Plus grosses prises de poids

Moi je suis passé d'environ 80 kg à 157kg actuellement grâce à ma petite femme :-)

chrisreves3 a écrit:

Moi je suis passé d'environ 80 kg à 157kg actuellement grâce à ma petite femme :-)

Alors là il faut que tu nous raconte !

chrisreves3 a écrit:

Moi je suis passé d'environ 80 kg à 157kg actuellement grâce à ma petite femme :-)

Oui raconte nous elle t’a engraissé ?

Rien de bien original. Je suis sur Youtube depuis 16 ans maintenant à montrer mon bide :-) J'iame bouffer et elle aime me voir gros et gras... bilan, sans se forcer, un petit gain tout mignon de gros bourrelets bien pleins :-)

chrisreves3 a écrit:

Rien de bien original. Je suis sur Youtube depuis 16 ans maintenant à montrer mon bide :-) J'iame bouffer et elle aime me voir gros et gras... bilan, sans se forcer, un petit gain tout mignon de gros bourrelets bien pleins :-)

C’est quoi le nom de ta chaîne ?

Chrisreves2, très original !
Même si Youtube fait des dégâts et en supprime à la pelle, y'en reste !

Comment t'as fait pour trouver une fille qui aime les gros et les mecs qui grossissent ? ??

Je suis tombé dessus par le plus grand des hasards, rencontré sur les bancs de la fac. Rien de bien original :-) LA découverte de notre amour respectif du gras s'est faite par hasard et on en a même jamais vraiment discuté.

Elle a grossit avec toi ?

En soit toutes les bigcuties prennent beaucoup de poids rien de marylin, cherries, chloe et bonnie sont juste terriblement sexy
Sinon il y a aussi celles de stuffer31 mais excepté layla toutes mettent pas mal de temps a prendre beaucoup bien que Kimmy soit juste.. sur la bonne voie haha

Les plus grosses prises de poids connues au sein du milieu proviennent le plus souvent des gainers et feedees les moins populaires, naguère même de mannequins « feedees » ne possédant pas autant de visibilité que tous ces Big Cutie Models , ces Afro-Américaines aux formes rubénesques et mégapyges de chez 50 Inches Or Better ou encore notamment la Britannique Goddess Shar (qui passa près de deux années à éclipser la moitié de la concurrence virtuelle, alors qu'elle ne pesait à peine que 61 kilos au départ! Il aura fallût que Curvage se retrouve avec près d'une demi-douzaine de nouvelles mannequins ayant tendance à gagner par intervalles régulières au moins une demi-douzaine de kilos par mois - parfois même par semaine - afin de se faire détrôner de son règne longtemps permanent au top du palmarès de popularité de ce site!!) .

Sur Feabie, j'ai dû croiser au moins deux ou trois jeunes femmes dans la vingtaine qui, alors qu'elles étaient encore que des novices, s'acharnèrent tant à s'engraisser que tout cela, néanmoins favorisé par leur métabolisme déficient ou par des changements hormonaux, gagnèrent plus de 45 kilos (100 livres) dès le premier mois de leur parcours diététique! Certaines des mannequins les plus populaires du milieu gagnèrent autant de poids ou un niveau bien supérieur en l'espace d'un an :





















Une autre ancienne gainer à la réputation aujourd'hui chancelante, la Portugaise Lilith The Cenobite, se vante souvent d'avoir passée de 51 à 181 kilos (113 à 400 livres) en l'espace de trois ans et demi et était déjà en voie de gagner 13 autres kilos durant les mois suivants, passant d'une véritable couverture de magazine à une ventripotente, sur-poitrinaire Reine des Cyber-Enfers. Bien malgré les doutes concernant ses intentions ainsi que la véracité de ses propos, il est à rappeler qu'après s'être temporairement reconvertie en mainteneuse et mannequin Taille Plus standard, elle perdit 40 kilos (90 livres) en l'espace d'à peine quelques mois : chose habituellement possible rendue à cette taille qu'au sein d'individus ayant pour habitude d'en gagner tout aussi rapidement.
Selon ses propres dires énoncés lors d'une entrevue auprès d'un YouTubeur intéressé de documenter un vidéo-reportage écrit portant sur cette célébrité du milieu qui fit tant la lune des journaux, elle souffrirait d'une maladie mortelle : ce qui l'aurait motivée à engraisser autant car elle souhaiterait achever ce fantasme sexuel longtemps refréné.
Comme vous pouvez le constater par vous-même, elle n'y est vraiment pas allée de main morte :



(de 51 à 169 kilos, 2015 à 2018)



(À son poids le plus massif, entre 181 à 190 kilos. Début 2019. Courtoisie du journal Dailymail UK)



(Quelques mois à peine après avoir prise sa retraite temporaire en tant que mannequin feedee. 149 kilos. Printemps 2019) .

