Ma première histoire :)

J'ai vu que beaucoup d'entre vous publiait sur le forum des histoires assez cool qu'ils avaient inventés
Du coup j'ai fait de même, en espérant vous divertir un peu pendant le confinement !
Soyez indulgent, c'est la première fois que je fais ça

Lundi 22 octobre
Voilà, c'est précisément ce jour là que commence mon histoire: un pluvieux lundi d'octobre où je devais déjeuner avec Elina. Jusque là, rien d'inhabituel, Élina est ma meilleure amie depuis toujours: quand nous étions enfant, elle vivait avec sa petite sœur Anna et ses deux parents, dans la maison voisine de la mienne. Nous avons grandi ensemble, jusqu'à ce qu'elle parte faire le tour du monde avec sa famille. Mais même si elle était partie pendant 6 ans, nous étions restés en contact: elle m'appelait souvent et m'envoyait toujours des cartes postales des pays qu'elle visitait... C'est ainsi que lui est venu son goût pour l'aventure je pense...Après ce long périple elle est revenue s'installer dans un village voisin et est entrée en fac de médecine, et même là, avec tout le travail qu'elle avait, nous continuions de nous voir, le plus souvent possible. Depuis, les années se sont écoulées mais nous sommes restés inséparables.

Je sortais donc du boulot et me dirigea vers le resto italien qui se trouvait 2 rues plus loin: c'était notre préféré,ils y servaient des pizzas énormes mais si délicieuses !
En entrant je trouva tout de suite la table où Élina était installée..En même temps cela semblait logique: c'était le genre de fille que vous remarquiez à des kilomètres: très élancée, un physique sportif toujours au top, de longs cheveux blonds parfaitement lissés, un maquillage léger qui mettait en valeur ses grands yeux verts, un sourire qui laissait apparaître des dents parfaitement blanches...en un mot sublime. Mais je vous vois venir, non, Élina est ma meilleure amie et jamais je ne pourrais ressentir quelque chose pour elle...Pour personne d'ailleurs... Après avoir remis en cause mon hétérosexualité, je me suis rendu compte que les hommes ne me plaisaient pas non plus. Non, je me sentais attiré par les femmes, mais dès que j'en côtoyais une, je la trouvais comme toutes les autres : compliquée et éternellement insatisfaite. Alors j'avais fini par abandonner toute relation sérieuse, bien décidé à finir seul ma vie....
"Bon, il faut que je t'annonce quelque chose" me lança Élina, me sortant violemment de mes pensées
Elle tendit sa main vers moi :" C'est David, hier soir, il m'a demandé en mariage ! Paul tu te rends compte ?! Je vais me marier !!"
Wawh....J'étais sous le choc...je m'attendais à tout sauf ça... Mais j'étais si heureux pour elle :
"Oh Élina ! Mais c'est super ! Je suis tellement content pour toi! David et toi formez un si beau couple ! C'est merveilleux!"
"Tu te souviens de notre promesse Paul ? Sous le toboggan du square, on s'était juré d'être témoins de nos mariage ! Tu acceptes j'espère ?!" Me lança-t'elle, toute excitée
"Evidemment que j'acceptes E ! Oh bordel c'est incroyable ! Tu vas faire ça quand ?"
"Merci P ! Je suis si heureuse ! On en a discuté avec David et on veut faire ça à Pâques, dans l'église à côté de chez mes parents...Tu me connais, je veux un truc simple, sa famille la mienne et nos amis proches"


Jeudi 30 novembre
Ce matin je m'étais réveillé tôt, j'avais passé une nuit horrible, fait de drôles de cauchemars. Alors je me leva péniblement en me dirigeant vers la cuisine. Comme à mon habitude j'alluma la radio pour écouter les infos du jour tout en mangeant mes tartines.
" Le typhon a ravagé cette nuit des centaines d'hectares à Madagascar. Une tempête qu'on décrit déjà comme l'une des plus meurtrières du pays. Des dizaines de milliers d'habitants se retrouvent sans toit, sans rien et souvent blessés. La France et la Belgique s'organisent déjà avec l'OMS pour envoyer d'ici ce soir une centaine de médecins ainsi que des ressources alimentaires pour aider le pays. Sur place, nous retrouvons notre envoyé, Swann Ker..."
C'est à ce moment que mon téléphone sonna:
"Allo ? Paul ?' C'est Élina. Comment ça va ? Je te réveille ? Tu as entendu ce qui se passe ?" Sa voix paraissait paniquée.
"Oui oui je viens d'entendre...mais ça va toi ?"
"Oui, je suis en train de faire notre valise. David et moi sommes réquisitionnés pour au moins 1 mois à Madagascar pour apporter des soins aux gens"
"Owh ! Tu es sûre que ça va aller ? Je m'inquiètes ! C'est dangereux d'aller là bas tu sais ! Et si il t'arrivait quelque chose ?"
"Nan Paul, ne t'inquiètes pas haha ! Tu sais que j'ai toujours voulu faire de la médecine humanitaire ! Et puis David sera avec moi, tu n'as rien à craindre !
Mais pour notre mariage je devais organiser pleins de choses dans les semaines à venir... J'ai demandé à ma sœur de s'en charger mais ça risque d'être lourd pour elle..Je lui ai dit que tu l'aiderais tu veux bien ? Je lui ai laissé ton numéro, elle devait t'envoyer un message dans la journée...Il faut que je te laisse P, je te rappelle dès que possible, bisous !"
Je n'ai même pas eu le temps de répondre qu'elle avait déjà raccroché. Super.... M'occuper de l'organisation d'un mariage...la belle affaire !
Et le pire ! Organiser ça avec Anna, la petite sœur d'Elina !
Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu Anna, mais dans mon souvenir cetait tout le contraire de sa sœur: elle était plutôt petite, enrobée, et pas vraiment apprêtée... Dès que ma meilleure amie avait le dos tourné, tout le monde appelait sa sœur bouboule...moi y compris. Je n'avais pas franchement envie de la revoir mais bon...je devais le faire pour Elina...
Finalement elle m'appela et nous convîmes d'un rendez vous le lendemain chez moi à 14h, pour se répartir les différentes choses à gérer.

Vendredi 1 décembre
14h10...toujours personne...Je détestais les gens en retard. Quand il y a une heure de fixée c'est fait pour être respecté ! Bon...il fallait que je me calme; c'était l'heure de pointe il y avait peut-être des bouchons ?
On sonna à l'interphone, c'était elle. Je lui ouvrit et dit "c'est au 5ème, porte de droite" sans ascenseur évidemment !
5 longues minutes s'écoulèrent encore et personne...que faisait elle bon sang ?!
Je sorti sur le palier et je tomba nez à nez avec bibendum: emmitouflée dans une énorme doudoune bleu électrique, anna se tenait devant moi, ses grosses joues rouges, essoufflée comme si elle avait couru un marathon. Je la fit rentrée et lui proposa d'enlever son manteau, ce qu'elle fit de suite. Après s'être débattue pour extirper ses gros bras des manches, je la vis enfin: elle était si grosse mon dieu ! Comment peut on se laisser aller à ce point ? Si sa sœur portait toujours des tenues élégante, Anna elle, se tenait devant moi, attifée comme un as de pique, d'un pull rouge qui peinait à recouvrir son énorme ventre gras et d'un leggings dont les coutures semblaient sur le point de se rompre.
"Tu veux boire quelque chose ? Un thé un café ?" Lui lançais-je
"Un café je veux bien merci"
"Ok installe toi sur le canapé je t'amène ça"
En bon hôte que j'étais, j'apportais avec le café une boite de spéculoos toute neuve: à peine posée sur la table basse, elle en pris un qu'elle trempa dans son café.
Ainsi pendant plus d'une heure nous avons organisé les différents rendez-vous : les fleurs et la déco de table pour elle, le dj et la location des tables pour moi. Il restait juste le gâteau: Élina avait insisté pour que nous allions la semaine prochaine, Anna et moi, gouter les différents gâteaux possibles.
Une fois cela fini, me voyant mal la mettre à la porte, j'entamais une discussion sur nos études respectives, pour passer un peu le temps... J'appris alors qu'elle avait finis son BTS en immobilier mais qu'elle ne trouvait pour l'instant aucune boite qui voulait la prendre.
J'étais gêné je ne savais pas quoi lui dire d'autres... alors je lui proposa un autre café et d'autres gâteaux...une grosse comme elle, ça doit beaucoup manger non?
"Non merci, je vais y aller, j'ai des choses à faire...merci en tout cas. On se voit donc mardi prochain pour goûter les gâteaux ?"
"Oui parfait, la boulangerie est à deux pas d'ici, on se retrouvera en bas de l'immeuble si tu veux ?"
"Ok pas de soucis, à mardi alors" et elle se dirigea vers les escaliers avec sa démarche presque dandinante, sûrement du à ses grosses cuisses.


