L'hystérie vorace

J'ai moi-même inventé puis popularisé ce terme, l'an dernier, au sein de la portion anglophone de notre blogosphère lipophile. Je fus plutôt ravi de tomber sur des blogs Tumblr tenus par des Fat Admirers comme par des feedees des deux sexes ayant rapidement adopté ce terme au fil du dernier trimestre 2021.

***

Une hystérie vorace (ou « feeding frenzy » dans les jargons anglo-canadien comme anglo-américain) est un néologisme adopté tout récemment par un petit nombre croissant d'individus au sein de la communauté du fétichisme des graisses - ou « Fat Fetishism » -  en ligne, afin de donner mot et signifiance à un mécanisme psycho-physiologique; observable parmi un large nombre d'individus (assez souvent, mais naguère exclusivement de sexe féminin) adeptes au feedérisme comme complètement ignorants ou adverses audit fétiche en société; s'apparentant en toute vraisemblance et en matière de schéma comportementale à une amalgamation d'hyperphagie et autres troubles alimentaires, de sitophilie, de marcophilie et de certains troubles de la personnalité, par lequel des personnes affligées développent subitement - et pour une période indéterminée - de puissamment violentes pulsions de faim, d'avarice et de gloutonnerie accompagnées toutes par une obsession morbide et compulsive à l'idée de s'engraisser elles-mêmes et/ou de se faire davantage engraisser par pure satisfaction d'ordre esthétique comme ludique et érotique-- perçue comme étant un intense sentiment de délivrance personnelle et existentielle, des tendances hypersexuelles, un décroissement marqué de leurs inhibitions morales comme psychiques, un manque de contrôle émotionnel, un transfert psychologique intense envers une figure individuelle ou groupusculaire sensé offrir ressources et revitalisation à leurs nouvelles pulsions,
ainsi qu'entre autres un changement soudain de personnalité pouvant quelques-fois frôler les limbes entre une forme pathologique d'état de « charge existentielle » ou de « double conscience » (ou « double-consciousness ») par l'écrivain et sociologue américain W.E.B. DuBois et le psychanalyste et écrivain algéro-martiniquais Frantz Fanon d'une part, puis une forme de trouble dissociatif de la personnalité ou de dissociation sélective d'autre part.

L'hystérie vorace, pour la faire court, se décrierait comme étant une sorte d'état second primal, de transe ou d'engouement compulsif auquel quoi ses « souffrants/es » développent presque du jour au lendemain une obsession quasi-inhumaine et vorace pour le gavage et la prise de poids : soit sous l'effet exclusif ou combiné du stress social, d'un traumatisme psychologique, d'un abus, d'une tension sexuelle éprouvante, d'un besoin insatiable d'attention et/ou de validation, sous l'influence psychologique (ou autrement étrange) d'un seul individu ou d'un groupe, d'une dynamique sexuelle au sein d'un couple ou relation ou sous une vive impulsion de rebellion.

Les effets physiologiques comme mentaux, degrés d'intensité et fréquencité de ses crises peuvent varier d'individu en individu et peuvent s'atténuer en l'espace de quelques jours comme perdurer de façon constante ou exponentielle pendant des mois à quelques années, voire une vie entière.


Un très petit nombre de personnes affligées par cet étrange phénomène rapportent avoir prises une somme quasi-impossiblement excessive de surpoids en des temps records, allant parfois de 15-30 livres ou plus (6.8-13.6 kilos ou plus) en l'espace de cinq à quatorze jours, à près de 50-100 livres (22-45 kilos) en l'espace de trois à six semaines…  à plus de deux cents livres (90 kilos) en l'espace de moins d'un an!
Il est cependant impossible de déterminer si leurs prises de poids massifs éclair aient tous ou chacune une corrélation directe avec ladite hystérie.

John Smith X a écrit:

J'ai moi-même inventé puis popularisé ce terme, l'an dernier, au sein de la portion anglophone de notre blogosphère lipophile. Je fus plutôt ravi de tomber sur des blogs Tumblr tenus par des Fat Admirers comme par des feedees des deux sexes ayant rapidement adopté ce terme au fil du dernier trimestre 2021.