N'oublions pas que l'ex-sommité du monde du mannequinat feederiste, l'Australienne MsChunky, avait passée de 86 à 181 kilos (190 à 400 livres) en l'espace d'une année et demie d'après certaines ouï-dires :

Enfin, même en-dehors du milieu (ou presque??) , il existe des cas de femmes ayant gagnées un taux de poids record.

Une blogueuse américaine se lamentait il y a de cela quelques années à quel point une consommation abusive en lait de poule, lors de vacances de temps des fêtes passée auprès de sa famille, la fit engraisser d'au moins une demi-centaine de livres en l'espace de seulement deux semaines. N'ayant seulement été capable de s'en rendre compte qu'après avoir trop grossie pour enfiler la moindre chose en sa garde-robe et prise trop en chair pour n'être simplement que dû à en raison d'un gain de poids anodin ou de soucis de rétention d'eau.

L'ancienne performeuse de ballet classique devenue performeuse en danse contemporaine et célébrité de télé-réalité Whitney Way Thore serait entre autres aussi connue pour souffrir du syndrome des ovaires polykystiques (SOP) , une pathologie congénitale causant malencontreusement un manque de fécondité, un manque de balance métabolique ainsi qu'un surplus excessif en testostérone causant entre autres le développement de quelques caractéristiques masculines, dont une forte pilosité corporelle ainsi que le développement rapide et incontrôlé d'un physique obèse androgène.
Près d'une année après avoir été diagnostiquée avec ce cas, elle passa de 44 ou 63 kilos environ (125 à 140 livres) à 90 kilos (200 livres) , pour enfin atteindre les 136 kilos (300 livres) l'année suivante. Près d'onze années plus tard, son poids culmina à environ 167 kilos (370 livres) , le plus massif qu'elle ait jamais atteinte.




(Une reconstitution de la tenue qu'elle portait lorsqu'elle était mince? Pas étonnant qu'elle fût un temps séduite de fréquenter Curvage...)



(L'évolution physique de Whitney Thore au fil des années)


Enfin, la rumeur voudrait que la chanteuse et ingénue de mode britanno-barbadienne naturalisée américaine Rihanna, connu pour son poids yoyo, ait présumément atteinte les 88 kilos (194 livres) en novembre-décembre 2017 :

(Photographie datant de novembre ou décembre 2017)

Si cette rumeur s’avérerait un jour authentifiée, cela voudrait dire que non seulement la popstar aurait engraissée de 20 kilos durant le dernier trimestre de cette même année (ayant officiellement clamée peser environ 165 livres ou 74 kilos durant la saison estivale) , mais qu'elle devait plausiblement peser bien au-dessus de la barre des 90 kilos lors de sa performance au gala des Grammy en fin janvier 2018, étant donnée qu'elle était rendue à avoir l'air de ceci :


Enfin, l'acteur et rockstar américain Jared Leto, l'acteur gallois Christian Bale ainsi que l'actrice sud-africaine naturalisée américaine Charlize Theron sont connus dans le milieu de l'actorat pour leur tendance à prendre énormément de poids en très peu de temps afin de mieux se glisser dans la peau de certains de leurs personnages. Le pauvre Jared manqua de perdre la capacité à se mouvoir ou tenir debout dû au stress physique infligé par une telle prise de poids, tandis que Charlize plongea dans la dépression et manqua de se laisser aller pour de bon dû au choc psychologique.

Claudia Floraunce, une Autrichienne naturalisée américaine, débuta sa carrière de top-modèle en tant que mannequin standard.

Après avoir été diagnostiquée du SOP en 1984 et vue son propre physique de 56 kilos (124 livres) ballonner celle d'une femme obèse de 136 kilos (300 livres) en l'espace de seulement six mois, elle décida de réorienter sa carrière vers le mannequinat Taille Plus. Trois décennies et 31 kilos plus tard, la voilà désormais devenue une icône dans le monde des top-modèles Taille Plus :

Natasha Crown, une Tchèque naturalisée suédoise devenue obsédée par l'idée de ressembler à ces deux icônes favorites : la poupée Barbie ainsi que les Kardashians (**je me retiens de vomir... je n'ai rien contre les femmes plantureuses, mais j'en peux plus de cette Kardashian-o-manie **) .