Mardi 5 décembre
Aujourd'hui je devais retrouver la sœur d'Elina pour goûter les différents wedding cake et choisir à sa place le meilleur...Même si la perspective de faire cela avec Anna ne m'enchantait guère, j'essayais de me rassurer: ça allait être un bon moment ! Qui ne voudrais pas goûter des dizaines de crèmes, gâteaux, glaçage sérieusement?
Alors que j'attendais devant la porte de l'immeuble, je la vis: quelle horreur ! Elle semblait plus grosse à chaque fois ! M'enfin... Je ne suis pas là pour la juger !
"Salut" me lança t'elle, presque essoufflée "Je ne suis pas en retard cette fois ci"
"Non c'est vrai...Étonnant !" Lui répondis je ironiquement...comme par hasard: pour la bouffe elle n'était pas en retard !

Nous nous dirigeames alors vers la boulangerie, et à peine arrivés, la patronne nous installa dans une petite pièce de l'arrière-boutique :" je dois servir 2 3 clients, et je suis à vous juste après. J'ai déjà amené quelques ganaches, je vous laisse goûter !"
Elle disparu de l'encadrement de porte. Je me retrouva alors seul, avec celle que j'aimais surnommer bouboule dans ma tête. Son regard était comme absorbé par les assiettes de gâteaux moelleux disposés devant nous.
"On attaque ?" Me dit elle, avec toute la joie du monde
"À toi l'honneur, choisis celui qui te donne le plus envie"
Elle coupa deux énormes parts du premier gâteau et m'en tendis une. A peine l'avais-je remercié qu'elle ouvrit grand la bouche et croqua avec passion dans le gâteau. Elle machait frénétiquement, et enchaînait les bouchées, presque sans respirer...quel appétit ! J'avais à peine mangé les 2/3 de ma part qu'elle avait déjà fini la sienne !
"Je coupe le 2e ? C'est marqué citron dessus...hum ça doit pas être mauvais !"
"Vas y je t'en pris tu as l'air d'avoir faim" dis-je en rigolant "mais coupe des plus petites parts, je vais jamais pouvoir finir sinon !"
Elle coupa 2 nouvelles part, à peine plus petites que les précédentes, et engouffra immédiatement une des deux parts. En trois bouchées c'était réglé. Elle me regardait avec un immense sourire, ses grosses joues remontaient et cachaient presque ses yeux verts émeraudes. J'étais dégouté: comment pouvait elle bouffer autant sérieux ?

Après avoir goûté les différents gâteaux, la patronne de la petite boutique revint avec plusieurs petites coupelles de crèmes.
"J'avais eu votre sœur au téléphone et elle m'avait déjà orientée sur le choix de la crème: elles sont toutes assez légères à sa demande. Je suis vraiment désolée, j'ai beaucoup de travail en boutique je vous laisse goûter ? Je reviendrai vers vous tout à l'heure pour faire le point sur ce que vous avez préféré !"
À peine avait elle disparue qu'Anna commençait déjà à repartir les crèmes dans nos 2 assiettes. Les doses étaient énormes et je ne pouvais plus rien avaler: ma cuillère effleura chacune des mixtures que je me força à goûter car je l'avais promis à Elina. Voyant toute la crème que je laissait, Anna tourna vers mois ses yeux de goinfre affamée :"Je peux ?" Demanda t'elle en pointant du doigt les restes de crème.
"Vas-y je t'en prie...J'ai vraiment plus faim"
Alors elle avala goulûment tout ce qui restait. En plus de manger énormément, elle mangeait salement: des miettes jonchaient son t-shirt et ses doigts étaient couverts de crème. Elle entreprit donc de lécher un à un les 10 petits boudins qui continuaient ses paumes.
Mais visiblement l'estomac de bouboule avait une limite: cette dernière se tenait vautrée sur sa chaise la bouche ouverte et se massant le ventre. Croyant que je ne la regardais pas, elle en profita pour déboutonner son jean,laissant ainsi s'expandre son énorme ventre. Il se lova largement par dessus ses cuisses lorsqu'elle expira complètement.
Je ne pouvais quitter mes yeux de cette masse de graisse. Comment pouvait elle être si grosse à côté de sa sœur si mince ?
Quand les pas de la boulangère se firent entendre, Anna reboutonna discrètement mais non sans mal son pantalon. Nous échangèrent sur les différentes compositions de wedding cake possible puis nous quittâmes la boutique.
Une fois dehors, j'attaqua le chemin pour rentrer chez moi, mais je sentais bien que miss gâteau me suivait: "Je te raccompagne si tu veux?" Me lança t'elle
Comprenant que je n'avais pas vraiment le choix, je répondis simplement par l'affirmative. Ainsi, nous marchions sans savoir vraiment de quoi parler. Nous arrivions sur le boulevard et Anna s'apprêtait à traverser,quand je vis soudain à ma droite un taxi débouler à toute vitesse. Par réflexe je tendis mon bras devant Anna pour l'arrêter et la protéger. Elle avança et ma main s'enfonça alors dans les profondeurs de sa graisse abdominale. Je sentais presque les bourrelets se refermer sur mon poignet. C'était si mou, si gras !
Elle recula et me sourit : "merci, heureusement que tu es là !"
Je ne savais pas quoi dire. J'étais si gêné ! Elle n'avait même pas l'air perturbé de ce qui venait de se passer !
Nous finimes la route ensemble et elle me laissa en bas de mon immeuble. Nous nous saluames et je rentra.
Ce soir là en me couchant, moi qui d'habitude avait un sommeil des plus rapides, je n'arrivais pas à m'endormir. Quelque chose me perturbait. Ma main, ce ventre. La sensation de la graisse sur ma paume,même à travers son t shirt... Rien que s'y penser, un frisson traversa mon corps. Mais pas un frisson de dégoût cette fois-ci...Que m'arrivait il ?
Les jours qui suivirent se ressemblaient tous: je ne faisais que de penser à ce ventre,si gros,si moelleux. En fait je pensais à elle: anna, ses grosses joues, ses doigts boudinés, ses grosses cuisses qui vacillent quand elle marche, son souffle haletant après le moindre effort, son ventre qui semble couler sans fin lorsqu'elle avait détaché son pantalon...
Je voulais la revoir. Je voulais revoir le moindre centimètre carré de sa graisse.

A SUIVRE

Continue vite!

Tu t'es laissée plein de portes ouvertes avec ce début d'histoire, ce qui est une bonne chose. Si je voulais être tatillon, il y a quelques fautes de frappe ça et là, mais rien de bien méchant. Et une question que se pose le personnage principal au début du récit me donne une idée. Mais comme quelque chose me dit que tu as prévu d'écrire une histoire bien développée, je garde cette idée en tête pour l'instant pour ne pas te la piquer au cas où.

Héhé voici la partie 2 ! Désolé pour l'attente ! Si vous avez des conseils, n'hésitez surtout pas ! Il y a beaucoup de description, dites moi si c'est trop/ pas assez...


12 décembre
Une semaine s'était passée sans que je n'ai de nouvelles d'Anna...J'étais complètement perdu, je ne savais plus quoi penser... D'un côté je considérais Anna telle qu'elle avait toujours été: la petite grosse qu'on dénigre; mais en même temps, la simple évocation de son nom, me rappelait ce moment. Rien que d'en parler, un frisson traversait mon corps et je pouvais sentir au bout de mes doigts, la profondeur et la mollesse de son ventre proéminent...J'en rêvais même la nuit ! Moi, Paul, le mec qui est toujours sorti avec des filles ultra minces, qui font du sport, qui s'entretiennent ! C'était si troublant... Pourquoi cela me plaisait-il soudainement ? Un manque de sexe peut être ? Non visiblement pas, il suffisait de peu pour que je retrouve une de mes nombreuses conquêtes pour une partie de jambes en l'air... Un fantasme alors ? Pourtant, rien ne m'avait mis le doute avant...Je devais en avoir le cœur net: il fallait que je la revoie. Je dégaina alors mon téléphone et lui envoya un message : "Hey Anna ! Je me disais, ça te dirait d'aller au resto avec moi ? Il y a une pizzeria super pas très loin je suis sûre que tu vas adorer !"
Sa réponse ne fût pas longue à attendre :" Une pizza ? Super ! J'en raffole ! On se retrouve ce soir en bas de chez toi alors ?"
Je lui répondis puis consulta ma montre : il était déjà 16h, il fallait que je me prépare et que je range un peu mon appart...qui sait ? Si elle passe prendre un verre après, qu'elle ne trouve pas un tas de bazar ! Même si soyons d'accord, ce n'est pas un date ! C'est juste une sortie, au resto,entre amis...Étions- nous amis d'ailleurs ? Même ça je ne le savais pas...cette fille me perturbait vraiment !

