en couple ou se faire aborder par des hommes en surpoids ou obèses, prétextant qu'elle trouve les hommes minces et athlétiques beaucoup plus attrayants et que les gens se doivent de respecter ses préférences ou celles de toute autre femme obèse… alors qu'elle est la première à calomnier des hommes d'être grossophobes s'ils n'éprouvent pas ou parlent ouvertement de ne pas avoir d'attirance pour des femmes comme elle.

Cette rhétorique hypocrite et ultra-féministe contemporain à deux balles lui a valût à elle ainsi qu' à d'autres de ces auto-proclamées défenseuses du Body Positivity en ligne pas mal de critiques, les accusant d'appliquer des doubles standards misandres au sein de leur propre milieu et de ne pas être véritablement positivistes si ces dernières sont les premières à stigmatiser des personnes obèses et  à reléguer les hommes obèses dans l'ombre au sein de leur propre mouvement.

Comme tu vois, cela  à nécessairement affecté ses côtes de popularité car désormais, elle ne s'affiche qu'avec des femmes maigres aux cheveux mauves dans ses pseudo-relations de couple rendues publiques. Joli coup de marketing : comme ça si elle se fait accuser de ne pas vouloir se rouler dans le sable auprès de lesbiennes tout aussi corpulentes et énormes qu'elle, elle n'aura qu'à sortir la carte Uno de la persécution homophobe contre la gente féminine alphabétisante et boom, voilà.

Ah ça il y a beaucoup d'incohérence, d'hypocrisie et de doubles standarts chez les personnes militantes en général. Dans toutes les causes.
Sinon, malheureusement il y a souvent tout et n'importe quoi derrière le mouvement "body positivy". Il y a aussi beaucoup de récupération derrière ce terme avec des femmes au physique du type Kim K (qui ont des formes sans être grosse) qui s'incluent dedans. Sans oublier l'absence totale des hommes obèses.

boy1989 a écrit:

Ah ça il y a beaucoup d'incohérence, d'hypocrisie et de doubles standards chez les personnes militantes en général. Dans toutes les causes.
Sinon, malheureusement il y a souvent tout et n'importe derrière le mouvement "body positivy". Il y a aussi beaucoup de récupération derrière ce terme avec des femmes au physique du type Kim K (qui ont des formes sans être grosse) qui s'incluent dedans. Sans oublier l'absence totale des hommes obèses.

Bah, dépendamment de la région, le physique que certains groupes d'individus dans les pays occidentaux associent (à tort et à travers) aux Kardashians sont bien moins tolérés en certains pays que d'autres. Je donne pour exemple Karina Irby, cette Euro-Australienne militante du « Body Positivity » qui se fait quotidiennement - je dis bien quotidiennement - cyberharceler et envoyer sur ses publications des appels l'encourageant sommairement à s'ôter sa propre vie par une horde de barjos (bien souvent ses propres compatriotes, hommes comme femmes. Mais aussi des Américains/nes et autres Anglos) , tout simplement en raison du fait qu'elle souhaite normaliser les corps de mannequins atteintes d'exéma puis se soit faite volontairement grossir afin de troquer son ancien physique de planche maigre en faveur d'une silhouette abondamment plus plantureuse et d'un postérieur énorme et bien cambré…

… puis ça, c'était avant qu'elle ne commence à arborer que tout récemment des signes visibles démontrant qu'elle serait atteinte de surpoids sévère. C'était avant que son visage ne commence à devenir un tantinet rondouillet, son double menton par pousser un peu plus visiblement chaque mois, ses bras à se ramollir, ses bourrelets par s'amasser le long de ses reins, son corps par pousser un peu du bide et ses fesses à atteindre chacune la taille de deux ballons de volleyball remplis de cellulite et de gras. Maintenant, ils - (puis par « ils » , je ne parle pas non plus seulement de jeunes, mais aussi des parents et des personnes d'âge mûre) la demandent d'aller se faire pendre parce qu'elle entamerait soi-disamment une « campagne malsaine de glorification de l'obésité » , qu'elle serait devenue « grosse et moche » et qu'elle incarnerait un mauvais exemple pour tous les jeunes filles (déjà, d'abord pourquoi des jeunes filles devraient suivre l'exemple d'une meuf qui se trimbale en bikini dans les réseaux sociaux?? C'est que vous avez déjà échoués en tant que parents et génération) .


Pour être honnête, la seule raison par laquelle elle se fait autant ramasser dans les réseaux sociaux sont les mêmes raisons auxquelles bon nombre de femmes blanches américaines âgées d'entre 55 ans et plus ne sacquent pas les Kardashians (pour les mauvaises raisons au lieu des bonnes) : elles ne supportent pas qu'une Blanche puisse promouvoir un physique ayant longtemps été chosifié et hypersexualisé dans l'imaginaire populaire des pays anglo-saxons (et dans les pays francophones aussi) comme étant un physique « exotique » , le corps et l'apparence d'une femme « ethnique » ou racialisée. Le fait qu'une jeune Blanche qui soit conventionnellement attrayante et ayant les cheveux couleur de blé puisse troquer sa maigreur socialement acceptable en faveur du surpoids et d'un physique associé dans notre mentalité post-coloniale à celles de femmes racialisées en provenance des tropiques et des pays latins, c'est une attaque contre les sentiments de supériorité culturelle/raciale et de semblant de contrôle de soi intrinsèquement gravées dans le zeitgeist des critères de beauté modernes promulguées en Europe occidentale et en Amérique du Nord-- et du coup, une attaque contre le zeitgeist de ces mêmes sociétés tout court, un peu dans dans la même veine que le discours du péril de l'immigration radoté en certains pays.

