J'étais parfaitement heureux avec Sylvie.
J'avais de belles rondeurs, j'étais avec une femme ronde et belle, avec une tendance autoritaire comme j'aime, ... Tout allait pour le mieux.
Pourtant un jour que nous étions au lit en train de nous faire plaisir, Sylvie arrêta brusquement de s'occuper et saisit entre ses mains potelées mes testicules. Elle commença à serrer.
Surpris, je lui demandais d'arrêter. Mais rien à faire ! Elle continuait à les serrer. Et comme elle était assise sur moi, je ne pouvais bouger.
Après l'avoir supplié, elle décida de relacher son étreinte. Mais à une seule condition: désormais, je devais faire tout ce qu'elle me demanderait, et je n'aurais pas le droit de dire "non" quelque soit la question qu'elle me poserait.
J'ai commencé par refuser, mais immédiatement mes testicules furent dans un étau qui se resserrait.
Abdiquant, j'acceptai.
La semaine suivante fut tout à fait normale, Sylvie ne reparla pas de cette scène et moi, j'avais trop peur de l'aborder.
Puis, un jour, elle arriva avec une petite boite, me disant que c'était pour moi. J'ouvris, curieux, la boite et tomba sur une cage de chasteté. Elle me dit alors qu'elle préférait les hommes qui ne jouissaient plus, ça les rendait plus docile. Elle m'ordonna alors de la mettre. Un peu honteux, j'obéis et une fois vêtu de cette cage, elle mit un cadenas pour empêcher que je la retire. Elle me précisa que la clé avait été envoyée à une amie à elle qui habitait au Japon.
Autant dire que j'étais contraint de porter éternellement cette cage.
Mais, à ma grande honte, je dois avouer que l'idée me plaisait bien. C'est sûr que cela ne fut pas facile tous les jours, les érections, toujours possibles, devenaient très douloureuses. Mais petit à petit, elles devinrent aussi moins fréquentes, comme si mon corps s'habituait tout seul. Pour compenser cette impuissance forcée, je me remis à manger énormément, atteignant très vite les 100 kilos.