97, 98, 99, 100, 101, 102 !!!
La balance était formelle, après plus de 2 mois N…… les avaient atteints. Par ailleurs cela se voyait, tout était devenus plus gros, son double menton, ses cuisses, son postérieur, ses bras, ses seins qui reposaient sur son ventre qui dépassait de son T-shirt et qui avait pris en volume et était devenus encore plus mou. Nous nous embrassâmes puis je pris entre mes doigts son bourrelet d en dessous du nombril (il était chaud et doux sous mes doigts qui s’y enfonçaient) elle me demanda alors :
« Et maintenant ?
-et bien, c’est à toi de choisir, après tout c’est ton exploit.
-c’est notre exploit.
-oui mais je n’ai pas fait grand-chose.
- on n’avait pas dit qu’on inverserait les rôles ?
-tu veux te venger de toutes les atrocités que je t’ai fait subir ?
-oui d’autant que tu as de la marge » dit-elle en m attrapent aussi par mon bourrelet certes beaucoup plus petit, caché sous mes vêtements noire et mes joues creuses qui me donne un physique de grand sec mais le fait est qu au niveau du ventre je n’ai pas d’abdos apparents. Elle renchaîna :
« Faudra par contre t entraîner un peux, tu as deux semaines je crois qu’on avait dit que tu ne pouvais pas le weekend prochain ?
-oui j’ai deux trois trucs important à régler.
- quels genres de truc ?
-rien de très jolie à raconter, oui je penserais à toi quand je m’empiffrerais.
-que quand tu t’empiffreras ?
-nan et tu le sais très bien. »
Nous discutâmes encore quelques heures puis nous nous séparâmes. Durant les deux semaines j’ai donc mangé plus qu’à mon habitude (moi qui normalement mange peux) et cela c est vu au niveau du ventre qui était devenus plus mou et qui lorsque je m’asseyais formait un bourrelait en dessous du nombril qui s’avançait un peu plus en avant que le haut. J’ai dû prendre 1, 2 kilos lorsque enfin le jour J arriva. Je sonnais à la porte de son appartement légèrement stressé. Elle ouvrit doucement la porte et je la vie dans une tenus assez étrange. Elle avait tenté le déguisement de catwooman avec le masque, le soutien-gorge et un survêtement noire à la place du cuire qui lui moulait merveilleusement bien le bas du corps. Surpris je lui dis :
«t’as pas de fouet j’espère.
-non non t inquiète, je me suis dit que ça devrait t impressionner. Alors prêt ?
-ça aussi je l’espère. »
Elle m entraîna a l intérieure et m enleva ma chemise et ma veste puis elle m emmena sur son canapé où elle m attacha les mains derrière le dos. Puis elle sortit me demanda si je préférais le sucré ou le salé, je lui répondis donc que je préférais le sucré et elle sourit en me disant qu’elle le savait et elle sortit une bouteille d’un litre remplie d’un liquide marron et un entonnoir avec un tube au bout comme, elle me demanda d’ouvrir la bouche. Je fis une petite moue puis je l’ouvris et elle me mit le tuyau dans la bouche elle sourit et dit en commençant à verser la substance :
« Chocolat, crème et plein d’autre chose qui favorise la graisse. »
Le liquide arriva dans ma bouche et je tétais avalant par goulet ce qui s’avérer être une sorte de cacao froid. C’était bon et je continuais ne pouvant m’arrêter, sentant mon ventre se remplir assez vite, et j’avais presque l’impression de sentir la graisse s’emmagasiner le faisant gonfler encore et encore. Puis il n eu plus rien qui sortit du tuyau. Elle l enleva alors de ma bouche puis elle attrapa a pleine main mes bourrelets les malaxant entre ses doigts. Surpris, je ne pus laisser échapper un petit sursaut qu’elle remarqua. Elle sourit alors et se mit sur mes genoux, les enfourchant de manière a ce qu’elle reste face à moi. Nos visages étaient tout proche, elle passa ses main derrières ma tête et m’embrassa longtemps avant de dire :
« c’est du bon travail mais c’est pas fini.
-l’inverse m’aurait surpris »
Tout en restant sur mes genoux elle sortit de derrière le canapé un pot de Nutella avec une cuillère et un quatre quart qu’elle avait déjà prédécoupé.