Je la retrouva alors vers 20h en bas de chez moi. Malgré le froid hivernal, Anna n'avait recouvert ses jambes potelées que d'un collant assez peu opaque, surplombé d'une robe moulante noire assez courte, qui laissait entrevoir la cellulite de ses grosses cuisses. Elle était même légerement maquillée... Avait elle fait ça pour moi ?
"Bon on y va ?" Lança t'elle tandis que je la dévisageait " Tu m'as dit que les pizzas y étaient immenses ! J'ai hâte de voir ça !"
"En effet ! Elles sont encore plus grandes que les assiettes ! Je parie que tu ne réussiras même pas à la finir !"
"Quoi ? Moi ? Ne pas finir une pizza !? C'est mal me connaitre !" S'exclaffa t'elle :" Je pourrais même en manger 2 entières sans problèmes !"
"Pari tenu" répondis je en souriant "2 pizzas entières...et pas des pizzas enfants hein !"
C'était impossible : aussi gros fut son estomac, les pizzas étaient trop grandes pour qu'elle puisse en manger deux... Même si j'avais lancé ce pari stupide pour rire, je devais avoué que j'étais intrigué et que cela me plaisait : l'imaginer engloutir 2 énormes pizzas...Elle serait encore plus grosse après ça !
Nous entrames et après assez peu d'attente, un serveur vint prendre notre commande. Je pris une voix sûre de moi et énonça :" nous prendrons 3 pizzas: 1 Margarita et 2 savoyardes, et pour la boisson, une bouteille de vin blanc"
Nous commençames à boire et discuter en attendant notre plat : au fil de la conversation je me rendis compte qu'Anna n'était pas la petite grosse sans histoire que j'imaginais: elle était drôle et avait pleins d'anecdotes sur sa vie...La conversation allait bon train. Lorsque les pizzas arrivèrent enfin, Anna attaqua: elle commença par la savoyarde; elle enchaînait les parts à une vitesse phénoménale, presque sans parler. Je n'arrivais pas à la lâcher du regard: ses grosses joues se gonflaient et dégonflaient au rythme de sa mastication et je voyais à son regard qu'elle prenait un plaisir immense à manger autant. Elle acheva la première pizza sans difficulté, là où même un grand Gaillard comme moi commençait à caler. Je lui lança d'un air de défi :" Aller, pas de relâchement, on enchaîne la deuxième madame !"
Aussitôt dit, aussitôt fait : Anna coupa la Margarita en 8 grosses parts et attaqua. Les parts défilaient. Elle ralenti le rythme à 1/4 de la fin, sans toutefois s'arrêter. Elle m'impressionnait ! Mais ce qui me laissait encore plus bouche bée, c'était ce sentiment de plaisir que j'avais rien qu'à la voir manger. Elle était presque belle quand elle engloutissait toutes ces calories. Elle ne reprit la parole qu'après avoir avalé la dernière bouchée de la dernière part: "Et voilà ! Trop fastoche tes 2 pizzas ! J'ai presque faim encore" clama-t'elle en rigolant
"Encore faim?laisse moi te choisir un dessert alors...Un tiramisu tient ! Tu vas voir ils sont excellents !"
"Oh...j'aurais préféré gouter leur fondant au chocolat et glace vanille à choisir !"
"Très bien, on a qu'à prendre les deux alors ! Je t'offre le repas !"
D'accord avec cette proposition gourmande, Anna commanda les deux desserts... Mais après avoir mangé son gâteau, elle leva vers moi ses yeux verts :" Je n'en peux plus, je ne pense pas réussir à finir le tiramisu...Tu m'aides ?"
J'attrapa donc ma cuillère et commença à déguster ce basique des sucreries italiennes. Nos cuillères se tapaient lorsque nous les plongeions en même temps dans la crème mascarpone. Je mangea la moitié, elle la sienne. Pourtant, il restait au fond une dernière cuillère de ce met savoureux. Je lui intima du regard de finir mais elle hocha la tête de gauche à droite: "Je peux plus, je suis calée !" Sans réfléchir, je pris sa cuillère, racla le fond du tiramisu, et profita qu'elle ait la bouche légèrement entrouverte pour lui enfoncer le reste du dessert. Elle me regarda, étonnée, avala la substance délicatement tout en continuant de me fixer. Oups. J'étais peut être allé trop loin...Qu'est ce qui m'avait pris aussi ? Ca ne me ressemblait pas de faire ça !
Après être restés dans le silence le plus complet pendant des minutes qui me parurent des éternités, Anna me fit le sourire le plus grand que je n'avais jamais vu. Tout deux presque intimidés par ce moment, nous ne savions que dire. Alors j'alla régler à la caisse et nous quittames le restaurant. Elle essayait tant bien que mal de fermer son blouson quand je lui proposa: " ça te dit d'aller prendre un verre chez moi ? Je sais ça fait disquette mais c'est pas du tout pour..." "Oui, ça me ferait très plaisir" me coupa-t'elle en rigolant. Et nous partîmes en direction de mon appartement.