Après plusieurs passages sous le bistouri commises par intervalle ainsi qu'un long processus de gavage intentionnel, elle commença à faire la une des journaux en 2017, alors qu'elle ne pesait qu'environ 145 kilos (320 livres) et se vantait de son postérieur gargantuesque d'une taille de un mètre soixante-cinq ou soixante-quatre pouces! Afin d'achever de tels résultats, elle se gave d'une douzaine de pots Nutella par jour (chaque pot contenant un total de 3000 calories!!) !!

En fin 2018, son derrière de mastodonte enfla de quarante-huit centimètres de plus, soit un tour de deux cents treize centimètres ou quatre-vingt quatre pouces... à noter qu'elle spécifia une fois qu'afin de procéder à un lipofilling , elle lui faut engraisser de 12 kilos (27 livres) avant chaque procédure pour lui permettre d'ajouter trois pouces de plus... faites donc le calcul.

Enfin, j'ai personnellement été le témoin de gains de poids rapides (parfois même extraordinairement massives) de quelques femmes que j'ai croisé ou connu au cours de ces dernières années.

Merci beaucoup. J'adore tes post.
Je t'invite à continuer.
Les prises de poids de femmes que tu as croisé ça m'intéresse aussi.

J'ai croisé bien des femmes ayant grossies par un simple concours de circonstances ou de plein gré, mais seulement quelques-unes frôlent en termes de magnitude, de fréquence et de (courte) durée les records de prise de poids.


Une ancienne connaissance que j'eusse fréquentée pendant près de dix ans avait une tendance à vouloir se gaver afin d'engraisser. À l'origine, durant notre dernière année d'études secondaires, ses prédilections intimes tenaient beaucoup plus de l'ordre du « stuffing » qu'autre chose. Mais peu de temps après qu'elle ait réalisée que j'avais un faible tout aussi bien pour les filles rondes qu'envers celles en pleine phase de prise de poids, elle finit vite par me confesser sous un ton rassuré et confiant de ses fétiches secrets, avant de progressivement se réorienter vers le feederisme au fil des premières années... il semblerait que le hasard m'avait placé à me familiariser fort ironiquement auprès d'une adipophile, cette dernière s'étant de temps à autre sentie mal en sa peau et souhaitant vivement devenir un beau jour grosse, à l'instar de certaines de ses parentés-- ses seules modèles maternelles et ainsi donc modèles de maturité féminine par excellence. Elle me confessa même que son ultime rêve serait un jour d'atteindre les 225 livres (102 kilos) ou néanmoins suffisamment pour développer tout les atouts stéréotypées d'une femme obèse (gros ventre, seins énormes, hanches protubérants, jambes lourdes, bras gras, visage joufflu et doublementonné et tous les inconvénients physiques quotidiens qui s'ensuivent...) .

Lors de nos deux premières années de fréquentation, son poids avait lentement passée de 112 à 117, puis 121 livres (50 à 53, puis 55 kilos) , puis progressivement de 125 à 130 livres (57 à 59 kilos) durant les quelques mois suivants. Malgré le fait qu'elle venait déjà d'avoir sa majorité, elle a connue pour des raisons que je n'ai jamais encore sût deux poussées de croissance durant la période de ses dix-huit à dix-neuf années, ayant grandie d'un pouce de plus à chaque intervalle alors qu'elle ne mesurait que cinq pieds quatre lorsque nous nous étions connus pour la toute première fois. Comme son niveau pondéral se situait toujours très en-dessous de la moyenne par rapport à sa taille, cela n'apporta guère énormément de changements hormis deux seules exceptions : la fois où la prise de poids se condensa trop rapidement autour de son abdomen et lui fit développer des petites pommes d'amour qui débordaient par-dessus son tour de jeans avant de rapidement fondre, puise enfin la fois où les courbes modérément assez bien développées de son physique d'adolescente androgyne se mirent à s'épanouir, se changeant progressivement en une silhouette curviligne aux hanches un peu plus accentuées et évasées et une poitrine ni réellement forte, ni réellement naguère modeste avec un bonnet qui passa alors de 34B (Fr. 90B) à 36C (95C) , puis de 36 à 38C (100C) , puis encore 38D (100D) en l'espace de deux semaines seulement-- la dernière poussée ayant été la plus étrange, car elle se produisit si rapidement que nous étions moi-même ainsi que plusieurs de ses propres copines, tous choqués comme nous étions en train de constater que sa poitrine était littéralement en train de prendre en volume à une vitesse suffisamment effrénée pour que le processus soit quasiment observable et ce bizarrement, alors qu'un très vif soupçon de fantasme à propos de de ses seins en train d'enfler à l’œil nu venait tout juste de se manifester dans mes arrières-pensées...