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Une hystérie vorace (ou « feeding frenzy » dans les jargons anglo-canadien comme anglo-américain) est un néologisme adopté tout récemment par un petit nombre croissant d'individus au sein de la communauté du fétichisme des graisses - ou « Fat Fetishism » -  en ligne, afin de donner mot et signifiance à un mécanisme psycho-physiologique; observable parmi un large nombre d'individus (assez souvent, mais naguère exclusivement de sexe féminin) adeptes au feedérisme comme complètement ignorants ou adverses audit fétiche en société; s'apparentant en toute vraisemblance et en matière de schéma comportementale à une amalgamation d'hyperphagie et autres troubles alimentaires, de sitophilie, de marcophilie et de certains troubles de la personnalité, par lequel des personnes affligées développent subitement - et pour une période indéterminée - de puissamment violentes pulsions de faim, d'avarice et de gloutonnerie accompagnées toutes par une obsession morbide et compulsive à l'idée de s'engraisser elles-mêmes et/ou de se faire davantage engraisser par pure satisfaction d'ordre esthétique comme ludique et érotique-- perçue comme étant un intense sentiment de délivrance personnelle et existentielle, des tendances hypersexuelles, un décroissement marqué de leurs inhibitions morales comme psychiques, un manque de contrôle émotionnel, un transfert psychologique intense envers une figure individuelle ou groupusculaire sensé offrir ressources et revitalisation à leurs nouvelles pulsions,
ainsi qu'entre autres un changement soudain de personnalité pouvant quelques-fois frôler les limbes entre une forme pathologique d'état de « charge existentielle » ou de « double conscience » (ou « double-consciousness ») par l'écrivain et sociologue américain W.E.B. DuBois et le psychanalyste et écrivain algéro-martiniquais Frantz Fanon d'une part, puis une forme de trouble dissociatif de la personnalité ou de dissociation sélective d'autre part.

L'hystérie vorace, pour la faire court, se décrierait comme étant une sorte d'état second primal, de transe ou d'engouement compulsif auquel quoi ses « souffrants/es » développent presque du jour au lendemain une obsession quasi-inhumaine et vorace pour le gavage et la prise de poids : soit sous l'effet exclusif ou combiné du stress social, d'un traumatisme psychologique, d'un abus, d'une tension sexuelle éprouvante, d'un besoin insatiable d'attention et/ou de validation, sous l'influence psychologique (ou autrement étrange) d'un seul individu ou d'un groupe, d'une dynamique sexuelle au sein d'un couple ou relation ou sous une vive impulsion de rebellion.

Les effets physiologiques comme mentaux, degrés d'intensité et fréquencité de ses crises peuvent varier d'individu en individu et peuvent s'atténuer en l'espace de quelques jours comme perdurer de façon constante ou exponentielle pendant des mois à quelques années, voire une vie entière.


Un très petit nombre de personnes affligées par cet étrange phénomène rapportent avoir prises une somme quasi-impossiblement excessive de surpoids en des temps records, allant parfois de 15-30 livres ou plus (6.8-13.6 kilos ou plus) en l'espace de cinq à quatorze jours, à près de 50-100 livres (22-45 kilos) en l'espace de trois à six semaines…  à plus de deux cents livres (90 kilos) en l'espace de moins d'un an!
Il est cependant impossible de déterminer si leurs prises de poids massifs éclair aient tous ou chacune une corrélation directe avec ladite hystérie.

C'est comme une sorte de fringale mais à l'extrême et présente constamment, c'est ça ?

on est nombreux ici à bien connaitre ca...

Ça se rapproche de l'hyperphagie un peu.

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C'est comme une sorte de fringale mais à l'extrême et présente constamment, c'est ça ?[/quote]

C'est beaucoup plus qu'une fringale poussée à l'extrême.