« tu n’es pas le seul à faire un peu de magie. » dit-elle en ouvrant le pot et en tartinant d épaisse couchent la première tranche du gâteaux
« vais-je réussir à faire disparaître ce quatre quart ? »
J ouvris la bouche et j’essayais d’avaler la part en entier d’un seul coup. J’adorais ce gâteau, il était bon et j avalais à peine qu’une autre part se présentait et j’y remordais dedans. Cela faisait déjà un moment que je n’avais plus faim mais je n’en pouvais vraiment plus qu’à partir des trois quart du quatre quart. N…. le sentit, elle se leva, posa le gâteau a terre avec le pot de Nutella et me demanda si je voulais arrêter. Je lui souris et je me mis à genou devant elle et j’enfouis ma tête dans son gros ventre, m’y enfonçant dedans et lui faisant des papouilles. Elle rit puis elle me détacha et m aida a me lever. Je lui ai alors pris ses mains pour les guider et me caresser le ventre, juste des caresses qui me procuraient des frissons de plaisirs. C’est alors qu’elle ne se laissa plus guider pour se diriger vers le dessous de la ceinture, tâtent mon sexe encore chaud et en déduit :
« tu as aimé.
-je n’ai pas détesté et toi ?
-j’ai bien aimé, c’était assez marrant. »
Nous nous sommes assis sur le canapé, N…. continua :
« tu ne veux donc pas finir le quatre quart ? »
Comme toute réponse, je pris une tranche et je la badijonnais de Nutella avant de la manger lentement. Pendant ce temps, N…. avait continué de tartiner et je mangeais au fur et à mesure, doucement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Puis j’ai attrapé la graisse de mon ventre qui avait grossis en m’avachissant sur le canapé. N…. m’a alors prise dans ses bras en me demandent :
« tu préfères quoi alors, feeder ou feedee ?
-disons que je vais être un très mauvais feedee puisque je ne mange pas quand même des masses normalement. Et toi quelle rôle préfère tu jouer ?
-franchement échanger les rôles de Temps à autre c est géniale mais…
-mais…
-mais quand même, je préfère être la feedee que tu nourris et manger à outrance, voire mon corps évoluer sans mettre non plus ma santé en danger évidement. Et puis, je me sens en sécurité entre tes mains lorsque tu me nourris, je sais que tu vas a tout prix éviter de me faire mal et que tu recherches juste le plaisir et l’amusement, non pas la performance et le plaisir sadique.
-tu avais peur que je sois comme ça ?
-un peu, ça paressais trop beau pour être vrai.
-personnellement j’avais justement peur que tu me demandes des trucs trop poussé et bizard. Mais tu connais les limites et tu ne cherches qu’a t amuser, à jouer, et en se point nous nous ressemblons beaucoup.
-donc on…
-carpe diem. Cueille le jour que diable et profite de l’instant présent. »
Puis je l embrassais et la caressait. Nous nous couchâmes tard dans la nuit pour nous lever tôt le lendemain. Nous discutâmes toute la journée suivante en nous promenant dans un bois de ma connaissance qui avait quelque chose de magique avec la cascade en deux étages encadré par des chênes centenaires, des boulots des bruyères des buissons et des fleurs dont je ne puis citer tous les noms, et le ruisseau purt comme un cristal où des poissons nageaient entre les rochers polies qui serpentait entre les sapins (il y en qui disent que c’est dans cette cascade qu’est la porte de l’enfer, je serais plus pour dire que c’est celle du paradis). Ce fut une très belle journée et je ne pense pas pouvoir la décrire en quelque mots alors je vais passer directement à la soirée, quand le soleil c est couché et que nous nous sommes échangé ce baiser, elle sourit et me fit la remarque que j’embrassais différemment quand nous allions nous quitter, que chaque fois je faisais comme si c’était le dernier instant que nous passions ensemble. Je lui ai répondu en lui demandant si elle voulait venir dans mon appartement dans 2 semaines et elle me demanda d’arrêter de poser des questions dont je savais la réponse et rajouta seulement que nous allions devoir faire preuve d’imagination afin de ne pas toujours reproduire le même schéma lors de notre « jeu ».
Nous nous sommes séparé en prenant chacun des routes opposées qui au bout de deux semaines se rejoignaient.