ATTENTION, COMME TOUT LE MONDE NE CONNAIT PAS LA MAGIE ROUGE JE TIENS A PR2CISER QUE CETTE HISTOIRE CONTIENT DE S MOMENT ASSEZ CHAUD (PAS FORCEMENT DANS CE CHAPITRE MAIS TOUT DE MEME) JEUNE LECTEUR TE VOILA PRÉVENU.
CHAPITRE 1: la rencontre
Cela faisait plus d’une heure que j’attendais dans cette petite salle aux murs gris, à la table grise, et à la chaise de l’autre côté tout aussi grise quand un homme arriva enfin, un dossier à la main. Il était petit, menus le crâne chauve la cinquantaine, des petites lunettes et portais une blouse d’un blanc immaculé.
Il s’assit sur la chaise posa le dossier et me regarda en me désignant un petit sourire.
«Bonjours, je suis le professeur Stan c’est moi qui traite votre dossier, donc vous êtes Mademoiselle Marion BRUN, 26 ans dessinatrice plutôt talentueuse, domiciliant à Marseille, parent plutôt fortuné qui lui ont légué beaucoup d’argent... Dans la case sexualité je vois hétéro, feeder.
-C’est cela, dit je d’une voix qui ne cachait pas mon agacement.
-désolé mais vous comprenez que cela a une importance quand on mène ce genre d’enquête, alors rentrons dans le vif du sujet comment êtes-vous arrivé jusqu’ici ?
-Vous le savez déjà non ?
-mais j’aimerais l’entendre de votre bouche.
-vous ferez quelque chose pour moi ensuite ?
-nous mettrons tout en œuvre. Allez-y.
« bien, dans ce cas…
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Je marche dans la rue il est 18h34 nous sommes le vendredi 4 juin et je vais rejoindre Tome, mon petit copain avec pour idée de le larguer sans aucune note de regret de la manière la plus dur qui soit. Vous l’avez dit, je suis une feeder, je nourris et fait grossir les hommes pour mon pur plaisir. Mais je dois avouer que je suis un peu plus perverse que ça. En effet, je ne le garde pas plus d’un an, durant cette année je l’engraisse le faisant manger jusqu’à ce qu’il devienne obèse et bien gras, au passage bien sûr je l’humilie et à la fin je le largue le laissant pleurer, sa graisse tremblante comme souvenir de mon passage.
En résumé je suis une parfaite salope. Mais qu’est-ce que j’aime ça !!! et puis j’ai les moyen de me le permettre, grande, fine, allure sportive de magnifiques jambes, des seins harmonieux et bien rond avantagé par le décolleté de ma robe, un long coup avec un visage d’ange au-dessus, un nez fin et droit, des sourcil fins, des lèvres fines, des cheveux teint en blond, et de magnifiques yeux verts tout cela souligné par un maquillage subtile et discret. Rare sont les hommes qui me résistent.
Tout du moins c’était ce que je pensais, et ce que j’étais encore alors que je rentre dans l’appartement de ma future victime
Je rentre dans l’appartement, mon copain m’attend nus, sur son fauteuil. C’est un gros black d’une vingtaine d’année dont j’ai fait doubler le poids. Il tient et malaxe entre ses doigts ses deux gros seins, plus gros que les miens, qui reposent sur son énorme ventre bien rond qui s’avance sur ses grosses cuisses flasques cachant son sexe.
Il me sourit à pleine dents en disant qu’il a très faim… l’idiot.
Je m’avance je prends un pain au lait qui est sur la table et je lui fourre dans la bouche en soulevant son gros ventre pour le laisser retomber violemment. Il lorgne mon décolleté et moi je lui annonce tout sourire que c’est la dernière fois que nous nous voyons, que je suis lasse de lui, qu’il ne m’apporte rien à ma vie et patati et patata…
Son visage se déconfis, il me regarde, crache le peint au lait, et il se lève me suppliant presque de rester, qu’il progressait, que pour moi il pourrait encore grossir, qu’il avait déjà beaucoup changé, prenant son ventre dans ses mains pour témoins. Pathétique. Je sors de l’appartement sans en dire plus.
Bien sûr je ne suis pas sortie de chez moi que pour le larguer. Maintenant je vais sortir en boîte pour en trouver un autre, ça fait plusieurs années que je fais ça déjà, une sorte de petit rituel.
J’arrive à la boite, je me mets à danser, affolant les jeunes mâles qui m’entourent, cependant il y en a un qui s’approche vers moi d’un pas décidé, regardant deux trois coup par-dessus son épaule, mon attention se porta immédiatement sur lui. Quand il arrive à ma hauteur il me sourit, il est vraiment séduisant le teins allé, les cheveux châtain parfaitement coiffé, un sourire parfais, imberbe au visage tout droit sortie d’un magazine de mannequina, une tête de plus que moi, il porte une chemise à lassait rouge vif pourtant la première chose que je remarque c’est ses yeux, ils sont couleurs bronze et j’y ai presque discerné un moment une lueur rougeoyante.
Il a du charisme et est droit dans ses bottes, d’ailleurs il m’a abordé d’une curieuse manière, il a posé sa mains sur mon ventre en me disant « je vous offre un verre ? » mon corps frémis, d’habitude c’est moi qui touche le ventre pas l’inverse, j’ai pensé « toi mon gaillard tu es mon prochain petit cochon » je lui ai dit « avec plaisir ». Il m’attrape alors la main et me mène jusqu’à la sortie puis au bar d’en face où il nous installe sur une table à l’écart. Un verre de bière pour chacun et nous engageons la conversation. Lui c’est William DESCOURT, 23 ans, chanteur, danseur, comédien, et mannequin… bref un peu de tout quoi. Un vrais baragouineur mais pourtant je ne peux me détacher, il exerce une véritable attirance sur moi, je rêve de truc fou, de l’enfermer dans ma maison, le gaver jusqu’à ce qu’il déborde par tous ses vêtement. Il arrête de parler, se penche vers moi et dit :
« Kidnappe-moi.
-quoi !!!???!!!
-tu as très bien entendus je te donne l’occasion dont tu rêves je n’ai personne qui m’attend, kidnappe moi, et réalise tout tes fantasme, surtout les plus fous.
-mais je te connais depuis à peine 30 minutes.
-l’opportunité passe, vas-tu la saisir par les cheveux ? »
A minuit 47, nous arrivons à ma maison, je le fais rentrer dans la chambre d’ami, les yeux bandé afin que cela face plus vrais. Il s’assoie au bord du lit et me dit :
« vas-y, fait ce que tu veux
-vraiment ce que je veux ?
-absolumant.
-même te donner à manger ?
-et me gaver et me faire grossir oui bien sûr, il faudra juste me garder plus longtemps alors. »
Je n’y crois pas, tout de suite comme ça, voilà que je bats un nouveau record. Je vais donc chercher de quoi manger, pizza, chips, gâteau, et j’arrive dans la chambre, je lui enlève son haut pour voire son corps, il s’avère qu’il a déjà un petit bedon avec un bourrelet, je le lui pince, il rigole en disant qu’il est prêt.
Et me voilà en train de le nourrir alors qu’il a les yeux bandé…
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Le silence s’installa dans la salle grise, le professeur Stan le brisa :
« vous ne parlez plus ?
-à partir de cet instant ma vie n’a plus était là même et ne le sera plus jamais, et puis on rentre dans des détails de ma vies sexuelle…
-Nous parlons de magie rouge, parlez sans crainte, tout sera bientôt fini.
-d’accord »
J’ai pris une grande inspiration et je me suis lancé dans ce récit des plus étranges qu’il soit…