La boulangère.
C’est
l’histoire d’une jeune fille de vingt ans, elle n’a pas eu une enfance facile
et l’an dernier ces parents adoptifs sont morts dans un tragique accident de
voiture. Prenant sur elle, elle a commencé à faire de petits boulots à droite et
à gauche. Puis elle se déplaça de ville en ville sans but à sa vie. Elle ne
restait que peu au même endroit.
Puis elle
est arrivée dans cette nouvelle ville aux maisons jaunes qui s’embellissaient
au lever du soleil plongeant les habitant dans une ivresse de vivre.
Elle
continua dans la rue principal un petit bar à l’enseigne vieillie par le temps
ne laissais pas espérer très bon accueil. Puis elle pris une petite ruelle à
droite et là elle vit cherchons vendeuse. C’était la petit boulangerie du
village elle sentait le neuf et les étalages étaient un régale pour les yeux,
elle entra donc dans la boutique et la un jeune homme d’une vingtaine d’année
lui souhaita la bienvenue.
-
Bonjours
que puis-je pour votre service ? Elle était prise au dépourvu et se mis à
bégayer une phrase.
-
Bon…
Bonjours heu j’aimerais un café avec une délicieuse pâtisserie.
-
Très
bien prenez place j’arrive de suite. Et un moment plus tard il arriva avec un
café et un carac au chocolat avec un petit cœur en chocolat et posa une
question.
-
Que
vous amène-t-il dans notre belle ville ?
-
Et
bien je voyage et je cherche un petit boulot pour le temps que je reste ici
aussi j’ai vu votre affiche.
-
Oh
quelle merveilleuse nouvelle malheureusement je dois vous avertir je viens
d’ouvrir ma boutique, je ne suis pas encore très connu et pas encore les moyens
de payer un salaire complet, mais si vous l’accepter je peux vous offrir gîte
et couvert et un peu d’argent.
-
Ça
sera parfait je ne demande pas plus combien vous dois-je pour le café.
-
Offert
par la maison par contre cela me ferait plaisir que vous me tutoyer.
Ainsi le
lendemain matin c’est elle qui accueillais les clients sourire au lèvre dans un
magnifique tailleurs blanc. Les affaires allais bien elle reçu deux
augmentation durant les deux mois de travail. Elle décida de rester plus
longtemps dans la petite ville comme il l’appelle les gens du coin. Le soir une
fois sur deux elle faisait le souper pour les deux ils mangèrent toujours en
tête-à-tête. Et un soir alors que chacun deux étaient mi-gêné mi-coincé ils
commencèrent ensemble ça serait bien de sortir une fois tout deux. ``Lundi soir
on pourrais aller se faire une toile dans la ville d’à coté !’’ Ils
étaient sur la même longueur d’onde s’entendaient à merveille.
Lundi soir
Après avoir
vu le troisième film d’une trilogie déjà trop longue et dont on a oublier le
nom. Julien c’était le nom du beau ténébreux. Demanda à Kaissy ce qu’elle
pensait de ces pâtisseries.
Elle
répondit toute rouge :
-
Oh
est bien le carac était merveilleusement bon et fondant à souhait un vrai
bonheur pour mes papilles gustative, quand au autre pâtisserie je les trouvent
magnifiquement décorée avec leurs fruits mais je n’est pas eu l’occasion de les
goûters.
-
Ah
bon j’aurai penser que tu en aurait goûter quelques une.
-
Je…
je n’ai pas oser.
-
Dans
ce cas j’en apporterai au dessert pour qu’on puissent les goûters et les
améliorés ensemble.
-
Je
serais ravie de les goûters.
Dés le
lendemain elle goûta avec délectation les choux à la crème ainsi que la forêt
noire. Elle était conquisse et le soir même Julien lui fit ses avances qu’elle
accepta et s’endormirent dans le même lit côte à côte les bras de chacun
enlaçais l’autre.
Le
lendemain ils avaient congé c’était toujours le Lundi et le Mercredi. Il lui
apporta son petit déjeuner dans son lit au menu un verre de jus d’orange un
petit café serré comme elle les aiment et un pain au chocolat. C’était un régal
à chaque nouveauté quelle découvrait elle lui donnais des conseils comme quoi
il pourrait en faire avec deux chocolat de couleurs différente. Puis elle
sortit du lit et s’admira dans la miroir bien que quelque chose la gêna un peu
elle avait pris un petit bedon sur son ventre autrefois plat. Elle ne s’en
souciais pas d’avantage et alla vers son cher Julien qui lui n’était pas
indifférent à ce petit ventre naissant. Chaque soir il lui faisait un massage
et ensuite la retournais pour jouer avec son petit ventre. Cela ne la dérangea
pas.
Une semaine
plus tard toutefois elle étaient affolée car son tailleur blanc pour le travail
la serrai affreusement elle n’arrivais pas a ce baissé sans risque de le faire
craquer sur tout la longueur. Au soir elle en parla à son Julien qui lui
répondit.
-
Ma
petite puce je t’aime et je t’aime de plus en plus car tu t’embellis de jours
en jours je pense prendre une autre vendeuse au magasin pour que tu puisse
rester à la maison et l’ont pourrais envisager d’avoir un enfant.
Elle le
savais qu’il aimait la voir prendre du poids et qu’elle magnifique courbe
pourrais-elle offrir dans elle serais enceinte avec un ventre proéminant.
C’est ainsi
que Kaissy est devenue femme de maison pour son plus grand plaisir mais elle ne
voulais pas s’arrêté là bien que son tailleur ne lui aille plus elle n’avais
pas encore beaucoup de forme et elle voulais en offrir d’avantage à son Julien
mais d’abords un enfant elle devait réfléchir à tout cela à tête froide et
reposée.
By
Olivier Rey