Durant les années suivantes, son poids fit des yo-yos assez fréquemment, capable tout aussi bien de prendre 10 livres en une semaine ou 20 livres en deux semaines, que de les perdre toutes en quelques jours : il me semble même que son plus gros record fût la fois où elle eût gagnée 15 livres en l'espace de quatre jours seulement, pour enfin en prendre 5 autres les trois jours suivants.

Cependant, bon gré mal gré ses efforts ainsi que sa détermination colossale à s'empiffrer parfois jusqu'à 4, 5 ou 8000 calories par jour, elle finissait toujours par frapper un plafond et à se retrouver coincée dans le même poids jusqu'à ce que son anatomie ne fasse rapidement brûler les quelques kilos en plus... le schéma viscéralement sisyphéen de son parcours, suivie par un ensemble de différentes raisons ou plutôt différentes excuses émises de son crû (son alignement religieux radical l'obligeant à faire vœu de chasteté bien en dépit de toutes les fois qu'elle le brisa sans avoir à perdre sa virginité, sa propension à un comportement bipolaire, son manque de dévotion en tout ce qu'elle tend à vouloir entreprendre, son refus inconscient d'ouvertement reconnaître la nature érotique de cette fixation et de tout ce qu'elle implique - dont de reconnaître que notre relation fondamentalement pseudo-amicale ait évoluée vers les préliminaires d'une parade d'accouplement sans fin et ainsi donc prouverait que la nature de ses sentiments envers ma personne seraient bien plus que platoniques - voire même à reconnaître qu'elle est totalement bien informée que son cas s'agit bel et bien d'un fétiche sexuel, sa personnalité rêveuse en plein contraste auprès de son apathie pour toute forme de quantification exorbitante, ses propres préjugés grossophobes, son image et confiance de soi tous deux chancelants, la crainte de devoir perdre tous les avantages et privilèges qu'elle obtint en société et en privé dû au fait qu'elle soit une femme de corpulence « normale » , la crainte d'être stigmatisée et moquée pour son surpoids par ses pairs, de perdre d'éventuelles futures opportunités de carrière et de ménage, d'éprouver des difficultés à fonder une famille, les inconvénients physiques ou pis encore, l'effroi de succomber à ses pulsions addictives de gloutonnement de façon irréversible et perdre non seulement sa maîtrise de soi mais à ne plus savoir comment délimiter la « moi » publique de son autre « moi » plus privée ainsi que les conséquences qui s'ensuivent - elle me confia une fois qu'il serait trop aisée pour elle de se laisser véritablement aller et que si elle aurait à passer une ou deux années à domicile avec suffisamment d'économie de côté pour ne plus avoir à s'inquiéter de la quantité en malbouffe et autres repas calorifères qu'elle ait l'habitude de s'en goinfrer auprès lors de ses « épisodes » , elle pourrait prendre des centaines de livres sans le moindre effort et pour me faire comprendre qu'elle n'était pas en train de badiner, elle me confia que quelques-unes de ses parentés accomplirent pareil exploit par pur accident et que ces dernières possédaient toutes le même métabolisme rapide qu'elle - puis enfin, ses crises d'appréhension de soi) , elle ne pût jamais achever ce désir qui la ronge toujours.