"Installe toi je t'en pris" dis je en désignant le canapé du menton "Je vais cherché quelque chose à boire...j'ai du rosé ca te va ?" "Parfait dit elle
Je revint avec une bouteille et 2 verres et je m'installais sur le fauteuil, en face d'elle. En lui servant un verre, je profita de l'angle de vue pour la mater un peu : vu ainsi, et avec cette robe noire moulante, son ventre paraissait sans fin; de nombreux bourrelets se formaient depuis le dessous de ses seins, jusqu'à ses cuisses. Le dernier recouvrait d'ailleurs amplement ses jambes et devait même masqué son pubis. Un peu plus bas, je pu observé ses jambes: sa robe était remontée plus haut, et ses cuisses si grasses paraissaient vouloir s'échapper à tout prix de ses collants. Je du laisser traîner mon regard un peu trop longtemps car quand je lui tendis son verre je vis qu'elle était toute rouge. Alors je lança la discution pour qu'elle se sente plus à l'aise. Ainsi, pendant deux heures au moins, nous avons discuté de tout, et de rien, et nous venions de finir notre première bouteille de rosé. Je me leva pour aller en chercher une deuxième quand elle me dit "Tu peux ramener quelque chose à manger ? Je commence à avoir faim !"
Dans la cuisine, je pris un paquet de granola qui traînait et une autre bouteille. Sûrement déjà bien attaqué par l'alcool qui montait en moi, je décida de m'asseoir non pas en face sur le petit fauteuil, mais juste à côté d'elle, sur le canapé. Je lui servit un nouveau verre, nous trinquames et bûmes. En posant nos verres respectifs sur la table basse, sa main effleura la mienne: elle la retira vite, et plongea ses grands yeux si verts dans les miens. Alors, complètement sous l'emprise, de l'amour peut être, de l'alcool sûrement, je m'approcha d'elle et l'embrassa. Je me recula assez rapidement pour guetter sa réaction. Elle me souris, se pencha vers moi, et m'embrassa à son tour. D'abord de petits baisers, doux, puis de longs kiss, langoureux, nos 2 langues qui se lassent et se délassent. Timidement, sans lâcher ses lèvres, j'approcha la main de son corps et la passa sur le côté, pour l'attirer vers moi. À travers sa robe je ne sentais pas les côtes comme j'ai pu avoir avec mes autres partenaires: là je senti une couche épaisse de graisse, alors, doucement, ma main, qui ne faisait que de caresser ce corps, se referma et attrapa à pleine poignée le délicieux bourrelet qui se formait sur son flanc droit. Je massait délicatement tout ce tissu adipeux, guettant la moindre réaction négative de sa part. Mais ce fût tout le contraire: elle semblait y prendre beaucoup de plaisir.
Je fis en sorte de m'allonger en arrière tout en la tenant, de façon à ce qu'elle bascule avec moi: nous voilà donc, allongés sur mon canapé, moi en dessous, elle au dessus, me recouvrant de tout son gras. Mes mains se baladaient à la découverte de ce vaste terrain de jeu. Et plus j'explorais, plus je prenais de plaisir. Je faufilait ma main si profondément entre ses bourrelets, que je pensais ne jamais pouvoir les enlever. Elle m'embrassa une dernière fois, et se redressa. Cette fois-ci, c'est elle qui m'attira contre son corps douillet. Et voyant que je ne m'aventurais que sur son large dos, elle attrapa mes poignets avec ses gros doigts boudinés, et vint les poser sur ses seins. Malgré qu'elle fût encore entièrement habillée, cette poitrine me fit beaucoup d'effet. Elle n'avait pas des seins très proéminents étonnement: ils étaient tout de même assez gros pour remplir mes mains, mais si elle avaient eu une corpulence normale, elle n'aurait sans doute pas dépassé la taille A ou B. Après avoir longtemps malaxé sa poitrine, je me risqua à descendre mes doigts sur son ventre. C'est comme si il m'en fallait toujours plus; je n'avais jamais ressenti ça avec une fille auparavant. Alors je caressa d'abord doucement, puis avec un peu plus d'ardeur, son énorme bidon. La encore, les bourrelets étaient nombreux. Je me sentais affamé de graisse; ma main glissa rapidement sur la bouée graisseuse qui se lovait par dessus ses cuisses. Je l'attrapa sauvagement et enfonça mes doigts le plus loin que je pu dans la graisse. C'était si bon! Et je voyais dans ses yeux que cela lui plaisait. Après m'avoir fait un de ces grands sourire dont je commençais à être familier, elle attrapa les bords de mon t-shirt et le retira d'un geste presque expert. Je me laissa faire: elle promena ses dix petits boudins sur mon torse, caressa longuement mes pectoraux et me murmura : "A toi maintenant". Sans me faire plus attendre je saisi l'extrémité de sa robe et tenta de la faire remonter. Malheureusement je n'était visiblement pas aussi doué qu'elle : Anna du se relever, non pas sans mal, sur ses genoux pour que je puisse remonter sa robe au-dessus de ses fesses. Soudain, un craquement se fit entendre; notre regard se porta en même temps sur l'intérieur de ses cuisses, où son collant s'était soudainement déchiré : un gros trou laissait alors voir une quantité astronomique de cellulite qui débordait désormais du collant. Ni une ni deux, je lâcha la robe et fini le travail : tirant sèchement sur les 2 bouts, je rompit le collant sur toute la hauteur, laissant ainsi respirer ses cuisses qui s'échappèrent aussitôt. Elle gisait là, ses grosses jambes maintenant nues, sa robe remontée juste assez pour me laisser voir son dernier bourrelet. En effet, comme je l'avais imaginé, celui ci recouvrait son pubis, lui-même orné d'un tanga en dentelle rouge. Elle était absolument sublime. J'aurais pu rester ainsi à la contempler des heures. J'étais complètement absorbé par ce que je voyais. Elle se remua un peu pour trouver une position plus confortable ce qui fit remonter sa robe un peu plus, et trembler toute la graisse de son corps. Ce fût assez pour me sortir de mes pensées. Finissons en avec cette robe: je m'acharna à l'enlever, mais avec les deux pizzas et les deux desserts, cette dernière épousait le moindre centimètre carré de son corps. Un a un je sorti ses bras flasques des manches et fini en passant le col au travers de son double menton et de sa tête. Enfin je pouvais l'admirer. Sa poitrine était moulée dans un soutien gorge rouge assez large, assorti à son bas. Il se continuait sur le côté par 2 larges bourrelets enveloppés de dentelle. Je lâcha un "wawhh" impressionné par ce corps voluptueux. En réponse à ce bruit, elle rigola simplement, faisant se cogner entre eux ses multiples ventres. Je la saisi, avec fougue et l'embrassa. En la basculant sur le dos, allongée, je dégraffa son soutient gorge, redonnant vie à cette poitrine comprimée. Ses seins étaient ronds, et ses tétons bien pointus. Mon instinct primaire, presque bestial prenait le dessus:j'avais besoin de chair...

Je vois un petit souci récurrent avec tes verbes au passé simple, surtout avec les terminaisons à la première personne du singulier. Pour tes descriptions, elles sont de la bonne longueur, c'est plus la mise en page qui pêche pour séparer les paragraphes (un peu fastidieuse sur ce site mais possible à appliquer). Mais encore une fois, c'est la forme plus que le fond qui est à travailler.
Il reste plusieurs fins possibles à cette histoire qui est intéressante à lire.

Absolument Passionant ! EIRAM ! Merci bcp ! Au plaisir de te relire !

Peu importe les divers soucis de conjugaison, de mise en page
Ton histoire est très cool merci à toi

Bon, du coup voici la suite, je suis pas hyper régulière,je post quand j'ai le temps
[Et pour que ceux que ça gênait, j'ai essayé de faire des efforts sur la conjugaison et la mise en page :/ ]
Ps: si quelqu'un reconnait la chanson, big up à lui
Bonne lecture 🤪


12 décembre, suite
Alors, sans attendre, elle entreprit de défaire ma ceinture et de retirer mon pantalon. Nous étions tous deux, presque nus sur ce canapé peu confortable. Mais il m'en fallait plus. Je l'embrassais et laissais ma bouche glisser le long de son corps. Je pris le soin de poser mes lèvres sur le plus d'endroits possibles: d'abord son doux menton, aîné d'une fratrie; puis le gras mentonnier presque goitreux qui recouvrait le début de ses clavicules. Sans attendre je descendis, en m'attardant quelque peu sur ses seins: je mordais délicatement ses tétons, sentant monter l'envie chez ma partenaire. J'attrapai de nouveau son ventre à pleines poignées, et déposa sur chacun de ses bourrelets, un tendre baiser.
Voilà donc mes lèvres arrivées sur la dernière bouée graisseuse qui recouvrait son pubis. Désireux d'enlever sa dentelle, je du d'abord basculer son ventre vers l'arrière, non pas sans mal. Je ne savais pas comment m'y prendre. Pourtant mon nombre élevé de précédentes partenaires aurait dû m'aiguiller...seulement elles étaient toutes très fines avec un ventre plat sur lequel les sous-vêtements coulissaient bien !

Elle m'aida tant bien que mal, puis plongea ses yeux brillants dans les miens. À présent entièrement nu, débarrassé de tout ce tissu, son corps resplendissait. Je me reculai un peu pour admirer: elle se tourna sur le ventre avec difficulté étalant ainsi sur chaque côté une multitude de gras. Elle agita ses gros mollets en l'air, mais mon regard était absorbé par son fessier. En un mot : énorme. Pas énorme comme ceux refaits qui hantaient mon fil d'actualité Instagram. Non. Celui là était large, gras, mou. Le paradis de la cellulite, qui remontait jusque dans son dos. C'est vraiment à ce moment là que je pris pleinement conscience de la situation: Anna me plaisait. Beaucoup même... Je n'allais pas résister longtemps de la voir ainsi...

"Tu n'avais pas ramené des gâteaux tout à l'heure? Je sens mon ventre gargouiller" s'exclama t elle, en se redressant sur ses genoux.
"Si bien sur, ils sont sur la table basse. Tu en veux? "
"Seulement si c'est toi qui me les donne" répondit elle, un sourire en coin.
Alors je m'exécutai. Comme plus tôt dans la soirée, ça serait moi qui mettrais la nourriture dans sa bouche. Moi qui la nourrirais. Moi qui la ferais grossir... Cette dernière perspective me plaisait de plus en plus...
"Et si on mettait de la musique ? Je vais mettre l'enceinte et je ramène du soda"

Allumant la Bose posée sur l'étagère, je choisis un de mes albums préféré : "The Game" , un peu old school, mais toujours aussi satisfaisant; en aléatoire bien sûr pour plus de suspens. Tandis que je revenais vers le canapé, une bouteille de coca à la main, les premières paroles se faisaient entendre. Alors je m'assis en face d'Anna, et commençai à tendre vers ses lèvres un Granola. Elle l'avala en deux bouchées. Nous voilà donc, assis, moi presque sur elle, la nourrissant le plus possible. Nous ne parlions même plus, transportés par la complicité, la bouffe, et la musique :
"I gotta be cool, relax, get hip
And get on my track's
Take a back seat, hitch-hike
And take a long ride on my motorbike
Until I'm ready
Crazy little thing called love"

Ce moment s'éternisa. J'étais si bien avec elle. Elle mangeait, s'arrêtait, totalement remplie de nourriture, et me regardait avec ses yeux désireurs. Et nous faisions l'amour, au rythme du rock anglais qui défilait. Puis, essoufflés, nous nous arrêtions, et je lui fourrais un ou deux biscuits dans la bouche: elle ne s'arrêtait jamais de manger !