Une fringale entend par là un violent et irrésistible désir de faim, incisive et pressante. Une compulsion inlassable et morbide qui peut être difficilement contrôlée-- mais toutefois toujours contrôlable. Des tas de gens peuvent éprouver une fringale sans nécessairement éprouver le désir érotique de manger et de se faire soit engraisser par autrui ou engraisser eux/elles-mêmes, de devenir voraces et gros/sses à des fins d'auto-satisfaction et de gratification d'ordre esthétique ou sexuelle. Une fringale ne demeure rien de moins qu'une fringale.

En contrepartie, de ce que certaines de mes anciennes feedees (tant aussi bien celles dont j'entretenais des relations en ligne que celles au sein de mon entourage au fil des ans) , de quelques mannequins et actrices en contenu adulte (tant bien les mannequins fétichistes que les non-initiées, néophytes et « expérimentales » ) , de quelques-unes des femmes mannequins anglophones en feedérisme lesquelles j'ai put échanger quelques mots par le passé ainsi que de femmes lambdas que j'ai croisé au fil des ans ayant subitement développées d'inhabituelles pulsions lipophiles... leurs différentes expériences d'hystérie vorace (« feeding frenzy ») , telles qu'elles fussent au courant de l'existence de cette dénomination ou non, s'apparentait davantage à un état de folie furieuse ou se sentir comme possédées par une pulsion bestiale ou quasi-occulte de faim infatigable et excessive ainsi qu'un désir marquée de voir leurs corps engraisser, comme une forme d'ivresse euphorique ou d'état second dissociatif puissant.

S'échapper du giron d'un charme aussi puissamment viscéral - ou maintenir tant bien leur bon sens que leurs têtes par-dessus les flots encore suffisamment longtemps pour mener encore à plein escient (mais toutefois avec plus grande difficulté que jadis) le déroulement normal de leurs vies respectives avec beaucoup de volonté - reviennent toutes, pour celles qui y succombèrent une première fois et ne furent jamais connaissance avec ce fétiche auparavant, comme à se réveiller d'un état de transe hypnotique après un épisode dissociatif semblable à se retrouver coincée au beau milieu d'un rêve cochon semi-honteux ou d'un cauchemar terrifiant auquel on n'a plus réellement tout à fait le contrôle sur nos gestes et actions tout en demeurant éloquemment quasi-lucide… mais à l'état éveillé!

Plus ces épisodes d'extase sexuelle morbide occurrent et plus leur sens de maîtrise de soi, leurs barrières morales comme éthiques, sens de la conformité sociale, sens des priorités, aspirations et désirs n'étant pas alignés avec cette condition, traits-clefs de personnalité et même jusqu'à leur volonté de choix s'érodent et se brouillent-- dans le dernier cas, davantage pour celles qui soupçonnaient/nnent que soit leur/s partenaire/s ou feeder/s, groupe social ou facteur d'influence externe d'origine humaine ou semblamment soit ironiquement trop in/forfuite ou soi-disamment « occulte » serait à l'origine de leur affliction.