Le poids le plus élevé qu'elle ait atteinte, il y a de cela bientôt trois ans, fût dans les 170 livres ou plus environ, quoique j'ai mes raisons de soupçonner qu'elle se situait plus exactement entre 180 à 185 livres (81 à 83 kilos) . Chose qu'elle atteignit alors qu'elle ne pesait initialement que 145 livres (66 kilos) deux mois plus tôt.
Elle eût atteinte sa troisième et dernière poussée de croissance l'année précédente, mesurant désormais près de cinq pieds huit de haut, son corps s'était tellement empâtée qu'elle tenait plus de la silhouette en forme de 8 que de celle en forme de sablier et elle était à seulement deux ou trois kilos près d'atteindre le stade de l'obésité clinique. Son petit visage en forme de cœur était devenu un peu rondelet et joufflu, une pincée de bonne chair se développait dessous son menton, son cou était un peu plus épais et toute trace de clavicule saillante avait presque disparue. Du haut de son nombril, on aurait pût supposer que l'on se retrouvait en face d'une jeune femme de corpulence moyenne, peut-être un tantinet plus que moyenne avec ses traits faciaux légèrement moins définis, ses haut de bras moelleux et plutôt potelés gigotant au moindre mouvement brusque, ses épaules finement élargis, ses poumons féconds et rebondis de bonnet 38DDD (100F) , sa taille un peu moins fine à l'abdomen un peu oblique lorsqu'aperçu de côté et le simple fait qu'aucun débardeur de taille Large ne lui seyait aussi bien que jadis.
Ce n'était cependant qu'une fois qu'on jetait un coup d’œil sur le bas du corps que l'on se rendait compte à quel point elle devint si plantureuse, avec ses hanches pleines et sur-fécondes de près de quarante-six pouces de large (cent seize centimètres) , ses cuisses charnues et encore galbées se frottillant l'une contre l'autre, cette BOULE, CETTE ÎLE, CETTE PÉNINSULE!!!

[...] Cette paire de pastèques, cette protubérance pesamment énorme qui rebondissait à chaque oscillation de son déhanchement aguichant et quasi-dodelinant. Elle est rendue si fessue que l'on pouvait poser un verre  en styromousse par-dessus son postérieur cambré et cela lui prenait plus d'une minute avant de réaliser la sordide farce. Elle peinait à me suivre lors de nos promenades et le fait que ses jeans trop étroites aient survécus à ses proportions infernales relèvent presque du miracle. Une fois, elle manqua même de rester coincée dans un tourniquet du métro, tant ses hanches étaient énormes (les tourniquets de stations de métro à Montréal ne sont large que de 127 centimètres seulement : ce qui ne lui laissait qu'à peine deux centimètres d'espace libre entre chaque côté de son flanc et les parois) .
Essayez de visualiser avoir connue une fille lorsqu'elle avait le physique de la Jayma Mays de 2013 et qu'après plusieurs années de haut et de bas, elle se retrouva un temps avec le physique de l'Andrea Abeli de 2017 mais sans l'apparence toute plastique. C'était fantastique.

Un autre cas fût une autre femme que j'ai connu. Elle fût, bien malgré le peu d'écart d'âge entre nous, ma tutrice en cours de mannequinat et une proche intime, qui disait me considérer comme un ami.

Lorsque je l'avais connu il y a de cela six ans, elle possédait un physique filiforme, sans courbes réellement distincts. Grandiloquente, dans les cinq pieds neuf ou un mètre soixante-quinze de haut environ, avec de très longues jambes et l'allure très consciencieusement soignée d'une couverture de magazine de mode : chose normale, puisqu'elle avait été mannequin professionnelle.

J'ignore si cela avait été dû à un sérieux manque de sommeil doublé par le stress des études, à une montée en libido alors que je me rinçais discrètement l’œil en la voyant nous apprendre comment défiler, à mon intuition déjà alors peaufinée en matière de femmes ayant des inclinaisons dans l'adipophilie ou qui risqueraient très bientôt de prendre énormément de poids - ou  mon « spider-sens d'amoureux des rondes » comme il m'arrive de le surnommer - ou simplement à un mélange des trois, mais je me mis soudainement à halluciner. L'espace d'à peine quelques secondes, le temps sembla défiler au ralenti, une pénombre d'outre-monde s'épaissit dans la vaste salle auquelle se tenait d'autres jeunes de mon âge, réduites à des silhouettes vaguement ombrageuses. Sous mes yeux, le corps de l'attrayante jeune femme dans la mi-vingtaine se mit à enfler de tous parts : ses longilignes gambettes furent les premiers à être affectés, suivies par ses hanches, son tour de taille, ses bras et sa poitrine. Son physique prenait en volume, gagnant des douzaines et des douzaines de kilos à chaque fraction de seconde: au premier battement de cœur, son visage ayant étrangement mûri depuis le début de la vision commença enfin à suivre la cadence, se boursouflant à la vitesse grand V... au second battement de cœur, un triple menton s’affaissa lourdement contre le haut de son tronc, recouvrant ce qui fût jadis sa gorge, tandis que des rides se creusèrent de plus en plus notablement entre ses joues pleines et ses lèvres fines ; ce fût à cet instant que je commençais à réaliser que ce rêve éveillé n'était pas en train de m'illustrer un gain de poids spontané comme de ceux que l'on voie ou lise dans les fictions, mais une accélération virtuelle de la ligne de vie de la femme ou en d'autres morts, j'étais en train d'assister à un vieillissement spontané... rendu au troisième battement de cœur, son visage marquée par les aléas du temps était perclus de subtiles pattes d'oie, sa chevelure noir corneille avait prise une teinte poivre et sel au niveau de ses tempes. La jeune femme souple et maigre d'environ 120 livres (54 kilos) avait laissée place à une dame extrêmement adipeuse entre deux âges de plus de 500 livres (226+ kilos) mais toujours revêtue des mêmes habits, des seins flasques et titanesque de la taille d'une tête humaine, une bedaine en tablier immense et amorphe pendulant de tous bords et suffisamment massif pour couvrir jusqu'au bas de ses cuisses aux dimensions d'un tronc de chêne juvénile et recouvertes de replis et de peau d'orange transparaissant dessous le tissu, des hanches capable de rester coincer dans une double porte, des jambes gargantuesques et gélatineuses, des bras tellement surchargés que ces biceps formaient des ailerons pendouillant sous l'effet de la gravité terrestre, des épaules évasées et une démarche si difficile que c'était à peine possible qu'elle puisse être toujours capable de pareille mobilité. On aurait presque crûe qu'elle fût dévorée par Mary Boberry en personne et que seul ce semblant de visage avait survécut au festin de la mastodonte gynocide.