Au bout d'un moment, épuisé, je lui proposai d'aller dans le lit pour dormir. Le canapé nous avait été un formidable allié jusque-là, rajoutant un inconfort par sa largeur limitée,qui contribuait amplement à faire paraître Anna plus grosse. D'habitude, j'aimais porter mes conquête jusqu'à ma chambre mais je du m'y résoudre cette fois ci: elle était bien trop lourde pour que je la soulève. Même elle, quand elle leva son imposant postérieur du canapé, paraissait avoir du mal à porter son poids.

Ainsi, nous nous couchâmes, nus, sous ma grosse couette. Cette nuit avait été une des plus belles depuis longtemps. Anna n'était pas comme les autres filles que j'avais connu. Elle était sensible, mais pas prise de tête...En fait, en y réfléchissant bien, la seule autre fille qui était ainsi, c'était Élina, sa sœur. Finalement, elles se ressemblaient plus que je ne le croyais...Mais, Élina, que va-t'elle penser si elle apprend que j'ai couché avec sa petite sœur ? Elle me faisait confiance, qu'allais je lui dire ? Quand la reverrais-je ?
Ainsi, c'est le cœur lourd de questions mais léger d'ivresse et de tendresse que je m'endormis.

A suivre...

Merci d'avoir pris en compte mes conseils. Comme ça je vois mieux certaines idées de génie dans les descriptions: "son doux menton, aîné d'une fratrie" en est un exemple. J'ai remarqué aussi qu'il n'y avait pas de mots tabous dans ton récit: l'adjectif "goitreux", quand tu connais la signification du mot, c'est très direct comme qualificatif, limite insultant, ce qui cadre bien avec la psychologie du personnage principal.
En résumé, c'est vraiment très bon.
Je ne reconnais pas la chanson, mais monsieur utilise du matériel de bonne qualité pour l'écouter!

Arrête-moi si je me trompe, mais j'ai comme l'impression qu'il y a un chouia de vécu dans ton récit, ou au moins de tes propres fantasmes.
Ne t'excuse pas du rythme de parution, c'est la marque des gens inspirés: on écrit beaucoup d'une traite, puis on se pose pour une durée variable jusqu'à ce que l'ampoule dans le cerveau s'allume à nouveau

Je suis alors satisfaite que tu notes l'amélioration @fossilman ! Haha pour la chanson je ne veux "spoiler" personne, mais le groupe est très connu et je pense que certains ici l'écoutent ^^ Pour ce qui est des propos un peu "cash" ils sont librement inspirés de choses entendues dans mes cours ou ailleurs. Et non les descriptions tiennent vraiment de la fiction, peut être un fantasme caché pour les hommes bien corpulents, mais transposé ici chez la femme En espérant que la suite te plaise

Bravo EIRAM pour ton premier écrit, très bien réalisé et mené !

Owh merci ça me touche *-* !!

Et voilà encore une partie ! Je sais pas quand est ce que je vais m'arrêter ^^

20 décembre
Ce matin là, Anna et moi furent réveillés par mon téléphone qui sonnait. En effet, depuis le 12 décembre, c'était la 5ème fois qu'elle revenait à l'appartement. Et chaque fois,le même scénario divin se répétait: elle, avec son corps de déesse, moi, comblé de gras et de bonheur, un album de rock anglais en fond, et surtout, une abondance de nourriture autour de nous: tantôt du sucré, tantôt du salé: Anna mangeait tout ce qui venait. Mais ce que je préférais c'était quand je lui versais un tube de Chantilly dans la bouche. Cela faisait peu de temps, mais j'apprenais chaque fois à découvrir son corps, ses envies, notre passion. Elle semblait avoir grossi, mais désormais je ne voyais plus cela comme un défaut: au contraire, plus gras était son ventre, plus désireux j'étais.

Je décrochai donc le téléphone tandis qu'Anna se retournait pour mieux s'endormir:
"-Allo? P? C'est Élina !"

- Élina ? Quoi ? Mais pourquoi appelles tu si tôt ?"

- Je viens de rentrer de Madagascar, l'avion a atterrit à 5 heures. Je suis chez mes parents là. Ils m'ont dit qu'Anna était sortie hier soir et qu'elle n'était pas rentrée...Elle allait bien quand vous êtes allez goûter le gâteau ?"

Le gâteau ? De quoi ? Il était à peine 8h, et la petite nuit passée se répercutait visiblement sur mes capacités cognitives:
"- Oh euh...oui ça allait !

- Bon ok...je verrais ça avec elle" répondit elle en soupirant "Sinon, je peux passer pour le café ? Maintenant que tu es réveillé ! Je peux être là d'ici 10 minutes !

"- Oh ok oui oui pas de soucis bien sûr !

- À toute Paul !"

Et elle raccrocha. Merde. Anna. Élina. Il ne fallait pas qu'elle la voit ! Je retournai dans la chambre, et réveilla ce qui semblait être ma nouvelle compagnie nocturne:
"Anna, c'était Élina au téléphone ! Elle arrive d'ici dix minutes, il faut qu'on bouge !"
Peinant à se réveiller, elle tourna vers moi son visage, ses joues potelées encore rougies par le sommeil. Elle était si mignonne ainsi ! Je ne pu m'empêcher de déposer un baiser sur ses lèvres: "Wake Up Love"
Elle roula sur le côté puis se redressa; en effet, son imposant ventre l'empêchait de se relever normalement. Merde. Élina serait là d'ici 5 minutes!
"- Anna il faut vraiment que tu te dépêches...Tu as mis où tes fringues hier ?

- Je sais pas ! Elles devraient être là non?

- Bon ok, je sais ce qu'on va faire: tu n'as qu'à prendre ce jogging à moi avec un tshirt: enfile ça et descends déjeuner au Starbucks dans la rue d'à côté, tiens voilà 20 euros pour. Je traine pas trop avec ta sœur et je te rejoins"

Tandis que je parlais, elle enfilait avec peine les vêtements que je lui avait tendu. Le jogging était heureusement extra large et assez extensible pour contenir l'exhaustivité de ses cuisses. Son ventre lui, se retrouvait coincé au-dessus, débordant tout autour de la ceinture du jogging, lui créant deux sublimes poignées d'amour dans le dos.

"Poignées" était d'ailleurs un terme bien trop faible. Même les paumes les plus larges et longues ne sauraient empoigner ce regroupement graisseux.
Ce fût autour du t shirt. Il datait de ma sombre période du " tchatcheur en t-shirt trop grand et jean slip déchiré". Sans commentaires, mais c'était le plus grand que je possédais. Il couvrit largement sa poitrine, mais l'abord du ventre semblait plus difficile. Elle tira dessus et réussi à rentrer la quasi totalité de sa bedaine. Un seul bourrelet, dernier mais pas des moindres, semblait résister: il se tenait fièrement, visiblement victorieux sur le t shirt, mais pas sur la gravité: partant de ses deux flancs, il descendait amplement, recouvrant même le logo virgulé du jogging. Pas le temps de faire mieux. Elle se précipita vers la porte après m'avoir embrassé et dévala les escaliers à la vitesse la plus élevée que son obésité lui permettait.

Je rentrai vite, débarrassai tous les restes de nourriture sur la table, retrouvant au passage, les vêtements d'Anna que je cachai dans la salle de bain. J'étais en train de faire la vaisselle quand Élina sonna à l'interphone. Je lui ouvrit et rapidement elle grimpa les escaliers jusque chez moi.
"- Paul ! Je suis si contente de te voir !

- Oui ! Ca fait un bail ! Ça va c'était bien Madagascar ? Tu as eu le temps de visiter un peu ?