D'autant plus que la plupart de celles qui soupçonnaient ou pressentaient des facteurs dans l'ordre d'une ironie accidentelle marquante ou du contre-naturel dénotèrent des prises de poids anormalement rapides-- beaucoup plus rapides même que celles expérimentées par les personnes affectées par les formes beaucoup plus idiopathiques ou conditionnées d'hystérie vorace… la fréquencité de célérité de ces dernières prises de poids varient de la limite de l'humainement faisable ou réaliste au sein de la pensée populaire en matière de prises de poids soudaine, à surhumaines à parfois mêmes ultrarapides!
Certaines de mes anciennes feedees rapportèrent avoir prises au moins de 6 à 9 kilos (15 à 20 livres) en l'espace de cinq à six jours. D'autres ont prises de 9 à 17 kilos (20 à 30 livres) en deux semaines. Une femme dont je connaissais personnellement se fût mise à passer de prendre au moins 9 kilos en l'espace de deux mois et demi un peu par négligence sur sa routine diététique quotidienne, à prendre 7 autres kilos les trois semaines suivantes en grande partie pour enticher mon attention (mais aussi parce que les symptômes du facteur anormal de l'hystérie vorace commencèrent à se manifester) à se lamenter d'être rendue à prendre 2.3 kilos par semaine pendant au moins deux semaines en dépit de ses restrictions diététiques renouvelées et du trop peu de salades et de calories qu'elle avalait quotidiennement, à avoir prise subitement un autre 4.5 kilos en l'espace d'un weekend à perdre presque tout contrôle sur son appétit... pour finalement un jour se retrouver pendant les deux dernières semaines à se voir par provoquer des regards ébahis et choqués de la part de son entourage car elle grossissait si vite que tout le monde aurait presque jurée que ses habits raccourcissaient à vue d'oeil d'heure en heure… ou plutôt, que son physique enflait et dodelinait presque à vue d'oeil d'heure en heure, surtout pendant les quatre premières heures après avoir avalée ne serait qu'une salade (qui est, curieusement, le temps que prend un corps humain ordinaire pour digérer les nutriments consommés et emmagasiner une somme négligible - ou vingt pour cent - du surplus de nutriments sous forme de glucides et de graisse) , se retrouvant ainsi à avoir prise 32 kilos en l'espace de quatre mois-- dont 23 en seulement un mois et demi!
Les trois pires « pires » cas que j'eûsse jamais observée furent le cas de trois différentes femmes qui passèrent de maigre pour l'une ou curvilignes et pulpeuses pour d'autres… à tripler en taille en l'espace de trois semaines pour la première, ou presque doubler en taille pour les deux autres en l'espace de trois à six semaines!!! Les plus chanceuses eurent à passer de minces à obèses morbides en l'espace d'au moins une à trois années au lieu de semaines : tous les mêmes symptômes, mais le facteur de prise de poids ultrarapide qui fût semblamment exclus de l'équation…

La mannequin en feedérisme et écrivaine érotique australienne ChubbyBunnyWriter est un exemple notable de facteur normal d'hystérie vorace. Elle a prise près de 91 kilos (200 livres) en moins d'une année!! D'autres mannequins feedees telles que les Américaines Mochi Babii, Nadya de Stuffer31 ou encore tout récemment ReiinaPop sont des exemples notoires de feedees étant été entraînées bien profondément dans la folie de leur désirs érotiques. Il semblerait que cette folie furieuse arrive bien plus souvent, si même exclusivement davantage parmi les femmes que les hommes.

Éventuellement, tôt ou tard leurs personnalités et fortitude d'esprit seront tellement assaillies et excitées par cette pulsion vivante que bon nombre d'entre elles m'ont admis qu'il s'agit d'une question de temps avant qu'elles ne finissent par perdre totalement tout contrôle et à se laisser succomber dans l'abîme, tandis que d'autres me confessèrent y avoir déjà succombées pleinement ou à moitié entre la première à troisième crise : jusqu'alors, je ne connais uniquement que quatre femmes en ce monde qui surent être capable de dompter et de mettre en sourdine ces pulsions (ne serait ce que temporairement) .


En grosso modo, non il ne s'agit pas d'une fringale. C'est bien plus extrême que cela. C'est un phénomène du psyché et du corps que la sagesse médicale n'a encore sut identifier.

boy1989 a écrit:

Ça se rapproche de l'hyperphagie un peu.

Ce serait plutôt de l'hyperphagie sous l'effet de dopage.

Je pense comprendre.
C'est comme un lâcher prise total tant sur le plan alimentaire que sexuel, et ce, en même temps, et sur une durée indéfinie.
Concernant le côté médical pas résolu, il y a de grandes chances que les hormones soient, au moins, en partie responsables de la prise de poids brutale.
Peut-être aussi pour l'apparition de cet état, qui peut aussi peut-être avoir comme origine une accumulation de stress, frustration etc... qui pète d'un coup comme un bouton de pantalon.