J'agitais violemment de la tête, m'asséna moi-même une ou deux gifles contre la joue et rouvrit mes yeux. C'est pas vrai!!, m'écriais-je en mon esprit. Même sans l'effet au ralenti, la projection de la présumée tutrice du futur continuait à chalouper lourdement et à s’essouffler et j'étais sur le bord de ne plus être capable de contenir mon érection. J'ai clos mes yeux, hocha encore de la tête puis une fois rouverte... l'état hypnagogique s'estompa. Elle était à nouveau redevenue mince et jeune.
« Une fois rentré à la maison, songeais-je avec inquiétude, j'en profiterais pour m'assoupir pour le restant de la fin de semaine. Trève de devoirs » .

Et pourtant, une partie de moi était intimement convaincu qu'il ne s'agissait pas uniquement d'une hallucination ordinaire dû uniquement qu'au manque de sommeil et à la pression. Qu'à un certain point, ce que j'avais vu allait d'une façon ou d'une autre se manifester.

La semaine suivante, j'ai fini par constater alors qu'elle enseignait aux filles de ne pas hocher leur tête vers le bas lorsqu'elles défilent, que son gag sur les double mentons n'était pas entièrement innocent. Qu'il trahissait une certaine anxiété de son crû à propos de son propre physique.  « Mais comment une femme de son gabarit puisse même se soucier de pareille chose? » , me questionnais-je.

Vers la seconde année, elle refit encore le même gag. Le même pressentiment que j'avais lors de la première fois se manifesta. Cette fois-ci, son langage non-verbal parlait pour elle.

Vers la troisième année cependant, il y a de cela plus de trois ans, elle avait prise à peu près 10 livres en plus (4 kilos) . Elle paraissait toujours aussi mince, mais moins frêle. À un certain moment, elle confia à l'une de ses élèves-vétérans alors qu'elle discutaient de gain de poids à l'âge adulte que de toute façon, elles se retrouveront toutes à devenir grosses un jour ou l'autre : cette étincelle en son regard, sa gestuelle... me laissèrent conjecturer qu'elle était ardemment convaincue de pareille fatalité en ce qui lui concerne.

Quatre mois plus tard, alors que j'attendais l'un de mes vieux copains pour le visionnement d'un film, une chose arriva.
J'étais accoté à un mur d'une succursale Tim Hortons non loin de la cinémathèque lorsque j'aperçus du coin de l’œil la silhouette d'une femme s'approcher vers les portes d'entrée. Mon intuition ainsi que le peu que mon regard pouvait capter depuis mon angle mort reconnurent immédiatement la présence et la dégaine familière, mais ma raison me poussait à nier l'évidence : la silhouette s'approchant en ma direction possédait certes la même taille, couleur de cheveux et quelques-uns de ses traits de visage, mais son physique est beaucoup plus plantureux et athlétique : je pouvais aisément entrapercevoir la finition de sa svelte musculature, les courbes pulpeuses de ses hanches qui la confiaient une silhouette en poire de corpulence moyenne, les jambes un peu plus en chair et en muscle, la différence en matière d'écart entre les cuisses, le bonnet B, la chevelure se terminant à mi-longueur du dos, la résonance de ses pas qui laissèrent à mes sens avertis de supposer qu'elle devait pesait à peu près dans les 154 à 157 livres (69 à 71 kilos) . Il me semblait impossible qu'il s'agissait bien d'elle.