-J'étais en mission humanitaire patate !" rigola t'elle :" Mais ça a l'air vraiment beau, nous y retournerons avec David pour les vacances je pense"

Je la fis entrer et l'installa sur le canapé, encore jonché de miettes de la veille:
"Excuse moi" dis-je " Tu es arrivée vite, j'ai pas eu le temps de nettoyer l'appart"
"T'en fait pas Paulo ! Tu me fais un café ? Je suis épuisée !"
Je lui fis couler une tasse de Livango, son café préféré et lui apportai. En lui tendant la tasse, je distinguai un air soucieux dans son regard. J'allais la questionner mais elle prit les devants:
"C'est Anna" commença t'elle. "J'ai petit-déjeuné avec mes parents ce matin et ils m'ont dit qu'elle sortait tous les soirs depuis quelques temps...Elle voit un garçon je pense..."

- Et alors ? Pourquoi tu t'inquiètes ? C'est super non ?

-En théorie oui... C'est assez rare vu comment elle est.."

On aurait dit moi il y a quelques semaines. Mais ma vision d'Anna avait tellement changé que je ne pu me retenir:
"-Comment elle est quoi ? Grosse ? C'est ça ?

- Paul ! Je dis ça pour son bien enfin ! Toi tu la vois rarement, donc tu ne t'en rend sûrement pas compte mais Anna grossit continuellement.."

-Et alors ? Si elle est heureuse comme ça? Je vois pas le problème !?"

Je commençais à être hors de moi. Pourtant dieu sait que c'était rare que je m'énerve après Élina. Mais là ses propos envers Anna étaient plus que déplacés.

"- Le problème c'est qu'elle est obèse ! À à peine 21 ans elle ne rentre déjà plus dans du 46 ! Elle a toujours été ronde petite certes, mais là c'est de pire en pire ! Elle bousille sa vie et sa santé à se goinfrer comme ça !

- Pour le grand médecin que tu es censé être je trouve ça limite...si peu d'empathie...Elle est où la compréhension du patient que tu m'as rabâché pendant des années ?

-Mais enfin Paul ? Qu'est-ce qui te prend ? Tu es de son côté ? Pourtant tu n'étais pas le dernier à te foutre d'elle au collège ! Tu crois que je ne savais pas que toi et tes potes l'appeliez bouboule ? Tu crois que ça ne me touchait pas ? J'avais honte pour elle ! Je voulais vraiment l'aider, qu'elle perde du poids !"

"- Et tu penses avoir réussi? " lançai-je ironiquement

"- Pendant un temps,oui. Quand nous sommes partis avec papa maman faire le tour du monde, elle a perdu énormément de poids. Et elle était vraiment jolie. C'est quand on est rentrés et que j'ai attaqué mes études que ça a dégénéré: elle a commencé à manger de plus en plus, et en cachette. Tout ça parce qu'elle était avec un gars qui la nourrissait. Sérieusement ? Tu te rends comptes ? Il lui donnait à manger, la forçait même, pour qu'elle grossisse! Et cette andouille a accepté! 30 ! 30 kilos elle a pris avec lui ! Je sais pas si tu réalises ce que..

- stop ! Arrête de crier! Sérieux Elina ! Je t'ai rarement vu dans un état pareil ! Tu dois être claquée... Enfin j'espère que c'est que ça... Anna est ta sœur et au lieu de l'aider, là j'ai plutôt l'impression que tu l'enfonces... Tu as essayé de te mettre à sa place ?

- Oui...'fin non...Je comprends pas comment elle peut se laisser aller comme ça c'est tout..

- Oui mais pourquoi là, soudainement, tu te prends la tête avec ça ?

- Parce que j'ai peur pour elle, pour sa santé. D'après mes parents, en un mois que je suis partie, elle s'est mise à sortir de plus en plus souvent et a encore grossi...

- Et donc ?

- J'ai peur qu'elle est retrouvée un gars, un fétichiste des grosses où je sais pas quoi... Je sais pas qui c'est mais je le déteste déjà "

Ok...concrètement, j'étais mort ... Élina ne devait rien savoir de ma relation avec Anna. Sinon c'en était fini de ma personne. Elle resta encore quelques minutes puis se leva soudainement après que son téléphone ait vibré :
"-C'est le CHU. Ils m'attendent pour un débriefing de la situation..On mange ensemble un de ces quatre ? D'ailleurs tu fais quoi à Noël ? Le 26 on fait une fête comme d'habitude avec les amis de mes parents. Tu veux venir ? Ça me ferait vraiment plaisir"
- Oui sans problème ! Je fais le 24 au soir avec mes parents mais le 26 j'ai rien de prévu! A la semaine prochaine alors !"
Et elle partit. J'attendai qu'elle fût montée dans un taxi pour descendre rejoindre Anna au Starbucks.

"- Désolé, ta sœur m'a retenu plus longtemps que prévu" m'excusai-je en arrivant; "Je te commande un muffin pour me faire pardonner ?

-T'inquiètes, j'ai rempli mon petit ventre en t'attendant" répondit elle en massant le ventre débordant du t shirt. "Mais un autre muffin ne serait pas de refus !"

Nous prîmes alors non pas un, mais cinq muffins aux pépites de chocolat à emporter, et rentrâmes à l'appartement.

"- Ca allait Elina ?

- Moyen...Pour être honnête elle m'a parlé de toi..

- Ah ! Je vois ! Elle t'a fait son ALGVQBTLT discours?!

-ALGV quoi ? C'est quoi ça encore ?

- Bah...le discours sur Anna La Grosse Vache Qui Bouffe Tout Le Temps !

-oh...Elle a pas dit ça ! Mais oui le sujet c'était bien ça" avouai-je en caressant son ventre

"- T'inquiètes...C'est classique...Elle le fait à tout le monde...Elle a tellement honte d'avoir une sœur obèse qu'elle se déculpabilise en parlant à tout le monde.."

Sa voix était pleine de chagrin. Et c'est à ce moment précis que je me rendis compte, honteux, que si elle m'avait appris à aimer son corps hors norme, jamais nous n'avions évoqué directement le sujet. Je me sentais soudainement mal. Depuis le début je pensais la faire kiffer en la nourrissant, en plongeant mes mains dans les abysses de son océan graisseux. Mais pas une seule fois je ne lui avait demandé si elle aimait, si elle se sentait à l'aise. J'étais rouge de honte. Alors, presque pris de panique,je me confondis en excuses:
"Pardon, je suis désolé, je n'aurais pas dû te parler de ça...Je je, je sais pas ce qui m'a pris, tout ce qui s'est passé entre nous, je pensais pas que ça pouvait ne pas te plaire...si seulement je pou.."

Elle me coupa en pleine phrase: " Paul, enfin ! Il n'est pas question de ça ! Oui je suis grosse, et ça me fait foutrement chier qu'Élina en parle à tout le monde ! Mais je suis comme ça et j'aime être comme ça ! C'est grâce à des rencontres comme toi que je me sens épanouie dans mon corps. Grâce à la façon que tu as de me regarder, de me dévorer des yeux, de masser mon ventre, de me nourrir...Tout ça j'aime Paul ! Je veux pas que ça s'arrête parce qu'Élina trouve ça moche ! C'est ma vie,pas la sienne !"

Ça venait du cœur. Je n'avais jamais été fort en discours, et les mots ne me venant pas, je m'approchai d'elle, passai mes bras autour de sa taille, mes avant-bras s'enfonçant délicatement entre deux bourrelets. Et je l'embrassai. Un vrai baiser. Rempli d'amour, de tendresse, de sincérité. Certes, j'adorais Élina, et elle me haïrait de savoir que j'étais avec sa sœur, mais ça ne comptait plus: il n'y en avait que pour Anna maintenant. Pour la première fois depuis longtemps, je semblais amoureux...
"Tu vas rester à m'embrasser habillée comme je suis ?" Murmura t'elle dans mon oreille.

"- Non, bien sûr que non...et ce t shirt est bien trop petit pour toi... Je préfère voir ton ventre plus à l'aise

-Surtout que ça fait deux heures que je suis en apnée, le ventre rentré là dedans" s'exclaffa t elle.