C'est comme une sorte de fringale mais à l'extrême et présente constamment, c'est ça ?[/quote]

La mannequin en feedérisme et écrivaine érotique australienne ChubbyBunnyWriter est un exemple notable de facteur normal d'hystérie vorace. Elle a prise près de 91 kilos (200 livres) en moins d'une année!! D'autres mannequins feedees telles que les Américaines Mochi Babii, Nadya de Stuffer31 ou encore tout récemment ReiinaPop sont des exemples notoires de feedees étant été entraînées bien profondément dans la folie de leur désirs érotiques. Il semblerait que cette folie furieuse arrive bien plus souvent, si même exclusivement davantage parmi les femmes que les hommes.
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J'ai été voir un peu ces mannequins et leur prise de poids est impressionnante. C'est pas tant la rapidité de leur prise de poids que le nombre de kilos en plus. Leurs photos avant/après m'impressionnent. Elles passent de la catégorie mince voir maigre à la catégorie obésité sévère. Je suis admiratif.

J'avais déjà vu le cas, il y a quelques années, d'une mannequin feedee dont j'ai oublié le nom, qui était de maigre à obèse mais j'avais aucune information sur la rapidité de sa prise de poids. C'était beau à voir en tout cas.

K2000 a écrit:

Je pense comprendre.
C'est comme un lâcher prise total tant sur le plan alimentaire que sexuel, et ce, en même temps, et sur une durée indéfinie.

C'est tout à fait cela.

Citation :

Concernant le côté médical pas résolu, il y a de grandes chances que les hormones soient, au moins, en partie responsables de la prise de poids brutale.

Un facteur d'origine hormonal pourrait effectivement être l'une des explications les plus plausibles concernant l'égnime de l'élément déclencheur en cause.

Les femmes en société occidentale, bien plus que les hommes, sont sujettes a bien des changements hormonaux au cours de leur vie adulte tant bien pour des raisons d'ordre naturelle qu'en raison de leur exposition continuelle a leurs propres écosystèmes socio-environnementaux.
Certaines d'entre elles résultent en des changements comportementaux passant de bénin a significatif ainsi que des troubles de l'humeur, des épisodes maniaques et autres imbalances neurocognitifs pouvant parfois résulter au sein d'un infime nombre de femmes en société a une altération bégnine ou significative de leurs traits de personnalité comme de leurs conduites, une imbalance de leur facteur de libido affectant grandement leur sexualité, les rigueurs de l'âge, le stress social, la malnutrition, la surconsommation alimentaire et autre effets causées par notre société de surconsommation, les changements climatiques, la pollution atmosphérique, l'usage de contraceptifs (notamment au cours d'une vie sexuellement active) et autres composantes par la médication pharmaceutique, la sédentarité, et cetera... toutes pouvant ou non avoir des corrélations avec la manifestation de cet état comportemental obscur sur les plans mental comme physiologique.

Il serait intéressant que tous ces sexologues comme spécialistes médicaux et psychiatriques nord-américains (aux États-Unis puis au Canada anglais) et européens étudiant de fond en comble depuis les années deux mille sur la lipophilie, ces dynamiques socio-comportementales au sein des couples et individus inclinées dans le fétichisme du gras comme de la communauté titulaire en question ainsi que sa présence en ligne et au sein de groupes de rencontre nichés, puissent éventuellement tomber sur l'usage de cette nouvelle expression au sein de notre jargon fétichiste et entreprendre des recherches plus approfondies que mon humble personne à ce sujet. Démystifier la brume autour de ce phénomène, en grosso modo.

Citation :

Peut-être aussi pour l'apparition de cet état, qui peut aussi peut-être avoir comme origine une accumulation de stress, frustration etc... qui pète d'un coup comme un bouton de pantalon.