Et pourtant, je sentais un regard froid me transpercer le visage. Un homme arabe la rejoignit et ce fût là que je me rendis compte que ma première impression avait raison : l'homme que j'aperçus était l'époux de mon ex-tutrice!

Me disant que le couple ne voudrait certainement pas être dérangé - et qu'elle m'en voulait toujours à mort (rien de grave... c'est simplement que nos aïeux respectifs se sont déjà plus ou moins croisés par le passé et lorsque nous avions apprises cela, elle a commencée à me porter en dédain depuis lors) - je me faufilais à mon tour dans le lieu, me commandait un verre de smoothie et patienta dans mon coin en faisant mine de ne pas les avoir vus.

À peine deux minutes plus tard, elle convainquit son mari, l'air agacée, de sortir des lieux. Une bien jolie manière de réaliser que les gens qui vous déclarent leur amitié, ce sont des ragoteurs qui ne songent pas un iota de ce qu'ils disent.
Le mois suivant, alors que je promenais avec l'ex-intime mentionnée ci-haut (celle au physique callipyge) , je l'aperçus dans une station de métro : même longueur de chevelure, même bonnet en plus, même jambes pulpeuses et une différente manière de marcher dû au fait qu'elle perdit presque tout l'écart entre ses cuisses. Elle fit mine de ne pas m'avoir aperçue et continua son chemin. L'année suivante, toujours par hasard dans la même station de métro, avec ses nouveaux kilos sauf que cette fois-ci elle ne se rendit plus compte de ma présence.

Ce fût la dernière fois que nos chemins se croisèrent.

Toutefois, les deux derniers cas que je vais citer sont bien au-delà de la description d'exceptionnel : c'est du pur délire à l'échelle physiologique, tout simplement.

Je connaissais une jeune fille dans mon cours de mannequinat, une athlète accomplie et sprinteuse à relais lors de ses années au secondaire.

L'avant-dernière année de notre participation à cette activité organisée par notre ancienne tutrice, elle venait de débuter ses études collégiales, laissant à impliquer qu'elle ne devait plus s'entraîner aussi intensément que jadis.
Au jour J de l'événement organisé par notre groupe, je me retrouvais par pur hasard à entendre des bris de conversation entre elle et une connaissance commune, une très belle jeune femme au corps pulpeux et poitrinaire : lui demandant des secrets de beauté de notre terre natale l'Afrique, ces remèdes de grand-mères et pratiques cosmétiques consistant à faire grossir ses atouts rapidement (et assez souvent avec une efficacité qui seraient capable de faire jalouser les Occidentaux et leurs pratiques cosmétiques relativement grossières et primitives, si nous avions le malheur de nous faire piquer ces secrets intergénérationnelles...) .
Elles s’arrêtèrent aussitôt de converser lorsqu'ils remarquèrent ma présence. Je baissa des yeux et constata qu'elles me fixaient avec un air de malaise et de reproche.  « Ne vous inquiétez pas, leur rassurais-je. Je suis déjà au courant de ces pratiques - je suis l'un des vôtres, après tout - et ça ne me regarde pas. Faites comme si j'étais pas là » . Je m'éloignais petit-à-petit à travers la foule animée, indifférent à leur causette.

Près d'une demi-année plus tard, j'étais en train de fixer le paysage urbain à bord d'un autobus en direction d'une station de métro lorsque j'aperçus la fille sur la voie pédestre, en train de se diriger vers la même direction. J'ai manqué d'avoir une attaque en l’apercevant.

J'étais déjà au courant des exploits prodigieux que les remèdes cosmétiques de notre culture d'origine étaient capable d'accomplir sur moult femmes et jeunes filles et ô combien les résultats en une si courte durée se sont parfois relever être digne d'une de ses proses érotiques semi-réalistes illustrant des prises de poids hors du commun... mais là, on parlait de femmes filiformes s'étant transformées en femmes rondes et plantureuses en l'espace de quatre à huit semaines, voire de femmes maigres ayant engraissées de 75 kilos en l'espace d'à peine trois semaine dû à un dosage excessif. Qu'importe si le résultat s'avérait être un franc succès ou une pente descendante vers l'obésité morbide accompagnée d'une silhouette non-désirée, il y avait des limites à user de cette posologie... à en voir par son bas de corps immensément adipeux en contraste avec son haut de corps ayant à peine ramollie, je peux vous confier une claire idée des dimensions de son excès.