Elle se recula un peu de moi, pris une grande inspiration, et laissa l'air vider ses poumons et gonfler son ventre. Le t shirt ne résista pas plus longtemps. De chaque côté, les coutures qui furent il y a encore deux minutes tendues au maximum, explosèrent. Le t shirt se rompit en tout point. Je tirai dessus, pour finir le boulot. Son ventre pouvait de nouveau respirer. Je finis de la déshabiller, elle fit de même pour moi, et nous commencâmes. Les préliminaires s'éternisaient, chacun de nous y mettait le meilleur de lui même. C'était fabuleux. Après ça, je lui fit l'amour, avec un grand A. Je n'avais jamais pris autant de plaisir; je ne remplissais plus juste ma mission reproductive: tout instinct masculin avait d'ailleurs quitté mon corps. Je m'employais plutôt à lui faire trouver, dans toutes les positions possibles et inimaginables, un plaisir incommensurable.

Quand elle se tourna sur la partie inoccupée du lit, je me levai, et alla chercher les muffins du café que nous avions laissé dans la cuisine. Au passage, pour ne pas changer nos habitudes, j'allumai l'enceinte et choisi "A night at the opera" : grandiose comme ce qui venait d'avoir lieux.

Retournant auprès d'elle, je lui tendis un muffin avant de justifier :
"Je ne savais pas si tu avais faim... Mais tu n'es pas obligée..Je ne te forces à rien, et surtout pas à manger"
"Je le veux gros bêta !" Clama-t'elle en ouvrant grand la bouche.
Alors, doucement, bercés par la musique, nous dévorâmes: elle, ses muffins; moi son regard, ses joues qui machaient, son ventre qui remontait quand elle déglutissait..:
"Is this the real life ?
Is this just fantasy ?
Caught in a landslide
No escape from reality"

A suivre 🤪

Autant je ne connais pas le premier morceau, autant celui-ci est un classique: Bohemian Rhapsody de Queen.

Petite parenthèse: tout le monde parle de Freddy Mercury, mais Brian May quoi. Auteur, notamment de Fat Bottomed Girls, compositeur, interprète, musicien précoce, fabrique sa première guitare, docteur en astrophysique! Fin de la parenthèse.

La tension est à son comble dans le récit. J'ai à la fois hâte de connaître le dénouement, et envie de te laisser le temps de bien l'amener. Continue!

Je réoivre ta parenthèse. Le premier morceau c'était Crazy Little Things Called Love, écrit par Freddie Mercury, dans sa baignoire Et je crois qu'on peut prendre Freddie Mercury, Brian May, John Deacon ou Roger Taylor, ils sont tous incroyable ^^ Ravie de voir que le bon goût musical est sur ce forum Et également ravie que l'histoire te plaise

Voici la suite ! Désolée ça fait longtemps que je n'ai pas posté

26 décembre
Ça y est, Noël était passé. Après une réunion en comité réduit chez mes parents le 24 au soir, j'avais passé le jour de Noël avec eux, ma sœur, et ma tante. Je n'avais jamais vraiment été branché repas de famille, et j'étais invité chez les parents d'Anna et Élina ce soir, donc j'avais préféré quitter mon entourage hier, en fin d'après-midi.

Merde! Déjà 18h ! J'avais vraiment passé toute ma journée à rien foutre... Assis sur le canapé, avec un paquet de chips...qu'est ce qui m'avait pris d'accepter cette soirée ? J'allais me retrouver coincé avec Élina, aka ma meilleure amie, et Anna, sa sœur, mon officieuse copine, pendant tout un repas !
Bon, pas de stress, ça va le faire
..sois cool mec!
Pour l'occasion, j'avais sorti le grand jeu: costume 3 pièces, chemise blanche soigneusement repassée, nœud pap', chaussures cirées...j'étais prêt !

En arrivant, c'est Élina qui m'accueilli en premier, me sautant dans les bras:
"Salut mon Paulo ! Bah t'es tout beau ! C'est rare de te voir comme ça ! Rentre! Tout le monde est déjà là !" S'exclama t elle en se tournant vers l'entrée abondamment décorée:
"- Oh,voilà Anna, ma sœur, avec qui tu as préparé une partie du mariage ! Tu t'en souviens non ?
-Oui bien sûr banane !
- Merde ! Le four sonne ! Bon je te laisse t'installer, tu connais la baraque t'façon hein !?" Dit elle, un pied déjà dans la cuisine.

Quand elle fût parti, je m'approchai d'Anna, et profitant de la pénombre de l'entrée, je l'embrassa langoureusement. Elle aussi s'était faite belle visiblement: une robe en soie, aux couleurs de Noël, recouvrait son corps que je savais si doux. Elle était décolletée, mais pas trop, courte mais pas trop, moulante mais pas trop..Juste ce qu'il faut pour vous donner l'envie d'en voir plus. Anna avait donné quelques boucles artificielles à ses cheveux qui encadraient parfaitement ses joues rebondies, et maquillé ses paupières avec des couleurs foncées, qui faisaient ressortir ses yeux verts clairs.
J'aurai aimer la contempler comme ça pendant des heures...Mais elle fit volte face et se dirigea vers le salon où devaient être réunis les invités: " Ils vont trouver ça louche si on reste trop longtemps tous les deux" murmura t elle seulement.

Tandis qu'elle s'élançait vers la pièce à vivre, je pu finir discrètement de détailler sa tenue. En effet, sa belle robe rouge vu de derrière laissait à mon imaginaire de nombreuses escapades: remontant depuis ses manches trois-quarts, le tissu s'évasait largement derrière, dessinant ainsi une courbe de peau nue qui descendait jusqu'en bas de son dos. Elle était incroyablement sublime ainsi. Lorsqu'elle faisait claquer ses d'escarpins sur le sol, je pouvais voir ses larges hanches se mouvoir et venir épouser les coutures de son vêtement. Le dos nu laissait apercevoir, lorsqu'elle se tenait en appui monopodal, deux magnifiques bourrelets qui semblaient circonscrire le dessous de ses seins. À ce rythme, je ne tiendrais jamais la soirée..Il aurait été inhumain de garder ses yeux posés sur elle sans avoir de pensées folles.

À table, j'eus la chance de tomber juste à côté d'elle, et en face du futur époux d'Élina, à côté de qui il était assis.
La table était large et ainsi, je pouvais poser discrètement ma main sur la cuisse d'Anna sans que personne ne le remarque. Le repas se déroula comme il devait en être; long et copieux. Anna mangeait avec férocité, dévorant chaque plat qui lui était apporté. Et quand tout le monde avait le dos tourné, j'échangeais mon assiette à demi-pleine avec la sienne, pour qu'elle puisse manger encore.
La voir se goinfrer était devenu un plaisir fondamental pour moi. Je rêvais chaque fois de la voir plus grosse, plus boudinée dans ses vêtements. Ainsi, après lui avoir glissé mon assiette, je lui envoyai un texto pour l'encourager : "Mange,ma petite gloutonne ‍" . Par sms c'était facile, on pouvait discuter sans que personne ne s'en rende compte:

Anna: "Je vais exploser Paul ! Tu verrais mon ventre ! Avec tous ces repas de Noël, il pend jusqu'au milieu de mes cuisses !🤩"

Moi:" Me tente pas trop ! Il faut que j'accueille convenablement toutes ces nouvelles cellules adipeuses ! "

Anna: "Il y a 10x trop de bûches, quand tout le monde aura fini de manger et sera parti se promener, on aura qu'à monter là haut pour que je finisse les gâteaux ?"

Moi: "Ça marche..Mais faut pas que ta sœur nous voit"

Anna : " Paul, j'ai réfléchi...On peut pas se cacher comme ça éternellement ! Tu penses pas que ça serait le bon moment pour leur dire ?"

Merde...Le coup de grâce..Et dire qu'elle était juste à côté de moi et que je ne pouvait rien laisser paraître devant les autres:
Moi: " Non ! Tu te rappelles ce que m'a dit ta soeur ? Ca va tout gâcher ! Laisse nous encore un peu de temps !"

Elle leva la tête vers sa sœur, presque perdue. Son regard d'habitude si pétillant semblait à ce moment précis bien sombre, et elle n'avait pas l'air de vouloir répondre à mon message. Sans dire un mot, elle se leva, manquant au passage de bousculer toute la table avec son immense bedaine, et parti vers la cuisine. J'attendai quelques minutes, mais rien. Elle ne revenait pas. La musique était forte et tout le monde avait décidé de faire une pause dans le salon pour ouvrir quelques cadeaux. Alors, j'en profitai pour me glisser dans la pièce préférée de ma copine, où, comme je m'y attendais, elle s'était réfugiée. Assise sur un tabouret bien trop étroit pour ses grosses cuisses, elle regardait dans le vide, une main posée sur son abdomen, l'autre tenant un verre de vin:
"- Hey, Anna...ça va ? Tout le monde te cherche, pourquoi tu es partie comme ça ?