La comparaison à un bouton de pantalon qui pète d'un coup est l'imagerie parfaite pour décrire cet état. De nombreuse femmes que j'ai sois rencontré, influencé d'une manière directe ou indirecte ou simplement observé d'une certaine distance ont toutes éprouvées une accumulation de stress, d'accomodation et/ou d'excitation immense dans les heures aux jours à parfois même les semaines ou mois suivant, avant que tout pète subitement.

boy1989 a écrit:

J'ai été voir un peu ces mannequins et leur prise de poids est impressionnante. C'est pas tant la rapidité de leur prise de poids que le nombre de kilos en plus. Leurs photos avant/après m'impressionnent. Elles passent de la catégorie mince voir maigre à la catégorie obésité sévère. Je suis admiratif.

J'avais déjà vu le cas, il y a quelques années, d'une mannequin feedee dont j'ai oublié le nom, qui était de maigre à obèse mais j'avais aucune information sur la rapidité de sa prise de poids. C'était beau à voir en tout cas.

En effet. C'est plutôt fascinant d'observer de jeunes femmes maigres ou filiformes, minces ou de corpulence moyenne - et presque toutes âgées d'entre dix-huit à trente-cinq années - n'ayant soit trop peu, voire jamais démontrées le moindre signe précurseur de propension à ce fétiche se mettre, subitement tomber sous l'emprise de la tentation soit par influence par pair ou en couple, soit sous un coup de tête ou sous l'influence d'une muse ; à se laisser emporter par la vague en s'empriffrer excessivement (parfois en ne changeant rien du tout à leur apport calorique quotidien ou en mangeant trop peu) dans le seul et unique but de se faire engraisser elles-mêmes à des fréquencités de prise de poids, de vitesse et de résultats prodigieusement brutales, puis vertigineusement rapides voire même quasi- à proprement parler inhumains... et les voir toutes prendre pour au moins six à neuf kilos en l'espace de moins d'une semaine, moins de 45 kilos en quatre-vingt dix jours ou quatre fois leur poids initial en l'espace d'à peine une année, pis encore près du double au triple de leur poids en l'espace d'à peine quelques semaines!!

C'est tout simplement spectaculaire, terrifiant-- dans le sens sexy du mot.

Effectivement c'était assez fascinant ce genre de comportement. Mais je me pose la question : c'est une hystérie vorace qui se déclenche vraiment comme ça du jour au lendemain, pour x raisons, ou bien est ce qu'on peut observer des élements ou des "symptômes" aui permettent de dire si telle ou telle personne succombe à cette hystérie vorace ?

J’ai soudainement la dalle en lisant votre discussion, suis-je sujet à l’hystérie vorace ? XD

NatGnir07 a écrit:

Effectivement c'était assez fascinant ce genre de comportement. Mais je me pose la question : c'est une hystérie vorace qui se déclenche vraiment comme ça du jour au lendemain, pour x raisons, ou bien est ce qu'on peut observer des élements ou des "symptômes" aui permettent de dire si telle ou telle personne succombe à cette hystérie vorace ?

C'est bien cela qui m'intrigue, car certaines femmes étant déjà fort bien impliquées dans le feedérisme développent ce comportement au fur et a mesure que l'usure du temps affecte leurs addictions et pulsions.

Mais quant est-il des femmes n'ayant été trop peu voire jamais exposées ni n'ayant présentées des précurseurs impulsifs dans ce fétiche?


Il serait aisé de conjecturer qu'il existerait donc deux sous-types de ce comportement...

John Smith X a écrit:

Il serait intéressant que tous ces sexologues comme spécialistes médicaux et psychiatriques nord-américains (aux États-Unis puis au Canada anglais) et européens étudiant de fond en comble depuis les années deux mille sur la lipophilie