Elle avait pratiquement gagnée une bonne centaine de kilos en l'espace d'une demi-année seulement : le tout ou presque, stocké tout droit par-dessous la ceinture, ayant transformé son corps de coureuse jadis tout finement cisaillé en celle d'une véritable Centaure lipoédémique à la peau ébène. C'était comme assister au modèle vivant d'une reine pountite telles qu'illustrées par des bas-reliefs datant de l'Egypte pharaonique : à la voir se dodeliner, se démener même, pour ne serait-ce que mouvoir un pied devant l'autre avec pas lents et pesants, ses mollets énormes, ses cuisses aussi large qu'un séant de chaise, des hanches si massives qu'elle manqua de rester coincée dans la double portière tournante de la station de métro même en avançant de côté . C'était un spectacle plus surréel même que cette vision de notre ex-tutrice en train de vieillir et de grossir spontanément, sauf que cette fois-ci cette vision était bien réelle : car tous les passants et même le personnel de la billetterie rendue une fois à l'intérieur de la station la dévisageaient, certains avec dégoûts, d'autre encore avec beaucoup d'intérêt (je vous laisse deviner : ces derniers étaient tous des Africains. Le cliché...) .

Je ne l'ai plus jamais revue depuis lors. J'espère qu'elle s'est radoucie un peu sur la posologie ou autrement, elle peut dire bonjour aux études à domicile. :/

Enfin, le clou du spectacle.

C'était arrivé il y a de cela cinq ans. Je travaillais en tant que barista dans un café plutôt côté d'un centre commercial depuis à peine quelques jours lorsque j'eus à devoir servir seul une cliente régulière : il s'agissait d'une femme plantureuse mais mince dans la vingtaine, de taille un peu en-dessous de la moyenne et élégamment vêtue d'un tee-shirt blanc par-dessous son tailleur vert pomme, d'une jupe ainsi que d'une pair de talons haut. Sa chevelure était longue est ondulée, teintée de mèches blondes s'agençant avec sa couleur naturellement brune. À en juger par son look, elle devait forcément occuper une fonction importante au sein d'un magasin de mode, peut-être une vendeuse ou une fonction supérieure.

À chaque jour, la cliente venait nous commander fréquemment des muffins, des croissants, parfois même un sorbet de gelato. Trois fois par jour, matin et après-midi. À l'occasion, elle partait aussi se commander un ou deux repas copieux dans l'une des succursales de la section des restaurants ou nous étions. Elle était complètement accroc à la malbouffe, par-dessus tout à nos pâtisseries.

Au fil des jours, on me confia de passer trois semaines de formation dans le petit entrepôt. Lorsque je revins de cette journée et servit à nouveau sur le comptoir, je m'affairais à un petit ménage lorsque j'entendis une voix familière me héler. Je relevais ma tête et manqua presque d'écarquiller grand ma bouche en apercevant mon interlocuteur. Il s'agissait de la même régulière, sauf qu'elle s'était énormément laissée aller depuis le début de ma formation : le même visage mais complètement rondelet et doublementonné, une poitrine qui passa de très forte à énorme, un physique ventripotent et un plus gros fessier, mais le même style de tailleur (à en croire presque qu'elle portait une version adaptée à ses nouvelles rondeurs du même tailleur qu'elle portait la toute première fois que j'eusse à la servir) . Pour une personne de son gabarit, il aurait fallût qu'elle engraisse de 34 à 38 kilos afin d'obtenir un corps aussi replet.

Ce fût alors la dernière fois que je me mis à goûter aux muffins distribués gratuitement au personnel. En fait, ce fût même la dernière fois que je me mis à goûter fréquemment à des pâtisseries.

STOP LES IMAGES TROP GRANDES!!! MERCI DE LES METTRE PLUS PETITES OU ELLES SERONT SUPPRIMÉES

Comment puis-je les faire reformater?

John Smith X a écrit:

Comment puis-je les faire reformater?

si tu as la réponse, je veux bien savoir ... je penses qu'il ne l'a pas lui même