- Absolument personne ne me cherche Paul...Ils sont tous dans le salon" répondit elle calmement, sans me regarder

"- Ma petite gloutonne...tu es sûre que ça va?" Demandai-je en l'entourant du mieux que je pu avec mes bras.
Elle leva enfin la tête vers moi; je vis d'abord que ses joues rebondies n'étaient pas simplement rougies par le blush et l'alcool, et son regard ne fit que confirmer mes soupçons: ses yeux étaient eux aussi rouges et gonflés, et je voyais quelques larmes perler en leurs coins. C'est elle qui entama la discussion:

"- C'était affreux..

- De ?

-Noël, avec mes parents, Élina et ma famille...

-Explique moi, qu'est ce qui s'est passé ?

- Pour le réveillon, on était douze ou treize, uniquement la famille proche: parents grands parents oncles tantes et quelques cousines. Je me sentais bien pour une fois. Grâce à toi d'ailleurs... J'étais prête à leur montrer que je pouvais être grosse, mais jolie, ce qui dans leurs esprits est visiblement contradictoire. Alors, j'avais sorti une superbe robe en dentelle noire, très courte et très près du corps. Le décolleté était plongeant et assez large, et la robe se resserrait en dessous: mon ventre y rentrait à peine, et quand je fermais la robe, il ressortait vraiment bien, créant des petits bourrelets de dentelle tout le long. Je me sentais belle, parce que je savais que c'est ce que tu aurais pensé de moi en me voyant comme ça. Quand je suis descendue, ils étaient tous à prendre l'apéro sur le canapé. C'est ma sœur qui a ouvert les hostilités: " Anna ? Tu es sûre qu'elle est à toi cette robe ? Elle est beaucoup trop serrée !" Alors, tout le monde s'est tourné vers moi, comme je l'avais imaginé, mais leur réaction n'était pas celle que j'espérais..Mon père s'est emparé de l'occasion pour me faire son habituel discours : "Ta sœur a raison Anna, regarde toi ! Tu as encore grossi ! Tu es énorme là !"

-Ton père a vraiment dit ça sérieux?

- Oui.. Et c'est pas la première fois.. Ensuite, ils s'y sont tous mis: "Ton ventre dépasse presque sous ta robe" "Ce double menton cache ton beau visage" "jamais un gars ne voudra d'une bouboule pareille !" Ils n'arrêtaient pas. J'étais hors de moi, alors je leur ai dit. Je leur ai dit qu'ils avaient faux, et qu'il y avait bien un garçon qui m'aimait, et qui aimait mon corps...Je te rassure, je n'ai pas dit que c'était toi.. Tu aurais vu leurs têtes...Après ça, je suis allée dans la cuisine, j'ai pris toute la nourriture que mes bras pouvaient porter, et je suis montée dans ma chambre. Ils voulaient me faire mincir par leurs discours; ce fût tout le contraire: grâce à eux, je voulais devenir encore plus énorme. J'ai avalé des tonnes et des tonnes de calories ce soir là. J'ai cru que je ne m'arrêterais jamais. Je ne mangeais même plus par plaisir, mais juste pour remplir mon immense estomac et l'agrandir encore plus. Je voulais manger, allongée dans mon lit, jusqu'à ne plus pouvoir bouger. J'aime être grosse. J'aime sentir tout ce gras sur mon corps, qui remue quand je marche. Vraiment. Je ne pourrais pas vivre sans..."

Je ne savais pas quoi dire. J'étais tellement désœuvré par ce que je venais d'entendre ! Comment sa famille avait elle pu lui dire ça ? Comment pouvaient ils être si durs avec elle, sans savoir ce qu'elle aimait vraiment ?
Je l'embrassai. Je n'avais jamais été doué pour les grands discours, et étais plus démonstratif dans mes gestes. Je passai mes deux mains le long de son ventre, prenant soin de ne manquer aucun creux entre les bourrelets.
"Moi je t'aime Anna. J'adore ta graisse. Au début j'étais perdu je l'avoue, mais maintenant j'en suis absolument fan... On s'en fout des autres, viens. Tu veux grossir ? Alors je t'aiderais!"

Elle cligna plusieurs fois des yeux pour détacher les dernières larmes, puis se leva, sorti une énorme bûche au chocolat du frigo et me la tendit : " Prends ça, je vais chercher du coca et de la Chantilly. On monte en haut,maintenant, et on se le fait, notre vrai repas de Noël !"

On installa tout sur son lit. C'était la première fois depuis l'école primaire que je voyais sa chambre. Elle était assez petite, et l'heure déjà bien avancée la rendait sombre. Le mobilier était simple,un lit extra large, une armoire, une commode, et une porte donnant sur une petite salle d'eau.
"Assis toi là et compte jusqu'à 100" m'ordonna-t'elle subitement, avant de partir vers le lavabo, en prenant soin de fermer la porte derrière elle.

Qu'est ce qu'elle pouvait bien mijoter ? Je comptais vaguement dans ma tête, tout en jetant un œil à ce qui nous attendait : une grosse bûche à la crème, qui aurait du servir de dessert à quinze personnes au moins, de la Chantilly (elle en raffole), deux litres de coca, une bouteille de Lait, de l'eau et un couteau pour le gâteau. J'avais hâte. La nourrir était devenu un jeu, à mi-chemin entre défi, besoin fondamental, et pratique sexuelle. J'aimais à chaque fois me mettre sur son ventre et lui tendre la nourriture. Si je ne lui donnait pas, elle s'énervait, ce qui la rendait encore plus craquante...
Un bruit de verrou. La voilà enfin. Je compris ce qu'elle faisait pendant tout ce temps. Essoufflée,elle s'approcha de moi :
"tada ! Voici la fameuse robe en dentelle noire ! Désolée pour l'attente, il semblerait que j'ai encore grossi...Elle ne ferme plus sur le côté et j'ai cru que mon ventre ne passerait jamais ! Regarde ça !"
Elle leva les bras:
" Elle est si courte, et je suis si boudinée, que quand je met mes bras en l'air mon ventre dépasse en dessous !"

En effet, quand elle se tenait ainsi, je pouvait admirer dix bons centimètres de ventre à droite et à gauche, et au moins 5 au milieu, que sa ligne blanche abdominale détendue ne retenait plus. Elle était sublime. Elle se dandina jusqu'au lit, la largeur de ses cuisses combinée à l'étroitesse de sa robe, l'empêchant de marcher normalement.
Elle coupa quelques parts de bûche, et me tendit la cuillère: "A toi de jouer maintenant !"
Je me mis à l'oeuvre, plongeant généreusement la cuillère dans la crème au beurre et la génoise, à un rythme soutenu. Comme à notre habitude maintenant, quand ça bloquait, je lui faisait boire un peu de coca, et enfonçait au maximum la gâchette de la crème fouettée au dessus de sa bouche. Puis on reparti pour un tour: bûche, coca, Chantilly. Elle avait de plus en plus de mal à manger, son ventre paraissait de plus en plus gros et tendu, et de plus en plus de miettes tapissaient sa robe. Cette dernière remontait maintenant au dessus du nombril, à cause de la pression exercée par son estomac. Je lui donna une énième part de gâteau, et tout en malaxant son ventre, je tendis l'oreille, pour vérifier que personne n'arrivait. Même si nous avions fermé à clé, je n'avais pas envie que quelqu'un découvre ce que nous étions en train de faire; la pauvre Anna avait déjà assez subit depuis quelques jours; mais non, je n'entendais aucun pas dans l'escalier, seulement la musique qui résonnait en bas, et l'ensemble des invités qui chantaient en chœur :
"Oh my friends
It's been a long hard year
But now it's Christmas
Yes, it's Christmas
Thank God it's Christmas"

A suivre

Excellent vraiment jadore je veux la suite, par pitié j'adore c'est tellement erotique et excitant et les probleme evoqué sont bien traité vraiment continue comme ça, tas du talent

Hâte de lire la suite !

Bravo, c'est la meilleure histoire en Français que j'ai lue pour l'instant