Concernant la lipophilie de manière générale (bien qu'elle ne soit pas le sujet d'etude principal dans ce que je vais décrire), il existe des articles scientifiques concernant la préhistoire et plus particulièrement les comportements des humains préhistoriques qui évoquent une certaine sélection plus ou moins consciente des femmes, de la part des hommes, par rapport à la grossesse et à la mise au monde des enfants. La vie était très rude (mode vie nomade, maladies et intempéries subies sans trop de solutions sous le coude, accès restreint à la nourriture etc...) et les femmes qui stockaient plus facilement l'énergie, avec un bassin plus large que la moyenne (sachant que cette partie du corps était moins développée qu'aujourd'hui) étaient considérées comme résistantes et donc moins sujettes à la mortalité et aux contrecoups liés à la grossesse et l'accouchement que ce soit pour elles-mêmes ou pour le bébé.
Ceci reste tout de même une théorie puisque personne, aujourd'hui, n'a vécu à la préhistoire mais elle reste solide par rapport aux éléments rapportés par les archéologues et analysés par les paléontologues (les statuettes représentant la déesse de la fertilité ou de l'abondance par exemple) et appuyés par des études en génétique (beaucoup de femmes aujourd'hui ont un métabolisme lent), voire en psychologie (traumatisme liée à la mort à la fois de "l'ex-future maman et du bébé" et "volonté" de faire perdurer l'espèce qui poussent à choisir des femmes résistantes).
Si cela s'avère juste, on en viendrait à la conclusion que ce fétichisme était présent dès les origines de l'humanité et ça expliquerait pourquoi la majorité des personnes concernées sont des hommes hétéros feeder même si on peut généraliser le phénomène préhistorique, car les conditions étaient rudes pour tout le monde, et, de ce fait, ce fétichisme n'est pas dépendant de la sexualité selon le genre ou du genre lui-même.
On ne pourrait même pas considérer cette attirance comme un fétichisme ou quelque chose de particulier au point de lui donner un nom spécifique comme lipophilie en se mettant dans le contexte de l'époque.
Aujourd'hui, tout est différent, la graisse est vue de manière péjorative, vision obtenue, notamment, avec les progrès de la médecine (anéantissant les difficultés rencontrées lors de la préhistoire) et avec la sédentarité, ce qui la rend inutile dans l'esprit collectif.
Autre chose différente: l'accès à la nourriture qui est bien plus simple, la rendant même abondante selon l'endroit sur Terre. Cette supposée relique de la préhistoire peut prendre des proportions n'existant pas à l'époque et, couplée au paragraphe précédent, peut donner cette image de bizarrerie, de fétichisme, de déviance, voire de maladie mentale.
Peut-être que l'hystérie vorace est liée à tout ça. Si on considère que la lipophilie est la résultante de pressions extérieures dangereuses exercées de façon constante et ce sur plusieurs générations sur les humains de l'époque, on pourrait peut-être considérer que l'hystérie vorace est une réaction à une sensation de danger (dérèglements hormonaux, stress et un peu tout ce que tu as dit) ?

J'ai ptetre un peu trop coupé ta citation sans le vouloir John Smith X . Considère que je cite tout le paragraphe.

K2000 a écrit:

J'ai ptetre un peu trop coupé ta citation sans le vouloir John Smith X . Considère que je cite tout le paragraphe.

Haha! Pas de problème!!

Comme il est marrant de commencer par lire un nombre grandissant de forumeurs, d'admirateurs du gras, de feedeurs et de feedees à travers le Net et les plateformes en réseaux sociaux faire emprunt courant d'un néologisme dont j'aurais moi-même inventé puis popularisé, en dépit d'être toujours traité en tant que persona non grata et blackboulé par une minorité de haineux sectaristes chroniquement en ligne n'ayant pas de vie.

Je parie que s'ils étaient au courant que je suis l'auteur de cette nouvelle terminologie, ils feraient immédiatement instiguer des campagnes d'harcèlement illicite et de doxing, des rallyes x ou y-nement haineux à faire pâlir d'envie les gogoles d'extrême droite aux visages boutonneux, des bannissements et la mise en emploi d'envois de courriels électroniques à saveur menaçante envers quiconque employant l'usage de ce mot, puis de la mise sous surveillance électronique invasive en masse contre des individus ciblées tant qu'ils soient de mes entourages en ligne ou pas comme au bon vieux temps! XD

Cet aparté mit à part, j'ai même aperçu un article de presse en ligne dans l'anglosphère faisant emprunt du mot!