Si ce discours subtilement raciste et misogyne de la part d'un certain nombre d'hommes et surtout de femmes radoteuses se fasse désormais un peu moins entendre chez les Ricains ou en France, cela n'est peut-être pas encore le cas en Australie…

La Karina Irby mise à part, en effet les hommes obèses se sont littéralement fait écarter du discours de ce pseudo-mouvement militant à deux balles dès ses tout premiers instants. C'est de là que part toute l'hypocrisie de ce milieu voulant vociférer à la grossophobie et à tous les -ismes, alors que leurs propres défenseuses ne font que documenter davantage toutes leurs incohérences, grossophobie internalisée, ségrégation internalisés entre femmes basées sur leur tour de taille ou niveau de poids, complexe d'infériorité, mépris envers les femmes plus minces, grossophobie aux connotations misandres et autres -ismes, bien ironiquement.


Il y a aussi le fait que ce milieu entretient auprès de notre propre semblant de « communauté » fétichiste une relation qui se veut bipolaire, taciturne et mercantile depuis ses tous débuts-- bien plus incohérente, changeante et mercantile que celle que cette dernière possède sans réellement s'en remémorer avec l'industrie du mannequinat standard depuis la fin des années 2010, en tout cas.
La vaste majorité de toutes ces femmes militantes flirtent abondamment avec un langage tant bien visuel qu'écrit composé notamment de signaux mixtes, quiproquos, Schadenfreude et tournures de phrase, tous aux connotations ayant rapport au fétiche du gras ou à ses ramifications. Leurs portfolios au sein de leurs comptes sur les réseaux sociaux sont quasi-pornographiques et plus les jours, mois ou années s'écoulent et plus on ressent l'impression de visionner un de leurs propre dossiers honorifiques bien documentés émis par leurs admirateurs sur le site de StufferDB.


Avant qu'elle ne commence à prendre du bide, Karina Irby faisait des années durant un TROP grand nombre de vidéos et de photographies laissant insinuer qu'elle serait portée dans les fétiches de l'enflement du ventre (ou belly inflation) , le gavage (ou stuffing) ainsi que l'enflement corporel (ou bloating) . Elle adore aussi faire remuer tout ce qui a de mou, de lourd et de gras sur son corps grossissant (jiggle fetish) et fantasmait à l'idée d'avoir un double menton depuis qu'elle avait que de la peau sur les os. On pourrait aussi avancer comme remarque qu'elle aurait également des tendances fétichistes pour le grossissement du fessier (butt expansion) ainsi que les gros derrières, mais ces deux dernières tendances sont désormais normalisées en pas mal de pays occidentaux, tout comme les fétiches des gros seins ainsi que des poitrines grossissants (breast expansion) .

La chroniqueuse en trafic routier, mondaine, « influenceuse » , militante et « mannequin » des réseaux sociaux américaine Demetria Obilor ( surnommée « La Chérie du Trafic » ou « Traffic Bae » par ses fans) est une auto-proclamée « creuseuse de bouffe » ou « food digger » : une expression née dans le jargon de notre communauté pour décrire une creuseuse de diamants (« gold digger ») étant aussi une feedee compulsive. Ces mêmes compulsions ont pendant un temps faite atteindre le stade de l'obésité morbide à un poids de 200 livres (91 kilos) pour une taille d'à peine un mètre cinquante-quatre de haut!

La cancérologue, recherchiste médicale, « influenceuse » et « mannequin » américaine en fitness, militante et auto-proclamée « fOoDiE iNtUiTiVe » Stephanie Buttermore?? Sa présumée intuition est si évidente que ça en devient presque grotesque. Tout le milieu de l'industrie des « influenceurs » en fitness savent tous et toutes ce qu'elle fait n'est qu'une excuse afin de céder à ses pulsions fétichistes de temps à autre sans se sentir coupable de jouer aux yo-yos humains entre la minceur et l'obésité chronique deux à cinq fois par année. J'ai même publiquement écrit sur son compte Youtube que JE sais ce qu'elle fait et dénommer le chat par son nom et ELLE A CLIQUÉE J'AIME puis même répondue avec la même « meuh-c'est-faux-bla-bla-bla-clin-d'oeil-et-les-fans-idiots-qui-viennent-jouer-aux-chevaliers-blancs-sans-se-rendre-compte-de-rien » réponse que toutes les autres comme elles me donnèrent dans leurs comptes Youtube, il y a de cela des années! Elle sait. Je le sais. Le milieu le sait. L'autre milieu le sait. Et cela ne dérange personne tant que l'on n'appelle pas un chat un chat.


Je pourrais donner tellement de noms que je pourrais même révéler des noms de mannequins, de femmes d'athlètes, de célébrités et de michtonneuses dont nul se douterait qu'elles seraient à fond dans ce fétiche car elles seraient soient bien connues dans le milieu OU auraient commencées dans cedit milieu avant de se reconvertir outre part, soient se cachent trop bien ou soient parce qu'elles auraient déjà été mes feedees en ligne par le passé.

On veut des noms maintenant, tes messages sont super intéressants à lire en tous cas.